Machiavel Et La Democratie

main d’un seul .D’un autre coté , qui dit absolutisme ,dit répression et donc « oppression ».Mais sa pensée ne devient réellement paradoxal qu’au moment ou il invite la démocratie la plus pure, c'est-à-dire la directe, de s’occuper du pouvoir souverain. Ainsi, il se positionne en tant que partisan de l’autoritarisme et de la démocratie a la fois .Il donne alors naissance à ce qu’on appelle l’ « absolutisme démocratique », un despotisme camouflé au profit de la volonté générale. Cette dernière est matérialisée

L’avènement de la démocratie libérale face à la religion La légitimité religieuse a pendant des siècles fondée et légitimée le pouvoir du souverain en Europe dans des modèles de monarchie absolue de droit divin ou de théocratie. Sous l’influence des Lumières, elle a été contestée et renversée par l’émergence du libéralisme où la légitimité et la souveraineté émanent du peuple. Si la religion désigne un ensemble de croyances et pratiques qui définit le rapport de l’homme à une transcendance

despotisme sans limite. Mais, pour lui, la cause profonde de la perversion des régimes provient de la rupture d’un équilibre de base. Cette rupture est soit issue d’un excès des principes des fondements même des régimes comme l’égalité pour une démocratie soit, d’un déséquilibre intrinsèque aux évolutions sociales et politiques comme la disparition de la classe moyenne ou le mépris des gouvernants envers leurs sujets. Se plaçant dans la ligné d’Aristote, Locke considère la Tyrannie comme « l’exercice

paradis et dit au poulet : "Tu dois traverser la route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon. Richard NIXON : le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a JAMAIS traversé la route. Niccolo Machivelli dit MACHIAVEL : l'événement important, c'est que le poulet n'ait jamais traversé la route. Peu importe de savoir pourquoi. La fin en soi de traverser la route justifie tout motif tel quel qu'il soit. Sigmund FREUD : votre préoccupation du fait que le poulet

Langue français +/- École/tradition Contractualisme, précurseur duromantisme Principaux intérêts Politique, éducation, éthique,religion, musique, botanique Idées remarquables État de nature, contrat social, perfectibilité Influencé par Plutarque, Machiavel, Hobbes,Descartes, Locke, Condillac,Malebranche A influencé Kant, Maistre, Robespierre,Wollstonecraft, Schiller, Fichte,Hegel, George Sand, Lévi-Strauss, Rawls, Émile Durkheim Adjectifs dérivés rousseauiste modifier - modifier le code - modifier

 Rousseau et la démocratie S’il y avait un peuple de Dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes » Rousseau Du contrat social III, chapitre 4, De la démocratie La démocratie (dèmokratia, en grec) est le pouvoir du peuple (dèmos, le peuple et kratos, le pouvoir). Par oppositon à l’arkhè, qui renvoie plutôt au commandement (monarkhia, pouvoir personnel détenu par une ancienneté avérée), le kratos désigne la souveraineté. Par opposition

II. La démocratie A. Quelques définitions Démocratie: système politique où le peuple possède la souveraineté Souveraineté: source suprême de l'autorité, fondement de tout pouvoir dans une société organisée. Démocratie directe: système où le peuple exerce directement sa souveraineté (ex: la démocratie athénienne). Démocratie indirecte: système où le peuple exerce sa souveraineté par l'intermédiaire de représentants élus. B. Une question essentielle Une démocratie véritable est-elle

l'interprète à sa façon, en fonction de ses préoccupations. » ( C.DUBAR) [….] I,3 Vers une démocratie participative ? Elle suppose l'existence d'un espace public, c'est-à-dire un espace organisé de communication entre les citoyens dans et par lequels les citoyens forment leurs opinions, révisent leurs jugements, élaborent, dans la confrontation des idées, leurs positions politiques. => Pas de democratie vivantes sans citoyens qui conversent, dialoguent, débattent, formant ainsi une communauté

Schmitt sur l’hostilité et le conflit se rapporte aux régimes autoritaires, aux dictatures qui sont les types de régimes qu’il revendique comme les plus forts et les plus capables d’exercer un pouvoir souverain. Cette vision s’opposerait donc à la démocratie libérale et pourrait entraîner, selon le critique de Carl Schmitt Hermann Heller la destruction des droits

acte politique qui contribue à la paix sociale. Certes, l’Etat est un bienfait pour les hommes mais il laisse apparaître des contradictions et peut être porteur du mal. En effet, l’Etat garantit le respect de l’égalité et de la liberté dans la démocratie mais il demande en contrepartie un renoncement partiel à cette liberté et l’obéissance à une autorité. Ainsi, Benjamin Constant dans ses Ecrits politiques (1813) montre que l’aliénation à la communauté que prône Rousseau dans Du Contrat Social et