Medaf

méthode anglaise -saisie des flux nets de surprofit -comparer le résultat de l’entreprise au coût des fonds propres (donc après les frais financiers) compte tenu de son risque spécifique : SP = RNC – ANCR*E(Rcp) Exigibilité des fonds propres (MEDAF) Actif net comptable réévalué GW = actualisation au taux i de (RNC-ARNC*i) sur un nombre d’année défini à partir de la durée anticipée de conservation de l’avantage concurrentiel pour l’entreprise. Dans ce cas la valeur de l’entreprise = ANCR +

Sa fonction d’utilité est donnée par : U = E[R] – 0,5*A*Var[R] Quelle proportion doit‐il investir dans l’actif risqué pour maximiser son utilité ? [pic] 4° Le CAPM. Capital Asset Pricing Model Modèle d’Evaluation Des Actifs Financiers (MEDAF) Développé par Sharpe, Lintner et Treynor Comment évaluer le rendement attendu de n’importe quel titre ? Rendement attendu d’un titre i : [pic] Le β d’un titre traduit sa sensibilité au marché – βi > 1 : titre qui amplifie les mouvements

par rapport au SBF 120 2. L’histoire boursière P. 53 à 55 P. 53 à 54 P. 53 P. 53 à 54 P. 54 P. 54 à 55 II. LA RENTABILITE ET LE RISQUE 1. Le modèle de marché a. La décomposition du risque total σ²(Ri) b. Volatilité du titre Eurotunnel 2. Le MEDAF a. Le taux de rentabilité exigé par les actionnaires b. Le taux de rentabilité obtenu par l’actionnaire P. 56 à 59 P. 56 à 58 P. 57 à 58 P. 58 P. 58 à 59 P. 58 à 59 P. 59 III. LA VALORISATION DE LA SOCIETE 1. 2. 3. 4. 5. Le P.E.R. (Price Earning

règles d’allocation optimal des capitaux s’inspire essentiellement du critère de la valeur actualisée des flux tout en l’adaptant successivement avec le prix du risque grâce au modèles construis par la théorie du portefeuille , notamment celle du MEDAF (modèle d’équilibre des actifs financiers). 2. Source de données de mesures de la performance financière des entreprises L’information dans l’approche traditionnelle a pour source unique, le marché financier « la bourse » avec une intégration

cours boursier de l’action est en baisse. La crise financière qui à toucher le monde entier a eut des répercutions négatives sur le secteur dans lequel évolue le Groupe TOTAL est en baisse. Le Bêta : Ecart type Bêta Le Bêta est le coefficient clé du MEDAF. Le bêta d'un fonds se définit mathématiquement comme le rapport de la covariance de la rentabilité implicite du portefeuille avec celle du marché et de la variance de la rentabilité 13,17% 0,96 implicite du marché, soit : Le Béta du Groupe TOTAL

cotées à propos desquelles les études approfondies concernant les marchés financiers sont désormais fiables, sous certaines hypothèses qu’il convient de vérifier. On peut citer à cet égard notamment les références suivantes qui ont fait école : - Le MEDAF (modèle d’évaluation des actifs financiers) issu de l’algorithme de Markowitz et sa version simplifiée, le modèle de Sharpe-Markowitz. Selon ces auteurs, le rendement à espérer d’un titre, et par conséquent son évaluation par le marché, se détermine

risque total, mais uniquement au risque du marché. Corrélativement, dans un marché à l'équilibre, le risque diversifiable n'est pas rémunéré. Le MEDAF (modèle d'évaluation des actifs financiers) ou CAPM permet alors de déterminer le taux de rentabilité exigé par un investisseur. prime de risque du marché, soit : Taux de l'argent sans risque Si le MEDAF est universellement utilisé, il n'est pas exempt de défauts à la fois pratiques (pour déterminer les coefficients bêtas avec fiabilité), et fondamentaux

capital ..……………………………41 1. Les enjeux du choix des moyens de financement………………………………….41 1.1. La dimension rendement du choix des moyens de financement……….42 1.2.La dimension risque du choix des moyens de financement……………….47 * II. MEDAF : un modèle pour approcher risque et rentabilité par un bêta……………………………………………………………………..49 1. Les deux types de risques………………………………………………….………50 2. Le risque du projet……………………………………………………………………………….53 Conclusion………………………………………………………………...54 Conclusion

des fonds propres : Le coût des fonds propres a fait l’objet de nombreuses études , mais une tentative d’approche plus rationnelle a été développée dans le cadre de la théorie classique. Il s’agit du Modèle d’Equilibre des Actifs Financiers (MEDAF), traduction du modèle anglo-saxon de Capital Asset Pricing Model (CAPM). Ce modèle découle de la théorie des portefeuilles d’investissements efficients. Il suppose que tous les investisseurs se dotent de portefeuilles leur permettant de maximiser

l'ensemble du système bancaire supportait des risques de crédits, non seulement dans les fonds que les banques finançaient, mais aussi dans les fonds qu'elles géraient. Ainsi, des créances titrisées à haut rendement (et donc à haut risque selon le Medaf) étaient elles-mêmes présentes dans certaines SICAV monétaires, placements jusque-là jugés sans risque, les « sicav monétaires dynamiques ». D'où une brutale chute de valorisation des sicav monétaires dynamiques dans les premiers jours d'août 2007