Métaphore Dans Midi

sujet d’écriture du devoir de type bac n°2 Plan possible d’un commentaire de « Midi » de José Maria de Heredia Problématique retenue : Comment l’écriture poétique sublime-t-elle la nature ? I. Un sonnet décrivant un moment de bien-être dans un cadre naturel apaisant A. Description d’un moment particulier d’une chaude journée estivale 1. Le titre du sonnet, «Midi » repris dans le poème : v 5 : « Midi splendide » 2. L’omniprésence du soleil et de sa chaleur: v:2 « accablés de

LE MONDE Documents : A- Victor Hugo, « L'araignée et l'ortie », Les contemplations, III, 1856 B-José Maria de Heredia « Midi », Les Trophées, 1893 C-Francis ponge, « Ode inachevée à la boue » (extrait), Pièces, 1962 D-Philippe Jaccottet, « Fruits » (extrait), Airs, 1961-1964 QUESTIONS : 1- Relevez dans chaque texte du corpus une comparaison ou une métaphore, et montrez ce que ce recours à l'image apporte à l'évocation du monde sensible. (3points) 2- Quels rôle Hugo et Ponge  accordent-ils

: habituellement (8), parfois (8), par certains soirs rassérénés d'après-midi orageux (9-10), pendant l'après-midi (27), vers le soir (29), sans cesse (31), toujours (31), dans l'heure (34). Mais ces indications temporelles incitent à repérer au moins deux plans que le texte unit : le plan de la mémoire, qui distingue l'aspect duratif et itératif, fondus ensemble : habituellement, sans cesse, toujours, pendant l'après-midi, vers le soir, de l'aspect ponctuel, en contrepoint : parfois, par certains

sur les quais de marbre, je la chassais.      En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.      Au réveil il était midi. Arthur Rimbaud, Illuminations, 1886 Éléments d’introduction et contexte : Rimbaud : - poète révolté du 19ème siècle - commence à écrire très jeune - a une relation avec Verlaine Illuminations : - probablement écrit en 1872 et 1875

elle s'échevelle parmi les sapins. Ainsi, la nature qui est tout d’abord décrite comme horizontale et figée, devient joyeuse, en fête , au passage du Rêveur. Mais c’est le poème est aussi une métaphore de l’amour. L'octosyllabe qui ouvre le poème, "J'ai embrassé l'aube d'été", suggère la métaphore amoureuse qui, au milieu du texte, va convertir la nature exaltée en une créature mythique : "je reconnus la déesse." En face du Moi-enfant, tel que se décrit Rimbaud, et qui finira le poème, la Nature

Milieu : je reconnus la déesse 2ème partie : Au réveil il était midi Le poète participe au réveil de la nature, progression : Les haleines →les animaux. Les ailes → les oiseaux. Les pierreries → les yeux des oiseaux. Transition, il reconnait l’aube, il court après l’aube dans la seconde partie. On se déplace dans un univers féérique, fantastique. Il rattrape l’aube, au réveil tout à disparu. 2-Les images du temps : L’aube, midi, l’été (le jour se lève très tôt).Chronologie : Rien ne bougeait

[LIGNES-COULEURS-FORMES] COMPARAISON midi 20. Le slam est une façon de s’exprimer avec un langage posé. Comparaison de L’œuvre de FK avec un extrait de la chanson midi 20 de GCM. J’ai décidé de comparer ces 2 œuvres car l’auto portrait de FK et l’extrait de chanson parlent toutes deux d’un accident. (Ecoute de la chanson). GCM exprime poétiquement le vécu de son accident en faisant des métaphores. Il associe un vocabulaire médical avec des métaphores. (Montrer certaines phrases) Les deux artistes

fille du roi de Corinthe, elle tente donc de le convaincre de lui laisser les enfants. Ce texte en prose conserve une facture de style classique voir lyrique comme les grandes hauteurs du XVIIIe. Ce style plein d’emphase reprend le concept des métaphores. Dans un premier temps on étudiera comment Médée tente de convaincre Jason de garder les enfants et de le faire culpabiliser. Puis nous verrons le jeu de manipulation de Médée pour cacher sa vengeance. Dès le début du passage Médée montre l’opposition

de l’excès alimentaire sans dépense physique. Les informations scientifiques sont valides et l’usage d’un langage courant et de métaphores en fait un document accessible au plus grand nombre (aspect positif) pouvant conduire à des connaissances approximatives (aspect négatif). Par exemple, la respiration n’est pas une combustion : il s’agit d’une oxydation. La métaphore avec le phénomène de combustion d’un moteur est sans doute contre-productive (le phénomène n’est pas connu des enfants et n’est

en perpétuelle activité et pour finir que Paris est aimée et admirée. Lecture Analytique : A – Paris est présentée comme une ville dont la forme est singulière 1) Paris, ville à une description floue - Singularité annoncée d’emblée par la métaphore du monstre « Paris est le plus délicieux des monstres » (l.1) - Forme de la ville impossible à représenter de façon claire : - lieu de grande diversité « là, jolie femme ; plus loin, vieux et pauvre ; ici, tou neuf comme la monnaie d’un nouveau