Les Paroles Rapportées

silence et la parole, l'immobilité et la mise en action ; le champ lexical du sommeil rappelle l'état antérieur. De plus, on note chez le père Roland des expressions négatives dans le dialogue que dans le récit. II-L ‘alternance récit-dialogue. La façon d’on est mis en page l’incipit indique une alternance régulière entre e récit et les dialogues (alinéas, retours à la ligne et paroles rapportées au style direct)

fascination de Manon / II)Une femme fatale qui à l'art de se disculpé – un récit rapporté par DG – les explications de Manon : une confession – une rhétorique persuasive / III)L'intérêt d'un récit à la première personne – différentes formes de paroles rapportées – l'intérêt de la focalisation interne – analyse des sentiments/social O : Marivaux, Le paysan parvenu. Henri Beyle dit Stendhal : écrivain du XIXème siècle, est un auteur de sensibilité romantique. C'est un fervent admirateur de Napoléon

la manière que De Gaulle emplois le discours indirect libre. Nous pouvons voir que De Gaulle emplois très fréquemment le discours direct, celui-ci reproduit les paroles telles qu'elles ont été prononcées. De Gaulle utilise le discours direct dans le soucis d’authenticité. En effet, le discours direct rapporte fidèlement les paroles, cela donne l’impression d’honnêteté et d’objectivité. Dans le discours direct l’information est neutre puisqu’elle est transcrit avec exactitude. De plus, le discours

Séance 4 › L’écriture du récit court p. 6 Dominante : langue Séance 5 › Les expansions du nom p. 7 Dominante : langue Fiche élève 1 p. 8 Séance 6 › Un personnage mis à l’épreuve p. 9 Dominante : lecture analytique Séance 7 › Les paroles rapportées p. 11 Dominante : langue Fiche élève 2 p. 12 Séance 8 › Expression écrite : « Félicité à Paris » p. 13 Dominante : expression écrite Séance 9 › La triste fin du conte p. 15 Dominante : lecture analytique Séance 10 › Le conte en

l'interjection « Zut ! » : accroche l'attention du lecteur. -L'aspect soudain accentué par « tout à coup » et par les passées simples. -Utilisation du dialogue rend le début plus vivant. -Changement situation passée et situation présente, le silence et la parole, l'immobilité et la mise en action.

frères sont mis en parallèle ; Maupassant emploie le titre du roman, " Pierre et Jean ", au cours de l'incipit. Analyse des sonorité : occlusive pour Pierre et fricative pour Jean. Ordre l’aîné en premier Mais une différence apparaît dans la prise de parole de Jean : Mme Rosémilly intéresse Jean. Éléments de narratologie Narrateur externe : utilisation de la 3ième personne Focalisation omnisciente en règle générale : le narrateur connaît les noms …. Focalisation interne quand les personnages voient

de tout discours pris en charge par un autre locuteur que l’auteur du texte. 1. Discours direct Quand le discours est direct, le locuteur donne l’impression de se retrancher derrière la parole reproduite : il restitue fidèlement ce qui est dit et le discours est caractérisé : Le discours direct reproduit les paroles telles qu'elles ont été prononcées. Ce qui est mis en valeur c’est le caractère du locuteur, la vivacité de l’échange. • première et deuxième personnes, présent de l’indicatif, questions

l’utilisation des paroles rapportées au discours direct : celles de l’usurpateur : « Ceci est à moi » (l.2), mais aussi les paroles de celui qui dénonce le vol par une mise en abyme : « Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la Terre n’est à personne ! » (l.8 à 10). Ce discours est donc renforcé par une forte ponctuation avec un point d’exclamation qui marque son indignation. De plus, cette utilisation des paroles rapportées permet la mise

partie s’attardera sur les caractéristiques des protagonistes, puis la seconde partie analysera les particularités de la description du meurtre. Camille : c’est la victime, et pendant la scène du meurtre, il est le seul à prononcer des paroles rapportées au discours direct. Il est désigné par son prénom le plus souvent, ou, par l’antonomase « le commis » et « le malheureux ». Il est présenté comme un enfant un peu naïf, effrayé par l’eau et essayant de se donner une bonne contenance. Quand Laurent

physique et/ou moral, mais se définit aussi à travers ses paroles qui révèlent tant sa personnalité que sa culture et son milieu social. La manière dont le personnage s'exprime dans le roman est particulièrement significative. Les paroles peuvent être rapportées telles quelles au discours direct. Le narrateur peut aussi les intégrer clairement à son récit lorsqu'il les transcrit au discours indirect. Enfin, ces paroles peuvent être rapportées au discours indirect libre : le glissement du récit du narrateur