Métacognition

théories de l’esprit concernent plus largement les représentations du fonctionnement psychologique des humains = Représentations de représentations mentales. -> Une forme de métacognition : la cognition sur la cognition. Les théories de l’esprit sont un aspect du développement des capacités métacognitives : La métacognition concerne les représentations, les connaissances que l’individu possède sur le fonctionnement cognitif. -> Quelles sont mes connaissances sur mon propre fonctionnement cognitif 

En facilitant le traitement des informations au niveau du groupe, ce système contribue à améliorer les performances collectives. Parce qu'il contient une connaissance partagée sur la compétence de chacun des membres, il s'apparente à une « métacognition collective », c'est-à-dire une connaissance par les membres du groupe de ce qu'ils sont capables de faire ensemble. Autrement dit, c'est en sachant ce que les autres membres du groupe connaissent que les individus peuvent accéder à une mémoire

besoin d’approfondir cette dimension et de trouver différentes formes d’observation. Le chapitre 3 du volume Une didactique de l’oral - Du primaire au lycée 14 porte un nouveau regard sur l’oral. Il prend le point de vue réflexif, celui de la métacognition. Pour Maurer, l’essentiel de la réflexion porte sur une gestion harmonieuse – plutôt que conflictuelle – de la communication. C’est une didactique de l’oral pensée en termes d’actes de parole dans une perspective pragmatique. Ainsi, l’enjeu est

pénalisée qu’à l’étape concernée. Dans certains cas, s’ajoute(nt) : ¡ la cohérence de la réponse ; ¡ la justification par l’élève de la démarche qu’il a proposée ou du choix de l’argumentation qu’il a été amené à utiliser (démarche de métacognition). 5 CALCUL DES RÉSULTATS Le calcul des résultats s’effectue automatiquement en encodant des points de chaque élève dans une grille. Il s’agit d’encoder les points item par item dans une grille de type « Excel » de manière à ce que le

d’un pair ou d’un enregistrement sonore du discours du professeur, consulter des ouvrages sur le sujet, etc. Anastassis Kozanitis Septembre 2005 Bureau d’appui pédagogique École Polytechnique Page 10 sur 14 Comme l’illustre cet exemple, la métacognition consiste à porter un jugement sur le travail cognitif puis de réguler l’application des stratégies cognitives. En d’autres mots, les stratégies métacognitives permettent à l’apprenant de réfléchir sur sa manière de penser et de travailler, d’en

fait il n'a pas compris l'information transmise ou que son système de pensée n'est pas adéquat.Et en général, on comprend la structure d'ensemble quand on doit la décortiquer pour la faire fonctionner ou pour l'enseigner, d'où l'importance d'une métacognition pour rendre le savoir opératoire et mobilisable. Enfin, supposer l'activité mentale comme un processus de traitement de l'information (théories génétiques), ou même comme un processus hiérarchisé de traitement d'informations (théories cognitives)

démarche s’appuie sur l’observation, l’analyse, l’interaction et l’évaluation. Prenant conscience par le biais des moments de verbalisation, de ses stratégies d’acquisition, l’élève fera ainsi l’expérience de l’autonomie intellectuelle et de la métacognition (réflexion sur ses propres pratiques d’apprentissage). 9 Le cheminement d’apprentissage comprend : Un moment d’observation méthodique (analyse instrumentée), un moment de découverte, un moment de reformulation personnelle et un ou des moments

devrait être plus descriptif, amusant et surtout, ne pas faire peur aux élèves. Peut-être que si l’enseignement de la chimie au niveau secondaire se concentrait un peu moins sur le contenu, un peu plus sur les intérêts et introduisait un peu plus de métacognition en chimie (Rickey et Stacy, 2000), le nombre d’élèves qui continueraient des études scientifiques augmenterait. 6.4 Le futur enseignement de la chimie Les études menées jusqu’à présent tendent à monter que suite à l’introduction du nouveau

théorie des «  profils pédagogiques » d’Antoine de la Garanderie : certains ont une intelligence visuelle tandis que d’autre en ont une auditive voire kinesthésique ou manipulatoire), mode de pensée et stratégie d’apprentissage (le rôle de la métacognition est absolument déterminant dans les apprentissages : elle nécessite d’accorder du temps aux élèves pour expliciter, justifier et analyser les réponses et les stratégies). L’âge est également un facteur à prendre en compte car dans une classe, il

soi-même. Comment initier ce mouvement de réflexion chez l’étudiant tout en sachant que la pensée critique ne peut s’exiger? La pensée critique ne produit donc pas de connaissance au sens propre car elle n’est pas un processus cognitif, mais une métacognition au sens où elle exprime le retour sur les produits de la cognition en tant qu’exercice de réflexion; c’est pourquoi la psychologie cognitiviste ne réussit pas à la définir – le problème étant de considérer la pensée critique comme un processus justement