Maximes Fondamentales épicure

plus complète de ce travail est publiée au Chapitre 5 du livre de Francis Wolff : L'être, l'homme, le disciple, PUF, collection Quadrige, 2000, sous le titre: « L'homme heureux a-t-i des amis ? (Figures entrecroisées de l'amitié chez Aristote et Epicure) ». L 'homme heureux a-t-il des amis ? Perspectives sur les théories aristotélicienne et épicurienne de l'amitié L'homme heureux a-t-il des amis? La question n'est pas saugrenue. Elle engendre des paradoxes, elle est à la croisée de préoccupations

définie que comme l'absence de douleur. À ce titre les souffrances sont à rejeter et les plaisirs à rechercher à condition de bien juger à long terme des uns et des autres. C'est pourquoi Épicure privilégie finalement les seuls désirs naturelles et nécessaires, c'est à dire ceux qui se rapprochent des besoins fondamentaux puisqu'à long terme ce sont les seuls à coïncider avec les exigences naturelles. 3\Distinguer ce qui dépend de nous et de ce qui n'en dépend pas. Le stoïcisme à été fondé par Zénon

thèses de Descartes et de Sartre à propos de la conscience nous permettent de penser qu'elle n'est pas l'ennemie du bonheur, mais qu'elle est au contraire son alliée. Pour Descartes, philosophe idéaliste du XVIIème siècle à l'origine de la célèbre maxime « je pense, donc je suis », la conscience a deux caractéristiques : l'immédiateté et la transparence. Ainsi, pour lui, l'être humain qui se prend lui-même comme objet de réflexion n'est pas confronté à une distance physique ou mentale avec sa conscience

imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression » ROUSSEAU, « chacun s’unissant à tous n’obéit pourtant qu’à lui-même et reste aussi libre qu’auparavant. Tel est le problème fondamental dont le contrat social donne la solution » NIETZSCHE, « L’Etat est le plus froid de tous les monstres froids, il ment froidement et voici le mensonge qui sort de sa bouche : moi l’Etat, je suis le peuple » -La liberté DESCARTES

Sophie, Jostein Gaarder) Universalité de la réflexion philosophique Mais une question fondamentale pour Heidegger (XX) : l’Etre, la totalité de ce qui est Heidegger, Qu’est-ce que la métaphysique : « comment se fait-il que l’être soit ? » Reprend l’arbre de la connaissance en rajoutant la terre nourricière : l’Etre 7. Pourquoi réfléchir ? a Se connaître soi-même (réflexion et sagesse) « Connais-toi toi-même » : maxime de Socrate Sagesse : Paroles = pensées Actes = paroles Liberté : affirmation du « je »

l'homme en tant qu'agent et du monde physique, ------------------------------------------------- Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient un quelconque dépassement de la volonté par rapport à des déterminismes telle que la sensibilité ------------------------------------------------- (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) : Définition et critiques

la vie du déréglé, qui suit et qui suit aveuglément, sans le savoir et sans le vouloir, chacun de ses désirs. Accomplir tous ses désirs ne saurait être une "bonne règle de vie" parce que cela ne saurait être une vraie règle de conduite, ou une maxime. Une "règle de vie" ne décrit pas seulement ce que nous faisons ; elle conseille ou elle prescrit comment nous devons vivre. Cela suppose donc d'une part que nous en ayons conscience, d'autre part que nous puissions lui désobéir. Or si le désir est

théorie des idées ........................ Chapitre 4 : Aristote, science et réalisme dans un monde imparfait .................................................. Chapitre 5 : Diogène le cynique......................................... Chapitre 6 : Épicure et les épicuriens ............................... Chapitre 7 : Les stoïciens et l’art de vivre ......................... Chapitre 8 : Les sceptiques : douter pour être heureux .............................................................. Chapitre

volonté. Ce que Mill reproche à Kant c’est de ne pas avoir opéré une distinction nette entre le motif psychologique de l’action et la règle morale ou le principe qui permet de l’évaluer. Dans la formulation de Kant : « Agis de manière à ce que la maxime de ton action puisse valoir en même temps comme une loi universelle », le respect de la loi morale paraît supérieur comme motif de l’action à la sympathie ou à l’intérêt, mais il est du même ordre et permet de comprendre l’acte sans l’évaluer moralement

que pour avoir la liberté, il suffit de la désirer ; il se pose alors la question de savoir pourquoi les hommes choisissent l’asservissement, ce qu’il appelle la servitude volontaire. Quant à Rousseau, il défend l’idée que l’homme est de manière fondamentale un être libre ; la liberté politique doit viser à garantir la liberté individuelle. En ce sens, aucune forme d’esclavage ou d’oppression ne peut être légitimée. Dans cette nouvelle configuration, la liberté (qui ne concerne donc plus seulement