Loi Supplétive

volontaire mais non intentionnel, l’auteur n’ayant pas voulu le résultat. - La loi. Mais cette classification n’est plus exacte car la notion de quasi contrat n’a juridiquement pas grand sens. Quant à la loi, il n’est pas opportun de la considérer comme une fourre tout auquel sont attribué les obligations ne trouvant pas leur place ailleurs. Aujourd’hui dans le cadre d’une économie d’une société plus ou moins dirigiste la loi est sinon la source suprême de droit, tout au moins référence obligé des obligations

distinction Les principaux contrats spéciaux sont des contrats nommés, réglementés par la loi en raison de leur importance. Pour permettre leur identification, de part les règles qui lui sont applicables, et ainsi les qualifier, la loi leur donne un nom, d’où l’expression de contrats nommés. La vente, le bail, le contrat d’entreprise, le mandant, le prêt ou le dépôt, sont des contrats nommés, car la loi leur donne un nom et organise leur régime. A l’inverse, les contrats innommés, sont ceux

6 A. LA CHARTE CANADIENNE DES DROITS ET LIBERTES .......................................................... 7 (i) L’article 24 de la Charte canadienne......................................................................... 8 ii) L’article 52 de la Loi constitutionnelle de 1982....................................................... 12 iii) Peut-t-on demander une déclaration d’inconstitutionnalité au sens de l’article 52 et à la fois, demander une réparation au sens de l’article 24?...............

gouvernés ; détermine le domaine de la loi votée par le Parlement. La loi ne détermine que le cadre et les principes fondamentaux. C’est le règlement qui vient préciser. Et la Constitution détermine le domaine du règlement. Le gouvernement peut soit fixer les règles d’application de la loi votée (décret d’application) soit l’exercice d’un pouvoir règlementaire autonome. Le pouvoir règlementaire va donc légiférer dans tout ce qui n’est pas du domaine de la loi. Les règlements sont ceux qui émanent

impératives (ou règles d’ordre public): on ne peut s’y soustraire, sous peine de sanctions (annulation, octroi de dommages et intérêts, sanctions pénales...) qui peuvent être cumulées * Les règles de droit supplétives : Il est possible de s’y soustraire. 3) Les sources du droit des affaires. Loi et coutume = sources directes du droit / Jurisprudence et doctrine = sources indirectes du droit. Les textes : * Les textes internes (lois édictées par le Parlement et règlements édictés

institutionnelle de la Vème République, La documentation française, 7e éd., 1995, 409 p. Pouvoirs, La Ve République, n° 126, 2008. Documents de la fiche Document n° 1. Charles de Gaulle, discours de Bayeux, 16 juin 1946 (extraits) Document n° 2. Loi constitutionnelle du 3 juin 1958 (extraits) Document n° 3. Michel Debré, discours devant le Conseil d’Etat, 27 août 1958 (extraits) Document n° 4. Bertrand Mathieu et Michel Verpeaux, « Les noces d'or de la Constitution », entretien, La Semaine Juridique

d'une créance qui représente un actif et le débiteur va être titulaire d'une dette qui représente un passif. L'obligation juridique lie deux personnes et ne doit pas être confondu avec l'obligation au sens le plus large qui est lié au respect de la loi. On parle d'obligation entre un créancier et un débiteur parce que ce lien de droit est juridiquement obligatoire. Si le débiteur n'exécute pas spontanément il est possible de demander en justice l'exécution de l'obligation. Et on peut demander le

DROIT CIVIL B. FOURE 17-09-2010 INTRODUCTION La nécessité du droit vient de la vie en société. Dès qu’il y a un groupe humain, il faut du droit pour créer des règles. S’il n’y avait pas de droit, ce serait la loi du plus fort. On voit donc que le droit permet d’éviter que les relations entre les hommes soient gouvernées par la violence. De plus, il règle les conflits entre les personnes. Il met en œuvre des règles qui permettent de faire régner l’ordre et la justice. 1. Le droit en tant que science

du droit C’est la règle de droit (objectif) qui donne le pouvoir à la personne (subjectif). C’est elle qui garantit l’efficacité du pouvoir accordé, reconnu à une personne. Droit à réparation : quelqu'un qui a commis une faute doit la réparer (loi du Talion : 1730 avant J-C ?) -> 1432 : premières définitions du Droit. Quelles divisions et pourquoi classer le droit ? L’ensemble des règles du droit objectif est organisé, regroupé en de vastes catégories juridiques en fonction des caractères

d'entreprendre un certain nombre de limitations exigées par l'intérêt général, c'est à la condition de ne pas en dénaturer la portée (1989). Le Cconst veille à la marge de manœuvre accordée aux agents économiques sur la liberté d'entreprendre. •    La loi ordinaire : réunies dans le Code de commerce de 1807. Le droit privé commercial faisait l'objet d'un dédoublement : les juristes avant 2000 devaient compter sur le droit privé commercial (en principal), celui qui figurait dans le Code de commerce de