Machiavel Et La Democratie

Nicolas MACHIAVEL (1531) Discours sur la première décade de Tite-Live (Extraits des livres I, II et III de son Histoire de Rome) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection

États déjà établis semble plus complexes. En effet, les thèses à ce sujets s'opposent souvent, certains auteurs, à la suite de Clausewitz, considérant que « la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens »[5] et d'autres, comme Machiavel pensant que la politique est un moyen d'assurer la pérennité d'une victoire militaire. Clausewitz explique son propos en considérant que la guerre, étant une décision des États, est nécessairement une suite de la politique menée par ces États. Ainsi

initialement constitué par de nouvelles pièces écrites par de jeunes auteurs brésiliens (Augusto Boal a mis en scène plus d´une dizaine d’entre elles). Par la suite, il s’élargit aux grandes œuvres classiques internationales : Molière, Gogol, Il Ruzzante, Machiavel, Lope de Vega, Brecht ... Plus tard, il s’ouvre également aux spectacles musicaux (la série “Arena Raconte l´Histoire de...” Zumbi, Tiradentes, Bahia, etc.). Enfin, il réalise de nouvelles expériences comme le Théâtre-Journal, dans lesquelles apparaît

est« naturelle », les hommes, contrairement aux animaux, ont conçu différentes organisations politiques (telles que la République ou le despotisme, par exemple). Or ces différents systèmes ne sont pas équivalents. Pour les modernes, à commencer par Machiavel (Le Prince, 1532), l’Etat ne dérive ni de la nature, ni de la volonté de Dieu. L’Etat n’est pas la cité. L’Etat est un artifice L’idée volontariste de l’Etat apparaît avec la théorie moderne de la souveraineté, exprimée notamment par Hobbes

mauvais gouvernement dans « Les grenouilles qui demandent un roi », la satire du peuple et la dignité moralisatrice du dieu « Jupin » demandent pour être comprises, une expérience du monde, voire une initiation politique préalable : le passage de la démocratie à la monarchie, puis au tyran génocidaire qu’est la « grue » ne sont que le résultat de la bêtise du peuple. Lorsqu’au « Conseil tenu par les rats », il s’agit de se débarrasser du chat, donc de sa tyrannie, il y a plus de bavards que de héros :

Enfin nous montrerons que faute de pouvoir interdire, la démocratie nous donne le droit de combattre ces idéologies. Il serait bon de commencer par définir ce qu’est un parti. Tout d’abord, idéologiquement cela représente une réunion d'hommes qui professent la même doctrine politique, puis, d’un point de vue institutionnel c’est un élément essentiel qui assure la démocratie. La France connaît pour la première fois la démocratie en 1789. Suite aux abus de la monarchie absolue, la révolution

Contemporaine Note : Commentaire : Sujet : Doit-on craindre davantage de démocratie ? « La démocratie est le pire des régimes à l’exception de tout les autres » exprimait Winston Churchill en 1947 devant la chambre des communes britanniques. Lorsque Winston Churchill évoque cela, il exprime les différentes imperfections de la démocratie. En effet, il apparaît que la démocratie n’est pas un régime infaillible. La démocratie, se définissant comme étant « le gouvernement du peuple, par le peuple

2) La démocratie athénienne : * Les citoyens → hommes libres +18 ans * Les méthèques → étrangers (« meto » changer et « oikos » maison) * Les esclaves * 2 assemblées de citoyens → L’Ecclésia (SOLON) = les individus débattent et votent à main levée les lois et les déclarations de guerre, La Boulê (CLISTHENE) = conseil des citoyens (500 membres) où chaque tribu examine les projets de loi, administre la cité et exécute les décisions de l’Ecclésia. * Cette démocratie athénienne

relatives au gouvernement. Ces constitutions grecs préfigurent les constitutions modernes. Au 16ème siècle, le politique va prendre une nouvelle forme, selon Machiavel, pour comprendre le politique, il faut observer la manière dont les gouvernants dirigent effectivement et c'est de cette façon que l'on pourra dégager les règles politiques. Machiavel adopte en politique une méthode positivistes car il observe la réalité. Bossuet lui va estimer que toutes les règles dites politique découle de dieu, c'est

la Corée du Sud dans la démocratie. Au nord le dirigeant Nord-Coréen s’enferme dans une tour d’ivoire. Il continue de dire qu’il est le garant de l’idéologie marxiste-léniniste. Kim Il-Sung voulait fait de la Corée du Nord un état autarcique, ce qui apparaît comme suicidaire dans les années 80. Avec le décès de Kim Il-Sung le 8 juillet 1994, et l’arrivé de Kim Jong-Il, on a eu des doutes sur les suites du régime. Pourrait il y avoir un semblant d’ouverture vers la démocratie ? Après quelques années