Medaf

traditionnellement mesurée par rapport à un indice de marché de référence3 qu’il soit pur ou composite4. Il existe différentes mesures de performance ajustée du risque. Elles trouvent leur origine dans les deux modèles de référence de la théorie financière : le MEDAF (Modèle d’Equilibre des Actifs Financiers) et le MEA (Modèle d’Evaluation par Arbitrage). La demande croissante d’information émanant de la clientèle, surtout institutionnelle, a rendu nécessaire de dépasser ces mesures globales de la performance.

Le bêta sectoriel du secteur est de l’ordre de 0,98%. Le bêta de la société compte tenu de sa structure financière ressort à 0,59%.  Choix du taux d’actualisation Le choix du taux d’actualisation selon le modèle du marché de capitaux MEDAF se fait normalement par la détermination :  Du taux sans risque de placement à long terme (r). Nous retenons comme base le taux du marché obligataire, soit r = 7,126%.  Du Bêta sectoriel (B) et le Bêta de la société (Bs).  Taux moyen d’endettement

l'inverse du ratio cours/bénéfice que nous avons utilisé précédemment pour évaluer la création de valeur chez Exemple inc. Le second modèle consiste à utiliser le modèle du CAPM, pour capital asset pricing model, soit l'évaluation de l’actif financier (MEDAF). Ce dernier a recours à la relation d’équilibre qui existe entre le rendement et le risque. Ainsi, KE = Rf + (E(Rm) – Rf)ß (eq.15) Où : Rf = taux obtenu sur un placement sans risque E(Rm) = taux espéré du marché pour la prochaine période

la mesure  de la sensibilité d’un actif au risque du marché : J = Cov(rJ,rM)  (rM)   15 , ce taux étant calculé sur la base des dividendes Il vient alors que 15 Henri BOUQUIN, op. cit, P. 312 29 E(r) = rF + J [E(rM) - rF] (Formule du MEDAF: Modèle d’équilibre des actifs financiers) i 2. Notion de risque d’exploitation Le risque d’exploitation est la mesure de la sensibilité du résultat d’exploitation par rapport aux variations de l’activité. Lorsqu’on procède à une analyse de l’activité

traditionnels de valeur actualisée ne font pas.” (CFO Europe, juillet 1999) “Pour évaluer des projets potentiels, il faut presque invariablement avoir recours à une théorie de la finance corporative appelée “Modèle d’évaluation des actifs financiers” (MEDAF ou CAPM). En général, les gens de terrain n’aiment pas ce modèle pour la simple raison qu’il ignore la valeur des vrais gestionnaires. Ils accepteront donc peut-être certains travaux universitaires récents. Dans la tour d’ivoire, on veut délaisser

l'ensemble du système bancaire supportait des risques de crédits, non seulement dans les fonds que les banques finançaient, mais aussi dans les fonds qu'elles géraient. Ainsi, des créances titrisées à haut rendement (et donc à haut risque selon le Medaf) étaient elles-mêmes présentes dans certaines société d’investissement à capital variable monétaires, placements jusque-là jugés sans risque, les « sicav monétaires dynamiques ». D'où une brutale chute de valorisation des sicav monétaires dynamiques

des actifs. Partie 3 : Evaluation du risque financier et du coût des fonds propres : la mesure du risque financier (statistiques appliquées à la finance) ; la diversification du portefeuille d’actifs ; le modèle d’évaluation des actifs financiers (MEDAF) ; le coût moyen pondéré du capital (CMPC) ; la question de la pertinence du taux d’actualisation. Partie 4 : Décision de financement : structures du capital et effets de levier ; les modèles de Modigliani et Miller ; la Valeur Actuelle Nette Ajustée

l’instant intégrées dans l’avoir des actionnaires qui structure les sources de financement avec la dette. Il n y a donc pas lieu de les traiter séparément ici. En conséquence, nous pouvons déterminer le coût des capitaux propres. Calcul selon le MEDAF Il faut calculer le coût des capitaux propres (Ke) à partir des inputs relatifs à la prime de risque, au taux sans risque et au Bêta. ``Le bêta mesure la covariance entre les rendements d’un titre et ceux du marché dans son ensemble. • Le bêta

vente à a découvert est donc possible. Le revenu final de l’agent i s’écrit lui : f W i = R.xi .W i (3) où R est le vecteur ligne des rendements. L’hypothèse principale sur laquelle repose la théorie du portefeuille à la Markowitz ainsi que le MEDAF est qu’il est possible de représenter les préférences des agents sur les portefeuilles par des fonctions d’utilité ne dépendant que (de manière croissante) du rendement attendu de celui-ci et (de manière décroissante) de la variance du revenu de ce

l'ensemble du système bancaire supportait des risques de crédits, non seulement dans les fonds que les banques finançaient, mais aussi dans les fonds qu'elles géraient. Ainsi, des créances titrisées à haut rendement (et donc à haut risque selon le Medaf) étaient elles-mêmes présentes dans certaines SICAV monétaires, placements jusque-là jugés sans risque, les « sicav monétaires dynamiques ». D'où une brutale chute de valorisation des sicav monétaires dynamiques dans les premiers jours d'août 2007