Métacognition

des discours, Paris, Armand Colin. ADAMS, R. (coord.), KIRSCH, I. DE LANGE, J. et HARLEN, W. (1999), Mesurer les connaissances et compétences des élèves : un nouveau cadre d’évaluation, Paris, OCDE. ALLAL, L. et SAADA-ROBERT, M. (1992), La métacognition : cadre conceptuel pour l’étude des régulations en situation scolaire. Archives de psychologie, n° 60, p. 265-296. ALLAL, L. (dir.), BAIN, D. et PERRENOUD, Ph. (1993), Evaluation formative et didactique du français, Neuchâtel, Delachaux-Niestlé

nécessaires au processus. Il ne s’agit bien sur, pas d’affectif, mais bien d’un juste équilibre entre relation et respect permettant la prise en compte de l’individu dans ce qu’il est, ce qu’il vit et ce qu’il devient, son histoire, ses émotions, sa métacognition. Une maturation progressive qui tient un rôle important dans le succès de ce processus. « L’enseignent se doit toujours d’avoir un "plus" à apporter à ses élèves : une expérience, une situation de dépassement, de simples renseignements pratiques

l’orthographe (Léger, 1999). Aujourd’hui, avec les découvertes des sciences du langage et l’évolution des objectifs de formation, l’enseignement du français doit favoriser l’autonomie de l’élève au moyen d’un modèle d’enseignement qui développe la métacognition (Moffet, 1995). En effet, l’enseignement de la grammaire doit poursuivre des buts qui vont au-delà de la maîtrise des accords et des exercices mécaniques, pour se mettre au service de l’écrit dans toutes ses dimensions (Nadeau et Fisher, 2006)

socioculturelles, relationnelles et affectives. L’ouvrage appuie ainsi sur les dimensions internes propres à l’individu qu’omet bien souvent la société et l’école, telles que : l’affectivité, le tâtonnement expérimental, la métalinguistique, la métacognition et la socialisation. L’auteur souligne le fait que ces dimensions ont elles aussi leur importance dans l’appropriation de l’écrit. L’enfant a besoin d’éprouver un certain désir d’apprendre, sans ce désir, l’acquisition est impossible. Le désir

capable de participer à un débat portant sur "l'interprétation d'un texte littéraire" et de "vérifier dans le texte (et/ou les images) ce qui l'interdit ou le permet". Il s'agit, par là, de s'appuyer sur un modèle pédagogique qui met en avant la métacognition, visant à rendre l'élève autonome, et par lequel l'enseignant aide les élèves à comprendre ce qu'ils apprennent et pourquoi ils l'apprennent (notion sur laquelle je reviendrais en deuxième partie). Les auteurs préconisent une fois de plus de mettre

lecerveau.mcgill.ca/flash/index_d.html l’intelligence kinesthésique. Le travail en équipe, les interactions avec les malades et le personnel sont autant d’occasions de développer l’intelligence interpersonnelle. De plus, la réflexion sur soi, la métacognition que favorisent l’auto-évaluation et la coévaluation, l’analyse de ses émotions devant la souffrance et la mort, l’établissement d’objectifs personnels, multiplient, pour l’étudiante, les possibilités d’évolution de l’intelligence intrapersonnelle

un enfant saisit les "états intentionnels" d'autrui, ses croyances, ses promesses, ses intentions, ses désirs, en un mot ses théories de l'esprit, selon une expression utilisée dans ce secteur de la recherche. - la troisième est l'étude de la métacognition, c'est-à-dire de ce que les enfants pensent du fait d'apprendre, de se souvenir et de penser. C'est l'étude de la manière dont le fait de "penser à" ses propres opérations cognitives influe sur nos procédures mentales. La première contribution

dans des études et analysables en référence à des manuels de codage des pratiques éducatives parentales.116Interventions :Intervention précoce et préscolaire à l’égard des parents6.3.3. Modèle d’éducation parentale centrés sur les cognitions, la métacognition et le sentiment de compétence parentaleNader-Grosbois, 2020Il est postulé que le comportement de l’enfant peut être influencé par le sentiment de compétence parentale (parental self-efficacy, Bandura, 1997, 2007). Celui-ci réfère aux croyances

STRATÉGIES ANALYSE pour identifier les idées élémentaires SYNTHESE ET RÉDACTION pour réaliser un produit communicable OU multiplier les points d'entrée dans la matière De manière générale, une attitude métacognitive de l’élève sera privilégiée. La métacognition « désigne à la fois l’ensemble des connaissances qu’un individu possède sur son fonctionnement cognitif et ses capacités à réguler ce fonctionnement » (Romainville, 1993, p. 25). Il s’agit donc d’amener les élèves à prendre conscience de leur manière

sanctions. Parfois l’individu remplis les objectifs demandés au départ. Moins il le fait sous la contrainte et plus il y a de chances que l’individu aille plus loin que les objectifs initiaux. Les théories de l’autorégulation et de la métacognition. - La théorie de la fixation d’objectifs. Locke : Goal setting theory. Pour motiver les individus, l’organisation fixe des objectifs. La séquence motivationnelle comporte cinq étapes : • Déterminer les besoins.