Métacognition

réfléchir - sur leur mode de fonctionnement (cf. infra- phase de métacognition) 24 Langues Modernes – Technique de qualification – 2ème et 3ème degrés - sur les critères qui seront pris en compte pour évaluer (de façon formative) (constitution d’une grille d’évaluation). On peut cibler les critères dont on tiendra compte en fonction de la situation de communication ou des besoins propres à la classe. / Phase de métacognition pour l’élève. Il s’agit ici de lui faire exprimer les étapes qui

transfert de stratégies d’une situation problème vers une autre, d’un domaine de connaissances vers un autre. BIBLIOGRAPHIE Articles et ouvrages : BALAS-CHANE Armelle, 2002. L’entretien d’explicitation : accompagner l’apprenant vers la métacognition explicite. Revue Eduquer no1. BUCHEL Fredi P. et PAOUR Jean-Louis, 2005. Déficience intellectuelle, déficits et remédiation cognitive. PUF - Enfance no 3. BUZAN Tony, 1993. Dessine-moi l’intelligence. Les Editions d’Organisation. CEBE

remédiation • Les résultats de la remédiation sont évalués selon les mêmes principes que lors de la première évaluation et avec les mêmes critères et indicateurs. Cependant les exercices peuvent changer. • Ne jamais oublier l’activité de métacognition pour permettre à l’élève de prendre, vis-à-vis de ses erreurs, le recul nécessaire à leur traitement. Il 42 s’agit moins de donner les réponses que d’amener l’apprenant, par les explications et les activités proposées, à les trouver lui-même

la loi sur la formation continue des adultes date de 1971. Cependant, cela ne dispense pas les didacticiens d'interroger certains concepts, notamment la motivation, la transposition pédagogique et le transfert ainsi que la représentation et la métacognition, ces deux derniers concepts venant plutôt de la psychologie cognitive (ce qui montre bien la porosité des frontières disciplinaires). Toute réflexion sur l'enseignement peut difficilement faire l'impasse sur les apports de quelques grands pédagogues

-L’articulation lecture/écriture : C’est ce que recommandent les instructions officielles (cf. supra). Ainsi, il va être possible de lister les critères de reconnaissance d’un genre donné en lecture et de s’en servir de guide d’écriture. -La métacognition : Donner des critères d’appartenance générique permet de guider les activités de révision des écrits qui, on l’a vu, sont toujours délicates. -Les pratiques sociales de référence : faire écrire à partir des genres démultiplie les possibilités

[...] Toutefois, l'émergence de nouveaux savoirs n'est possible que si l'apprenant saisit ce qu'il peut en faire et s'il parvient à modifier sa structure mentale et si ces nouveaux savoirs lui apportent un plus dont il peut prendre conscience (métacognition). L'affectif, le cognitif et le sens se trouvent ainsi intimement liés dans un processus d'apprentissage qui dépend toujours d'un contexte et d'un environnement socioculturel » Ainsi, aujourd’hui, apprendre n'apparaît pas comme le résultat d'empreintes

l’énoncé métacognitif. Rares sont les élèves, même parmi les plus efficaces, qui savent répondre à la question : « Pourquoi as-tu fait telle ou telle opération ? Pourquoi as-tu commencé ou fini ta 6 démonstration de telle ou telle manière ? » La métacognition est d’autant plus faible que le processus demandé mettait en œuvre, de manière originale, plusieurs processus connus par ailleurs, mais qui n’avaient jamais été réunis de telle manière pour résoudre tel problème. Il devient donc prioritaire

autres), être considérées en complémentarité. Les connaissances explicites et leur mode d’apprentissage Les connaissances explicites sont celles que le sujet est capable de verbaliser et de contrôler intentionnellement. Il s’agit bien, ici, de métacognition et plus précisément, dans le domaine du langage, de la conscience métalinguistique, mieux connue des didacticiens de la langue première que celui des connaissances implicites. L’importance de la conscience phonologique dans l’apprentissage de

l’esprit concernent plus largement les représentations du fonctionnement psychologique des êtres humains : La représentation des représentations mentales. Les théories de l’esprit sont un aspect du développement des capacités métacognitives. La métacognition concerne les représentations, les connaissances que l’individu possède concernant le fonctionnement cognitif. Les prémices : Compréhension de l’intention d’autrui Phénomène d’attention conjointe : Le bébé regarde dans la même direction que sa

décrire les savoir-faire mis en œuvre, la méta-cognition lui donnera la possibilité de décrire comment il s’y prend pour décrire ces savoir-faire. Cette nouvelle distanciation sera le fondement des processus permettant d’apprendre à apprendre. La métacognition, c’est le retour sur ses propres démarches mentales pour en prendre conscience et pouvoir les décrire. 23 3) Le vouloir agir ; un besoin de sens. L’action pertinente ne dépend pas seulement du savoir agir et du pouvoir agir, elle est