Maximes Rochefoucauld Jansénisme

argumentation indirecte= la thèse, le plus souvent formulée dans la moralité est justifiée par un récit fictif. La progression du récit, la justesse des dialogues font la valeur de l’argumentation. La moralité est la thèse que le récit justifie. La maxime : affirmation très générale qui formule une thèse, sans la justifier par des arguments, sans l’illustrer par des exemples Les portraits : montrent et démontrent les effets de l’égoïsmes, de la suffisance, de l’argent et de la vanité La question

primordiale des traités de comportement car cette grâce, pour citer encore Faret « s’estend universellement sur toutes les actions, et se mesle jusques dans les moindres discours ».[25] En ce sens, on pourrait, en plagiant le précepte d’Horace, ériger en maxime du comportement l’adage Ut pictura habitus.[26] Et si pour plaire, un tableau doit faire oublier l’artiste qui l’a peint[27], l’homme de cour, pour plaire en conversation, doit pareillement s’effacer devant les autres : comme le dira encore

forme de contour parfaite dont le style doit exprimer la distance et la dimension d’un verdict irrévocable. Maximes et sentences : C’est l’expression d’une vérité morale d’ordre général, en une phrase évocatrice. On les trouve partout que ce soit dans des commentaires d’images ou insérés dans des textes plus longs dont elle e détache par sa forme indépendante. Les inventions de maximes et de sentences deviennent de véritables jeux mondains auxquels on participe dans les salons. Contes et fables:

didactique mais descriptif. Ce pose alors la question de la vérité, les tarit de ma peinture … Une vision du monde solidaire de la vison du moi (vérité, métamorphose) Ordre stylistique, on notera en contre point le gout pour la sentence, la maxime (phrase au présent de vérité générale universel et qu’on peut détacher du texte parce qu’elle a une autonomie syntaxique) Le monde n’est qu’une branloire … Le gout pour le paradoxe, … « brillant »la sentence, « la constance … / mouvement » Le

glorifier la monarchie.  Le contexte religieux. Le XVIIe siècle est empreint d’une profonde spiritualité catholique (Saint-Vincent-de-Paul, le cardinal de Bérulle, Pascal, Bossuet). Les jésuites s’opposent aux jansénistes (abbaye de Port-Royal)  (Le jansénisme est un mouvement religieux, puis politique, qui se développe au xviie siècle et au xviiie siècle, principalement en France, en réaction à certaines évolutions de l'Église catholique, et à l'absolutisme royal) qui affirment que l’homme vit dans le

brève ? La correction peut faire ressortir les idées suivantes. Tout d’abord, on remarque que les fragments sont de formes très diverses, correspondant à des états d’achèvement différents. À la différence des Essais de Montaigne (1580-1595), des Maximes de La Rochefoucault (1665-1678) ou des Caractères de La Bruyère (1688-1694), les Pensées de Pascal n’est pas une œuvre achevée, ce qui explique son caractère fragmentaire, et la très grande hétérogénéité de ces fragments. Ils se présentent souvent

Pascal se blesse à la cuisse. Il est soigné par deux gentilshommes, les frères Deschamps, qui lui prêtent des ouvrages jansénistes | | |(alors que le jansénisme fait déjà l'objet, depuis 1641, de premières condamnations). | | |Blaise Pascal qui a

particulier de l’hôtel de Rambouillet, elle s’installa à Paris en 1659 et y tint elle-même salon, se lia d’amitié avec Mme de Sévigné, avec Segrais (qui collabora de près ou de loin à la quasi-totalité de ses oeuvres) et fut très intime avec La Rochefoucauld. ______________________________________________________________________________ “Histoire de la princesse de Montpensier” (1662) Nouvelle Commentaire Mme de La Fayette publia cette nouvelle sous le nom de Segrais. ______________

particulier de l’hôtel de Rambouillet, elle s’installa à Paris en 1659 et y tint elle-même salon, se lia d’amitié avec Mme de Sévigné, avec Segrais (qui collabora de près ou de loin à la quasi-totalité de ses oeuvres) et fut très intime avec La Rochefoucauld. ____________________________________________________________ _____________________________ “Histoire de la princesse de Montpensier” (1662) Nouvelle Commentaire Mme de La Fayette publia cette nouvelle sous le nom de Segrais.

particulier de l’hôtel de Rambouillet, elle s’installa à Paris en 1659 et y tint elle-même salon, se lia d’amitié avec Mme de Sévigné, avec Segrais (qui collabora de près ou de loin à la quasi-totalité de ses oeuvres) et fut très intime avec La Rochefoucauld. ______________________________________________________________________________ “Histoire de la princesse de Montpensier” (1662) Nouvelle Commentaire Mme de La Fayette publia cette nouvelle sous le nom de Segrais. ________________________