Métacognition

ici que Kitchener (1983) a décrit un processus cognitif ou de connaissance à trois niveaux auquel un individu aurait recours pour résoudre un problème. Au premier niveau, l’individu exécute les tâches qu’il connaît. Au second niveau, s’ajoute la métacognition, c'est-à-dire le processus permettant à un individu de réguler ses progrès lorsqu’il est engagé dans une tâche de connaissance. Le troisième niveau concerne la connaissance épistémique qui guiderait les individus dans leur interprétation de

de la théorie de l’esprit La théorie de l’esprit se démarque de l’égocentrisme, de la théorie de l’attribution, de la métacognition, selon deux caractéristiques (Flavell et Miller, 1998). Premièrement, elle tente de se focaliser sur une connaissance plus élémentaire de l’esprit. Il s’agit de la connaissance que l’enfant possède du monde mental. Dans la perspective de la métacognition classique, une recherche portant par exemple sur le développement de la mémoire a pour objectif d’explorer les effets

Motivation, and Performance » selon Katzell, R. et Thompson, D., (1990). 2 Ce modèle incorpore des variables issues des théories des « besoins-mobiles-valeurs », des théories du « choix cognitif », et des théories de « l’ autorégulation ou métacognition »2. Il anticipe bon nombre de propositions théoriques qui suivront (Locke, 1997; Meyer et al. 2004), mais il reste cependant très vaste et de ce fait très difficile à tester dans son ensemble. Les variables mises en relation renvoient aux définitions

sont encore mal connus ; ils se manifestent aussi diversement selon les personnes. Il est donc primordial que l’élève apprenne à se connaître en tant qu’apprenant, qu’il sache déterminer clairement ses forces et ses faiblesses, qu’il pratique la métacognition. Cela lui permettra d’exprimer ses besoins le plus clairement possible, afin d’obtenir une aide personnalisée et adaptée. Également, l’élève qui a subi des échecs à répétition, depuis son entrée dans le monde scolaire, a souvent développé des réflexes

du socioconstructivisme Le socioconstructivisme permet une découverte progressive du savoir. Il respecte les rythmes et les stratégies d’apprentissage des apprenants. En plus, il permet à l’apprenant de devenir autonome et de travailler sur la métacognition, c’est- à- dire la capacité d’apprendre à apprendre. Par contre, la gestion des groupes et la mise en place de la collaboration n’est pas toujours aisée parce que dans un groupe généralement, il y en a un qui fait le travail pour les autres. 2

innée ou acquise à effectuer des apprentissages spécifiques), la capacité (savoir ou savoir-faire vérifiés par des comportements, des productions, des performances) et l’expertise (compétence dans l'excellence avec automatisation, simplification, métacognition). La connaissance (le plus souvent produite par le champ scientifique) désigne d'une part l'état de celui qui connaît ou sait quelque chose, d'autre part les choses qui sont sues ou connues. Quant à la performance, elle correspond à une action

prendre du recul sur ses pratiques et sur les ressources qu’il possède et utilise. En résumé en s’observant en train d’agir il comprend mieux sa façon de faire, ses stratégies d’action, ses ressources, ses réussites et ses échecs. Cet exercice de métacognition va développer chez l’intéressé la faculté de conduire lui-même ses apprentissages car une fois les modèles d’action établis dans un domaine de compétence, le candidat sera capable de les transposer non seulement à des situations similaires mais

des notes : revoir ses notes pour en améliorer la structure, compléter ses notes à partir de celles d’un pair ou d’un enregistrement sonore du discours du professeur, consulter des ouvrages sur le sujet, etc. Comme l’illustre cet exemple, la métacognition consiste à porter un jugement sur le travail cognitif puis de réguler l’application des stratégies cognitives. En d’autres mots, les stratégies métacognitives permettent à l’apprenant de réfléchir sur sa manière de penser et de travailler, d’en

❖ Intelligence sociale ❖ Intelligence émotionnelle • Habiletés en résolution de problèmes ➢ Construction des problèmes ➢ Capacité à générer des solutions ➢ Métacognition, soit apprendre à apprendre • Savoir tacite — Leadership transactionnel Performance supérieure aux attentes Leadership transformationnel Récompense contingente Résultats attendus

d’apprentissage. Etre source d’incompréhension. Nous ne pouvons pas dans cette étude développer ce concept, qui pose peu être, plus de difficultés en e-learning qu’en présentiel . Le travail systématique sur la prise de conscience et la verbalisation : La métacognition La compétence est inconsciente pour l’acteur non pas le résultat de la compétence ( l’action résultante, la performance ) mais le processus ayant abouti à ce résultat. C’est un phénomène très connu : plus une personne est experte moins elle est