Métaphore Animiste

| | |Les exemples, qui sont des citations précises, accompagnées de leur analyse, qui démontrent votre argument. Attention à| | |bien prouver ce que vous avancez. Il ne suffit pas de trouver une métaphore pour qu’elle démontre quoi que ce soit. Il | | |faut expliquer en quoi elle démontre ce que vous voulez prouver. | | |Conclusion de §, il s’agit de dire explicitement

obliger à être un écrivain, lui qui se trouve assez médiocre dans ce métier là. Il pratique alors l’autodérision et l’autocritique, il se sent maladroit dans son art comme on peut le voir dans la référence du crabe : raideur, maladresse, qui est une métaphore de ce que ressent et de ce que l’auteur pense être. «  Les livres sentent la sueur et la peine »  est également une expression qui est une personnification. Cette expression tant à vouloir montrer toute la peine qu’a Sartre d’écrire, cela montre

rimes féminines. On va donc avoir un point de vue féminin et original sur la passion amoureuse. Antithèses Vers 1: 1er hémistiche → parataxe : “je vis, je meurs” (v.1). Antithèse absolue 2ème hémistiche → 2eme antithèse coordonnée avec 2 métaphores “je me brûle” (feu qui embrase) “et me noie” (eau qui engloutit) Antithèses physiques et sentimentales. Chaque terme est extrême, le vocabulaire est fort. Syllabes brèves, donnant un effet brusque et haché. Tout va se jouer absolument, totalement

ordinairement, il ressent l'audition d'un morceau de musique, que nous pourrions par exemple attribué à Richard Wagner qui a souvent suscité son admiration. Pour nous permettre d'entrer dans sa sensation auditive, Baudelaire recourt à une vaste métaphore qui structure le texte et qu'il importera d'étudier en général avant de s'attacher à l'analyse du comparant, le voyage maritime, qui sert à évoquer les états d'âme contrastés du poète. D'emblée le lecteur est saisi par le caractère éminemment

lèvre humide », « mes seins triomphants », « mes bras veloutés » ; montre à bien des égards une omniprésence de la sensualité féminine. De surcroit, cette notion est accentuée par l’élément de redécouverte du plaisir qu’évoque Baudelaire dans sa métaphore : « Et fais rire les vieux du rire des enfants » ; ce qui souligne une nouvelle évocation sensuelle. Cette volupté de la femme est fortement présente dans le poème. En effet, une puissance est marquée par la domination dans ce texte. Notable, d’abord

permettent de prendre parti contre ceux qui dispensent un enseignement qu’il estime dangereux et de s’engager en faveur de l’enseignement humaniste. c- La richesse en métaphores Le discours de Montaigne est imagé, multipliant les métaphores pour que le lecteur puisse comprendre et exercer son jugement. On relève ainsi : - la métaphore filée de l’école-prison Elle permet de mieux mesurer les méfaits d’une éducation excessive qui ôte toute liberté aux enfants. Elle aide le lecteur à prendre conscience

les figures de style. la métaphore: (= transport en grec, soit le transport de sens) comparaison sans outil de comparaison ex: c'est un ange, c'est un âne. la métonymie: On désigne un mot, une réalité par un mot qui lui est logiquement relié:    -le contenu par le contenant. ex:j'ai fini mon assiette.    -La matière pour l'objet. ex: un verre, un plastique.    - la marque pour l'objet. ex: je porte des Nikes.    - la couleur pour l'objet. ex:Je suis supporter des Bleus.    -le lieu pour

gais » et « prêt à tout, à tout indifférent » montrent que les courtisans n’ont pas de personnalité. Il utilise aussi des métaphores d’animaux, le lion représente le roi et le cerf les courtisans. Il y a un aspect symbolique dans sa fable : le lion est carnivore et le cerf herbivore les deux s’opposent. Zola, lui utilise le registre épique où Etienne a changé, la métaphore : « ce n’était plus le secrétaire de l’association qui parlait, c’était le chef de bande, l’apôtre apportant la vérité » montre

apparaît alors comme le matériau qui donne un corps à l’absence, la matière du souvenir, de la disparition, et à la fois, la matière survivante de la destruction. La Bibliothèque fuligineuse de Parmiggiani peut donc être appréhendée comme une métaphore du savoir perdu et éternellement renaissant, mais elle incarne aussi le souvenir d’un désastre, à caractère universel. En effet, l’artiste évoque à travers cette œuvre toutes les bibliothèques détruites (il cite notamment celle d’Alexandrie(4) ;

de fer. » est une métaphore à un double sens. Elle désigne dans un premier temps les matériaux utilisés dans le monde de l’usine mais aussi le côté impitoyable, dure et froid de celui-ci. Les conditions de travail ainsi que le travail en lui-même ont des conséquences sur le physique et le moral des enfants, le poète insiste beaucoup là dessus. Ces enfants sont en mauvaise santé « que la fièvre maigrit », «quelle pâleur ! La cendre sur leur joue » (vers 12) cette métaphore aide à visualiser