Métaphore Animiste

plus vaste l'élancement des signes les plus fastes - Surtout des images qui, comme dans l’ensemble de l’œuvre, rassemblent le concret et l' abstrait présents dans les deux termes de la comparaison : épaves plus soyeuses qu'un songe de luthier - des métaphores génitives : sagesse de l'écume pestilences de l'esprit sévices de l’âme - ou prédicatives: où gît le goût de la grandeur - ou des personnifications : le vent nous conte ses flibustes le matin promène son doigt d'augure : L' autorité de la parole

poème, soulignant le caractère obsédant de certains états. « Mon cœur effeuillé, mon cœur de douleur, Mon cœur pétrifié, mon pauvre cœur tari » Max Jacob, l'Accord • La poésie lyrique est par excellence le lieu de la comparaison et de la métaphore : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver luisant tient son corps enflammé » » Guillaume Apollinaire, Calligrammes, « Tristesse d'une étoile » « C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux

Plan analyse comparative Figure de style dans Baudelaire : Champs lexicaux : Urbain : « paradis » car, pour Baudelaire, la solitude equivaut à l’ impossibilité d’un paradis. L’évocation du spleen est très marqué dans ce poème. Le poète répugne le monde qui l’entoure (« Loin du noir océan de l’immonde cité » vers 2). Il décrit ce monde comme si c’était le spleen. « Loin! loin! ici la boue est faite de nos pleurs! » vers 12 et « Loin des remords, des crimes, des douleurs » vers 14, sont les

son parfum de s’évader vers des pays lointains de sensualité * La comparaison remplace la métaphore lyrique de Baudelaire * Idée d’éloignement avec « aller » se substitue à l’évasion et au rêve * La métaphore en présence vers 14 « Et les mains feuilles…que jonchent aussi mes aveux » * A partir de cette image automnale, le poète suggère la fuite des sentiments et du temps * La métaphore des mains devenues feuilles marque la disparition. * Cette référence à la nature rappelle

mouvement » : répétition indiquant la lassitude et la stérilité de cette activité. Vers 7 : « dents d’une machine » : personnification de l’objet, qui devient animal féroce. Vers 8 : « monstre hideux… mâche… dans l’ombre » : la machine est, dans une métaphore filée, assimilée à un ogre dont l’aspect sournois est précisé par « dans l’ombre » ou « sombre » que l’on trouve au vers précédent. L’horreur, tapie dans l’obscurité, attend pour avaler un de ces enfants. Réponse 2 Vers 9 : « Innocents dans

imaginait les savanes ; les peuples de gazelles bondissant dans l'herbe fauve» et la seconde, triste réalité d'une société qu’elle détestera adepte d'une vie morne et ennuyeuse, «qui passaient leur temps à bridger, à boire et à s'espionner». La métaphore filée «  La lenteur, c’était cela, un mouvement très long et régulier, pareil à l’eau du fleuve qui coulait vers la mer, pareil aux nuages , à la touffeur des après-midi, quand la lumière emplissait la maison et que les de tôle étaient comme la paroi

jamais […] jeter l’ancre un seul jour ? » (v. 5-6), « n’en pourrons-nous au moins fixer la trace ? » (v. 43)  Traduit son désespoir devant ce constat d’impuissance : L’homme subit le joug impitoyable du temps. constate ses effets néfastes 1. Métaphore filée + allongement du vers dû aux fréquents enjambements a) « nouveaux rivages » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « l’océan des âges » (v. 5), « Coulez, coulez » (v. 28) b) toutes les strophes où l’on entend la voix du poète, évident

A l’énonciation c'est-à-dire aux repérages des adverbes, des pronoms, et du temps des verbes ● Au point de vue, s’il est interne, externe, ou omniscient ● Au figure de style c'est-à-dire s’il y a des comparaisons, des hyperboles, des métaphores, … ● Au genre du texte s’il est écrit en versification, en didascalies ou avec des articulations logiques 2°) Construire le plan Construires les grandes parties du plan, chaque partie est consacrée à une idée directrice qui

Une nature animée omniprésente[modifier]La nature est une entité extrêmement présente dans ce poème, principalement dans les deux quatrains, c'est ce que traduit la récurrence du champ lexical correspondant (« verdure », « rivière », « montagne », « rayon »...). Mais cette nature apparaît bien particulière, très vive et active, comme le traduisent les nombreux verbes d'action utilisés (« chante » renforcé par l'allitération de consonnes dentales au vers 1 [t]/[d], « accrochant », « mousse »...) qui

structures [notion de raideur active, contextuelle, par opposition à la raideur passive, constitutionnelle] et notamment des stries Z – allonger et non pas comprimer d’où relativisation de la métaphore du ressort dans la modélisation de l’impulsion) 4.2.4. modélisations du stockage-restitution : schémas et métaphores : perche, ressorts, arc… 4.2.5. Modèle de SHORTEN (CC, CES, CEP) 4.2.6. Tests de BOSCO (SJ, CMJ, DJ), test de THYS, « happing » (kangourou)... stockagerestitution et rendement énergétique