Moi Multiple Hume

autrui (Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF _Toc185584909 h 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) PAGEREF _Toc185584910 h 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) PAGEREF _Toc185584911 h 15 Conclusion

la Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) d'Adam Smith, ouvrage souvent considéré comme fondateur de la discipline, ne se contente pas d'étudier, ou de décrire, les « causes » de la richesse des nations ; il comporte de multiples suggestions et propositions sur ce qu'il faut faire pour augmenter cette richesse – puisqu'elle contribue au bien-être de la communauté. Adam Smith consacre d'ailleurs la dernière partie de son ouvrage (le livre V) à ce que doit faire l'État (le

Bernoulli, Pascal, Huygens ou Fermat. Il semble donc qu’on ait là une description scientifique du mécanisme de hasard. On peut prévoir les chances de réalisation d’un évènement aléatoire. Toutefois, Hume donne une juste critique de l’empirisme dont sont issues entre autres les probabilités. D’après Hume, la simple expérience et le dégagement de jugements synthétiques a posteriori mène inévitablement au scepticisme et fait de la science une croyance. On ne peut pas prévoir assurément que le phénomène

 jusqu’à  admettre  qu’il  ne  s’agit  pas  dans  la  distinction  des  énoncés  qu’il   propose  d’atteindre  une  certitude.  Fidèle  en  cela  à  l’empirisme  radical  de  Hume,  il  admet   que   les   propositions   vérifiables   peuvent   être   valides   et   scientifiques   et,   en   cela,   distinguées  des  énoncés  métaphysiques  sans  pour  autant

1) question d'essence : quelle est la caractéristique essentielle d'un fait, comment reconnaître ce qui fait qu'un fait est un fait ?2) le problème est que la notion de fait n'est pas utilisée univoquement : on peut le constater en renvoyant aux multiples usages que l'on peut faire de cette notion. a) d'abord, le sens commun utilise l'expression : " c'est un fait " ; que veut-on dire par là ? Cela sous-entend qu'est un fait ce qui a été dûment établi, ce qu'on ne peut remettre en cause. Quand on dit

commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles 17 Illustrations

théorie évolutionniste qui est la cristallisation philosophique du mythe moderne du progrès, n’est qu’une hypothèse dès lors que ce qu’elle prétend expliquer exclusivement, s’explique aussi d’une autre façon, comme la doctrine traditionnelle des états multiples de l’Etre. Nous reviendrons sur ce point. 2 – La société postulée par Durkheim, comme une réalité sui generis, c'est-à-dire qui aurait, en elle-même, sa raison suffisante, ne l’est pas, en fait. Car la société n’est que la détermination, dans l’ordre

domaine de l’art 1° la représentation et des représentations Il est important de bien comprendre que si l’on parle de la représentation, cela présuppose qu’il n’existerait qu’une nature de représentation alors même que les représentations sont multiples. Le champ d’application concerne essentiellement la connaissance, mais ne peut- on pas dire néanmoins qu’elle ne concerne pas la morale ? La liberté n’est- elle pas aussi affaire de représentation lorsque l’on se détermine d’après la loi morale

l’expression renvoie à la notion d’identité personnelle (en plus, que être = relation d’identité). L’expression voudrait alors dire que je ne suis jamais le même, que je suis toujours en mouvement, toujours en devenir. Je change sans cesse. Je suis donc « multiple ». On n’est pas toujours le même. Mais on dira encore que c’est impossible : on n’est pas sans cesse autre que soi, quand même : il faut bien que quelque chose « reste » identique à travers ces changements, sinon, ces changements ne seraient pas

associationniste des idées qui explique leur formation par la conjonction d'idées simples. Défendu principalement par les philosophes Francis Bacon, Roger Bacon (philosophe scolastique, précurseur de l'empirisme) John Locke, George Berkeley, David Hume et d'autres après eux, l'empirisme considère que la connaissance se fonde sur l'accumulation d'observations et de faits mesurables, dont on peut extraire des lois générales par un raisonnement inductif, allant par conséquent du concret à l'abstrait