Métaphore Animiste

particulièrement violent. On remarquera également que, dans la poésie comme dans d’autres genres littéraires, on trouve des procédés de persuasions. Les figures d’images peuvent aussi rendre les idées du poète plus accessibles (on trouve notamment la métaphore, la comparaison…). La facilité de faire passer un message à travers la poésie réside aussi dans l’universalité de celle-ci, c'est-à-dire quelle englobe tous les peuples et qu’elle peut traiter de beaucoup de sujets, d’autre part la poésie est un

générales de prudence, par exemple. Le style, dans les trois genres, doit être sobre et éviter les effets esthétiques trop marqués. Le seul effet esthétique que l'on y favorise est la formule brillante, qu'elle prenne la forme de l'antithèse, de la métaphore, de l'oxymore, du chiasme ou même de la paronomase. Ces procédés ne doivent pas constituer un ornement surajouté mais un raccourci intellectuel. 4. Origines et postérité. Origines. 1) À l'origine de la dissertation se trouve la disputatio médiévale

débordante. Il en donne une image équestre bien particulière : I have no spur To prick the sides of my intent, but only Vaulting ambition, which o’erleaps itself And falls on th’other. (i.vii.25-28) Dans cette métaphore, l’ambition est le cavalier pressé qui, pour vouloir être trop vite en selle, retombe de l’autre côté de son cheval. Cette ambition a des relents démoniaques car le cheval est traditionnellement associé au monde chtonien et au démon qui l’aurait

dans de nombreux contes un monde ou le bien et mal sont aux prises. Le conte étant fortement optimiste, ce conte, encore une fois, voit la morale triompher par l a victoire de la vertu sur le vice. C’est pour dire que le conte est une véritable métaphore filée des valeurs sociétales au plan de la morale et de l’éthique. On conte pour éduquer, amuser. Les personnages mis en action dans le gigot devin (Dyssia l’hyène, topé l’araignée, etc) ne sont qu’un moyen pour le conteur d’évoquer la société des

agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et

pousse à la verticale et donc s’élève comme les âmes au ciel et le corps des pieds à la tête. De même qu’elle est humanisée par le pronom personnel « son » qui lui donne tout son caractère vivant et sacré. A ce pronom personnel « son » s’ajoute une métaphore de la brume qui ne fait qu’accroitre la sacralité du passage. En effet, « son nuage des soirs » fait référence au ciel et donc à Dieu qui est reprit dans le mot « adieu » du vers suivant. Ce vers ci est relié au précédent par la conjonction de coordination

romantiques sont beaucoup plus sensibles à l’amour, ils parlent de sentiments sincères et profonds savourés de manière réciproque par les deux êtres. Dans le premier paragraphe de l’extrait «Nous nous aimons», on nous montre un passage rempli de métaphores et de comparaisons qui expriment l’amour que Perdican porte à sa bien-aimée. « Insensés que nous sommes! nous nous aimons. Quel songe avons-nous fait, Camille ? Quelles vaines paroles, quelles misérables folies ont passe comme un vent funeste entre

• Le surgissement d’un personnage dans le récit Montrez comment l’arrivée de la Dame en blanc est marquée par un effet de surprise. Comme dans l’ incipit , notre extrait commence par une réplique de personnage sans verbe de parole et sans nom ou pronom indiquant 138 UN ROMAN DU XX e SIÈCLE l’identité du locuteur. Le personnage reste anonyme et semble surgir de nulle part. Il est désigné par un déterminant indéfini (« une dame »). La perception qu’en a le personnage de Phil est indirecte

nombreux exemples v.1 et v.10 à 15 : « Les nuages couraient » … « Les chênes (…) endormis et couchés ». * Le silence (voir ci-dessus) à Silence troublé uniquement par « la girouette en deuil qui criait » * Le contraste obscurité/ lumière Lumière : métaphore (la lune enflammée)+ comparaison (comme sur l’incendie) L’obscurité : les bois noirs à On retrouve ce contraste, v.25 avec les lueurs trop blanches des armes qu’il faut cacher au milieu des branches sombres. Lumière fantastique de l’incendie qui

Les enfants sont donc des machines « Qui produit la richesse en créant la misère » Leurs conditions de travail sont « infâmes » - Pour Victor Hugo, le monde de l’usine est comparable à l’enfer, il emploie à différents moments des métaphores pour insister sur la personnification des machines → « Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre » → Trois allitérations « m, r et ch ». Le « r » étant la consonne