Métaphore Animiste

celles en retracent le bruit des balles. L'expression « crachats rouges de la mitraille » combine plusieurs figures de styles. Une métaphore (mitraille = crachats rouges) mais c'est aussi une métonymie (mitraille, guerre = sang, couleur rouge). On aboutit ainsi à faire de ces "crachats rouges de la mitraille" la représentation abstraite de la guerre. La métaphore du vers 4 ( Croulent les bataillons en masse dans le feu ) montre l’aspect destructeur de la guerre : elle compare le champ de bataille

Développement d’une thèse sur l’innocence. Dans le préambule il y a une narration (variance discours/récit). Il y a aussi la présence d’une morale, donc c’est une argumentation allégorique. La poésie du texte : * La métaphore : la poésie vient du renouvellement de la métaphore car le texte par d’une image (stéréotype) et finit par une image de prison. C’est donc un effacement du poncif. * Les thèmes : la nature et la route mais aussi la qualité des personnages. Un enfant innocent et riche

derrière son dos.» (l.195)Procédé littéraire : Les verbes * «Il rentra chez lui, honteux et indigné, étranglé par la colère, par la confusion, d’autant plus atterré qu’il était capable.» (l.220) Métaphore * «Et il se sentait frappé au cœur par l’injustice du soupçon.» (l.225) synesthésie ou métaphore Champs lexical Humiliation Champs lexical hypocrisie « Honteux » (l.220) «Indigné»

indiquent… | |► L’utilisation du pronom « on » |… produit un effet de généralisation | |► La métaphore « … » |… suggère… | |► La redondance « chaud » / « chaleureuse » |… renforce l’impression

Les tueurs en séries, les pédophiles ou les «simples» assassins agissent sous l’action de forces, de pulsions dirait Freud, qui les amènent à assouvir leur désir les plus vils en réalisant un acte irréparable et impardonnable. Cette situation nous entraîne à nous poser la question de savoir si nous sommes responsables de nos désirs, même ceux les plus sombres de notre psychisme. Chacun s’accorderait à dire que nous sommes bel et bien responsables de l’ensemble de nos désirs, du désir d’amour au désir

l’homme riche » : privilèges à priori indiscutables . 2/ Le pauvre : Négation de son existence sociale «  corvées » pour l.27 l.26 comparaison avec les riches en sa défaveur au niveau judiciaire l.24.25 «  toutes les portes lui sont fermée » métaphore traduisant l’absence d’espoir . l.24 paradoxe : absence de reconnaissance sociale . Atteinte à sa dignité familiale, à sa dignité d’homme l.34 rythme ternaire . Transition un article dénonciateur et subjectif . III/ Le parti pris de Rousseau

considère le monde sensible comme la prison de l'âme. Quant au monde intelligible, auquel peuvent accéder ces mêmes âmes par la philosophie, il est la seule réalité authentique pour lui. L'allégorie de la caverne est pour Platon plus qu'une simple métaphore, mais en aucun cas un mythe3. Il s'agit d'une représentation de la réalité de ce que peut vivre une personne ayant fait son chemin de réflexion, d'élévation d'elle-même ; c'est-à-dire son propre parcours initiatique qu'elle ne doit pas réserver pour

forme fixe a été populaire à la Renaissance, on peut remarquer que Pierre Ronsard (1524-1585) a vécu au siècle de la Renaissance. 2. De quoi parle le poème, que cherche-t-il à illustrer? Le poème d’écris la vie d’une rose. Il utilise une métaphore qui utilise la fleur pour parler d’une jeune femme. Dans la première strophe l’auteur décris l’éclosion de la fleur lorsqu’elle vient déclore et d’écris sa beauté. La deuxième strophe consiste à parler de la petite durée de vie de la fleur qui s’éteint

dents pour Cosette ce qui représente un petit suicide. Manger est un besoin primaire. A Travers la description de Fantine, Hugo dépeint la misère puisque la vie conduit Fantine à une déchéance moral. C4est une réflexion sur la misère . La métaphore de l'obscurité à travers « le soir » e t » point de midi » ainsi que le champs lexical des lieux sombres avec «cave », « soupirail » montrent un enfermement, comme si elle était dans la prison de la misère. La personnification du soleil , « le soleil

alors, sont à prendre en temps que figures de style voire de fiction. Or, même chez les philosophes, et de surcroît ceux cités par Balzac lui-même, les mythes deviennent outils de compréhension. Platon dans La République fait alors appel à une métaphore désormais célèbre : le mythe de la caverne. Par ce procédé, le philosophe exprime la difficulté de l'Homme à parvenir à la réalité et celle de la transmission de la connaissance. Cependant, si un lecteur non averti entreprend de lire uniquement cette