Métacognition

présentés et des réponses observables. Ces activités de traitement de l’information sont nombreuses : prise d’information, interprétation, inférence, prise de décision, résolution de problème, prise de conscience des démarches, contrôle et régulation (métacognition)… Les apports de cette approche sont très divers et sont encore loin de pouvoir être unifiés, tant les concepts utilisés sont nombreux pour désigner des phénomènes semblables et tant les approches sont variées (du paradigme expérimental le plus

différentes. FLAVELL (post-piagétien) : Avec l’âge, il y a une plus grande propension de la métacognition. Dans le raisonnement, on tient plus compte de ce que l’on sait et de ce que l’on ne sait pas. On a un plus grand sens critique sur ses propres réflexions, on est plus indécis, on est plus sage avec l’âge. ⇨ Raisonnement sur le raisonnement (pensée sur la pensée). Certaines composantes de la métacognitions, telles que « savoir que l’on sait faire cela » et transmettre se savoir, aussi bien

Insight - Intelligence distribuée - Loi de l’effet - Loi de l’exercice - Médiateur - Renforcement direct - Mémoire à long terme - Mémoire de travail - Mémoire déclarative - Mémoire procédurale - Mémoire sémantique ou déclarative - Métacognition - Niveau de maîtrise élevé - Obstacle épistémologique - Obstacle didactique - Préconception - Préreprésentation - Prérequis - Principe de closure - Principe de contiguïté temporelle - Principe de similitude - Principes de proximité

dyslexies et dysorthographies : troubles durables dans la sphère du langage écrit, perturbant l’acquisition des apprentissages et la socialisation. L’approche pédagogique travaille les quatre facettes de la lecture (culture, code, compréhension et métacognition) ; - dyscalculies : échec durable dans l’apprentissage des nombres et des opérations, même au stade élémentaire. L’enseignement travaille les quatre facettes propres au calcul (aspects culturel, affectif, logique et numérique) ; - dyspraxies

en cas. Parmi les effets témoignés, on peut trouver un état modifié de conscience, l'euphorie, des sentiments de bien-être, de relaxation ou de réduction de stress, une appréciation accrue pour l'humour, la musique ou l'art, de la gaieté, de la métacognition et de l'introspection, une amélioration de mémoire (mémoire épisodique), une sensualité plus accrue, une augmentation de désir sexuel, des pensées créatives ou philosophiques, perturbation de la mémoire linéaire, de la paranoïa ou encore de l'anxiété

volontariste 7. La gestion de ses émotions  apprendre à « maîtriser ses émotions » (Programmes du Collège, 2008) favorise la santé en autorisant une meilleure connaissance de soi, une gestion du stress, un contrôle de l’anxiété.  utiliser la métacognition (= retour réflexif sur ses comportements et sur ce qui a été ressenti) pour aider l’élève à comprendre ses réactions émotionnelles grâce à un échange verbal avec l’enseignant, soit « à chaud » (« de quoi as-tu peur ? »), soit « à froid » (ex. du

c’est-à-dire après la fin de la production à laquelle ils ont activement participé et qui leur a permis de développer une ou plusieurs compétences. Dans la perspective d’un apprentissage réflexif mis de l’avant par les sciences cognitives, notamment en métacognition, il serait approprié que, dans le futur, une personne impliquée dans le développement Perspectives pour la généralisation de l’implantation de l’APC dans le système de la formation professionnelle Cette opération de certification est l’aboutissement

une communication et une intégration de toutes les ressources conscientes et inconscientes. Cet ultime développement de la PNL a essentiellement pour but de développer ses perceptions, d’enrichir ses représentations du monde, d’étendre ses métacognitions et de parvenir ainsi à une véritable harmonie entre soi et son environnement. 456 Alliance des consultants industriels francophones - http://www.acifr.org © Éditions d’Organisation Alors que le code classique décrit des enchaînements

réussite Educatrices de crèches : Place plus importante faite à l’enfant. Métacognition. Enfant autonome CONDITIONS D’UNE SCOLARITE REUSSIE VUE DU COTE DES ENFANTS - Pas d’imposition de l’école de manière brutale. - Besoins physiologiques respectés. Bon état de santé, sommeil… - Minimum d’autonomie. - Pouvoir se faire comprendre. Enseignantes : S’ajustent à l’enfant. Enfants qui participent plus. Plus de métacognition. Plus de réponses diversifiées. Pallient les difficultés de l’enfant.

des yeux. Cette croyance sur la nature de l’habileté, appelée universel de la cognition est déterminante dans le choix des orientations de but. 7.2.2. Importance des métaconnaissances vis-à-vis de la confiance en soi La confiance en soi et la métacognition sont reliés en ce sens que la connaissance métacognitive (autrement dit les croyances sur le soi, sur la tâche et sur la cognition en général) forme la base sur laquelle la confiance en soi est construite et maintenue. Cette influence, en fait