Les Obsèques De La Lionne

Il aurait pu dire cela à propos des Fables. B – Les principes généraux de cette imitation Qd il s’inspire d’un modèle « sec et laconique », comme Esope, Phèdre, Abstémius, il enrichit énormément le récit (par exemple «Les obsèques de la Lionne »(VIII, 14), « Le vieillard et les trois jeunes hommes »(XI, 8). Au contraire, il raccourcit les longs développements de Pilpay, supprime les détails inutiles, accentue la concentration dramatique et la vigueur du dénouement. Il lui arrive

abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénonce de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue ne tire pas seulement

Vous irez dans la poêle, et vous avez beau dire, Dès ce soir on vous fera frire. » Un Tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l’auras : L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. 12 Les oreilles du Lièvre Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de courroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute bête portant des cornes à son front. Chèvres, béliers, taureaux, aussitôt délogèrent ; Daims et cerfs de climat changèrent : Chacun à s’en aller fut prompt

la vérité ». L'apologue représente donc un enseignement indirect qui critique souvent la société. Jean de la Fontaine dénonce, au fil de ses fables, le monde de la cour, l'assujettissement, la bassesse des courtisans, la flatterie. Dans Les Obsèques de la lionne, une des moralités dénonce l'hypocrisie des courtisans mais surtout la vanité et la naïveté des rois : « Flattez-les, payez-les d'agréables mensonges, Quelque indignation dont leur cœur soit rempli, Ils goberont l'appât ; vous serez leur ami »

abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénonce de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue ne tire pas

noir. Le fait de le montrer ainsi, torse nu, souligne je trouve, son caractère impulsif et provocateur, faisant ici penser à un boxeur toujours prêt à se battre. Par ailleurs, pour souligner ce côté féroce, Tybalt portait lors de la fête, un masque de lion. L'un des seuls personnages à changer de costumes est le pianiste de la pièce. Sa diversité de costumes peut d'une certaine façon, représenter la diversité des musiques ou des thèmes de la pièce. Lors du bal masqué des Capulet, les invités portaient

Instruire». La critique des différentes attitudes des courtisans chez La Fontaine nous devient presque familière : le sujet en est en effet repris dans « Les animaux malades de la peste » (Fables, VII, 1) ou encore du même auteur dans « les Obsèques de la Lionne » (Fables, VIII, 14). Nous avons là une véritable critique sociale qui invite le lecteur à voir la société de l’époque autrement qu'elle ne l'est.

mairie, la pharmacie, l'auberge du Lion d'Or. Madame Lefrançois, patronne de l'auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d'étoffes et de nouveautés. * Début ab ovo : le lecteur est plongé dans l’histoire Chapitre 2 / Un dîner au Lion d'Or Pendant que le pharmacien

L’action se passe à Yonville. La patronne de l’auberge du « Lion d’Or », madame Lefrançois prépare le dîner. Les Bovary doivent venir manger chez elle. Beaucoup de personnes de Yonville sont dans l’auberge. Il y a Homais qui ne cesse de parler, il y a aussi le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Les Bovary arrivent à l’auberge en même temps que le marchand d’étoffes et de nouveautés, monsieur Lheureux. Chapitre 2 : C’est le dîner au « Lion d’Or ». Emma et Léon Dupuis, clerc de notaire et un habitué

pharmacie, l’auberge du Lion d’Or. Madame Lefrançois, patronne de l’auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d’étoffes et de nouveautés. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Madame Bovary - Gustave Flaubert Chapitre 2 / Un dîner au Lion d’Or Anti-copie - Résumé