Mc Gregor Et Le Taylorisme

nouveau courant de pensées prend alors de l’essor pour apporter des réponses à l’insatisfaction exprimée par les ouvriers soumis à l’effet du taylorisme conduisant à des phénomènes tels que l’absentéisme, les turn over et les freinage fréquents dans les chaines de production. Les théoriciens les plus célèbres reconnus pour cette période sont: E. Mayo, D. Mc Gregor, A. Maslow, F. Hertzberg qui ont contribué au développement du courant des relations humaines travers des études tendant à montrer que l’homme

interchangeable. Son rendement est directement lié aux conditions de travail (salaire, conditions de salubrité, d’éclairage, durée de travail) (Dans l’OST, les salariés sont interchangeables et motivés par l’argent) 3) Les prolongements su taylorisme Les principaux disciples de Taylor sont Barth Garitt Emerson et les époux Gilbreth qui ont poursuivi l’étude des temps et des mouvements. De plus, Ford a ajouté des éléments suivants à l’OST : * Le travail à la chaine * La standardisation

le taylorisme touche également le management de l’entreprise au sens large. Reprenant les théories libérales, Taylor soutient que chaque individu en donnant le meilleur de lui-même concourt au bien général de toute l’entreprise. Dès 1908, Henry Ford voit tout le bénéfice que l'industrie automobile peut tirer de l'application de ces théories. La Ford T naît ainsi d'un concept industriel : la fabrication en grande série. Jusqu'en 1927, quinze millions de Ford T seront produites. Le taylorisme connaît

l’innovation ................................................................................................................. 33 a. Le management coopératif, qu’est-ce que c’est ? ............................................ 33 b. Douglas Mc Gregor, père fondateur du management coopératif ...................... 36 c. Le sense-making organisationnel : une approche indispensable au management coopératif........................................................................................

contexte : la révolution industrielle amorcée au IXXe siècle engendre une nouvelle forme de travail : le travail en usine. Le secteur industriel attire une main d’œuvre agricole peu adaptée à la production et qu’il va falloir intégrer. 1/ Taylorisme : OST 1 Le taylorisme est une méthode de travail qui tire son nom de celui de l’ingénieur américain Frederik Winslow Taylor (1856-1915). D’abord apprenti dans un petit atelier de mécanique de Philadelphie puis ouvrier, contremaître, ingénieur en chef à la

fait interchangeable ( pas de notion de considération , d'intérêt au travail, d'estime de soi). Son rendement est directement lié aux conditions de travail (salaire, conditions de salubrité, d'éclairage, durée du travail). Les prolongements du taylorisme Les principaux disciples de Taylor sont Barth Gantt Emerson et les époux Gilbreth qui ont poursuivis l'étude des temps et des mouvements. De plus, Ford a ajouté les éléments suivants à l'OST: -Le travail à la chaine -La standardisation des

situation, puis prise de décision, performances ?) Au départ, utilisation des TIO pour décrire les structures mais il y a eu une élargissement au-delà de la simple structuration…. Des travaux anciens peuvent être relus à partir de ce concept de TIO : Mc Gregor, 60’s, oppose 2 TIO, 2 conceptions de l’homme au travail : une conception appelée Théorie X (conception classique : l’homme déteste le travail, les salariés doivent être contrôlés) et l’autre conception la théorie Y (l’homme aime le travail).

rémunération au rendement. - Succès et critiques : - Taylor a été le premier à présenter une théorie de l’organisation. Son succès a été mondial aussi bien à l’ouest qu’à l’est (Lénine ou le Stakhanovisme : Lénine a été très impressionné par le Taylorisme et le Stakhanovisme en a été l’aboutissement logique). La logique Taylorienne c’est avéré particulièrement bien adaptée aux conditions économiques et sociale du début du 20e siècle : Mettre au service de l’industrie naissante une main d’œuvre rurale

peut être dissocié du « savoir-être ». « La responsabilisation individuelle constitue la clé de voûte de ce nouveau modèle professionnel ». (D.LINHART [1993], D.COURPASSON [1995]) « L'autonomie, la responsabilité sont l'expression d'un néo-¬taylorisme fondé sur l'intériorisation des modes de contrôle et la valorisation des composants humains mutilés ou déniés par l'organisation taylorienne. » (A. DIETRICH, [1997]) Le concept de compétence, essentiel dans un contexte de complexité et de transfonctionnalié

peut y profiter. PARTIE THEORIQUE Introduction de la partie Théorique : La fin du 19e et le début du 20e siècle ont été influencés par le modèle taylorien. On parle alors de l‟organisation scientifique du travail (l‟O.S.T). A l‟époque le taylorisme était synonyme d‟efficacité et d‟éradication du gaspillage sous toutes ses formes. Il avait servi comme technique de production Américaine pendant la seconde guerre mondiale et ses principes nous les observons toujours dans les secteurs d‟activité