Matrice Bcg Unilever

(concept de produit / intervention des pouvoirs publics) F. Stratégies des marques Stratégies de marques des producteurs | Stratégies de marques des distributeurs | 1 marque produit : chaque produit est vendu sous une marque différente (Unilever et Omo, Skip. Coral) | Produit générique : (marque drapeau) créer par Carrefour en 1976. L'emballage n'a pas de marque (produit blanc) | 1 marque ligne : avoir une marque par ligne de produit : (Lexus-Toyota) | Marque enseigne : un signe distinctif

(concept de produit / intervention des pouvoirs publics) F. Stratégies des marques Stratégies de marques des producteurs | Stratégies de marques des distributeurs | 1 marque produit : chaque produit est vendu sous une marque différente (Unilever et Omo, Skip. Coral) | Produit générique : (marque drapeau) créer par Carrefour en 1976. L'emballage n'a pas de marque (produit blanc) | 1 marque ligne : avoir une marque par ligne de produit : (Lexus-Toyota) | Marque enseigne : un signe distinctif

de ses « produit dilemme ». produits entre les quatre grandes catégories. Son « portefeuille » produits doit être composé de telle manière qu un produit « vache à lait » finance un 30 www.dimaista.c.la Comme on peut le constater, la matrice BCG permet de dresser un bilan de santé du portefeuille d activités de l entreprise et suggère des dispositions stratégiques à prendre. Quatre dispositions pourront être prises : Développer : Le développement des parts de marché des « dilemmes » afin

(concept de produit / intervention des pouvoirs publics) F. Stratégies des marques Stratégies de marques des producteurs | Stratégies de marques des distributeurs | 1 marque produit : chaque produit est vendu sous une marque différente (Unilever et Omo, Skip. Coral) | Produit générique : (marque drapeau) créer par Carrefour en 1976. L'emballage n'a pas de marque (produit blanc) | 1 marque ligne : avoir une marque par ligne de produit : (Lexus-Toyota) | Marque enseigne : un signe distinctif

l'incertitude est grande, plus les coûts de transaction sont élevés, et plus la tendance à internaliser sera forte. L'incertitude accroît la probabilité de défaillance du fournisseur. - la fréquence des transactions (négligeable) : Le choix est donné par une matrice des modalités d'organisation des transactions : Degré de spécificité des actifs Non spécifique Fréquence des transactions FAIBLE MARCHE CONTRAT AVEC ARBITRAGE * Spécifique RECURRENTE MARCHE INTERNALISATION * Le contrat avec arbitrage

et titres de services de l’autre) présentaient un intérêt aux yeux des dirigeants d’Accor. En effet, les tickets-restaurant étaient fortement générateurs de cash, tandis que l’hôtellerie exigeait du cash. Pour utiliser le vocabulaire de la matrice du BCG, l’activité titres était la « vache à lait » qui finançait la « star » hôtel- lerie. Cependant, les synergies brillant par leur absence, la coexistence de ces deux activités au sein d’une même entre- prise ne créait pas de valeur. La valeur

professeurs, médecins, ergonomes, cogniticiens, chercheurs qui ont travaillé avec nous. Nous remercions la chambre de commerce et d’industrie de Paris et le Groupe HEC, ainsi que les entreprises ayant collaboré avec nous, et plus spécifiquement Unilever, Accor, Promod, SAP. Nos remerciements vont aussi à Brigitte Azzaro pour sa collaboration à la conception technique de cet ouvrage. Ils vont enfin à Dominique Rouzies (Professeur de HEC Paris), Laurent Maruani (responsable du département marketing

de ses forces et faiblesses autour de deux axes :Les 4 P du mix et les 5M ( ressources humaines, et financières,de production, de commercialisatio et les capacités d‟approvisionnement). Afin de réaliser cela, on utilise des outils tels que -la matrice BCG. En fonction des deux axes, on fait apparaitre 4 situations : Les « dilemmes » : La croissance est conditionnée à des investissements très importants, notamment en marketing et R& D. Soit on les fait soit on abandonne. Les « vedettes » : Il y a

(couleurs différentes). Elle permet la customisation de l'offre. * La cohérence : a trait à l'homogénéité des différentes gammes quant à leur utilisation finale, leurs impératifs de production ou leurs circuits de distribution. Exemple : Chez Unilever il y a Dove, Lipton… 7.3.2. La gestion du portefeuille de produit : Afin de gérer la gamme, il faut connaître différents aspects de celle-ci : * Les ventes et bénéfices des différents articles de la gamme : Pour analyser les ventes

marché relative. La matrice permet ensuite de définir un positionnement d’entreprise puis de proposer une stratégie en fonction de la place occupée (figure 1.8). Quatre catégories de positionnement d’entreprise sont ainsi délimitées1 : Élevé Étoile Point d'interrogation © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit Taux de croisance Faible Vache à lait Poids mort Élevé Génération de liquidités (part de marché relative) Faible Figure 1.8 – Matrice du BCG. 1. Arnoldo C. Hax