Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

Analyse : Situation du passage Ce sont les dernières pages de l’acte 2, tableau 2 Avant : Bérenger va chez Jean pour s’excuser de leur dispute du jour d’avant, il le trouve soufrant dans son lit. Bérenger veut aider Jean car ce dernier n’a vraiment pas l’aire bien, il est vert, a une voix rauque et une grande bosse lui pousse sur le front. Bérenger essaie de comprendre pourquoi Jean est dans cet état, mais on remarque vite qu’il n’y a aucune explication. Après : C’est le début du troisième acte

Recueil de vers (1628) Pierre de Marbeuf. Pierre de Marbeuf est un poète du XVIIème siècle qui reste fidèle à la poésie classique et qui est influencé par le mouvement baroque. Dans ce texte l’idée directrice établit un lien entre les dangers de la mer et de l’amour. 1- Un monde vertigineux. Le thème principal du texte est l‘eau, le feu rejoint ce thème principal. Le champ lexical de l’eau est dominant. L’eau et le feu se mélange. Ú vers 10 : « Le feu sort de l’amour, sa mère

est une figure majeure de ce mouvement, dont nous voyons un échantillon représentatif dans ce poème « Clair de lune ». Il provient du recueil Les Orientales , publié en janvier 1829. Ce poème est un quintil de quatrain, les vers sont des alexandrins. Nous pouvons repérer un paratexte latin de Virgile, « Per amica silentia lunae » faisant référence au mythe du cheval de Troie, qui trouve son écho dans l’ambiance générale de ce poème, celle des Turcs partant en guerre. Ainsi

« je ris » = champ lexical des sentiments =>expression de ses sentiments, nous parle d’elle librement, Description des sentiments = violence de l’amour   _ « je vis, je meurs : je me brûle et me noie. »v1 = une antithèse dans chaque hémistiche (oppositions fortes) _ « chaud extrême /froidure »v.2 ; « trop molle/trop dure »v.3 ; « grands ennuis/joie »v.4 ; « ris/larmoie »v.5 ; « plaisir/tourment »v.6 ; « s’en va/il dure » v.7 ; « je sèche/je verdoie »v.8 =une antithèse par vers =>intense

création poétique demeure la part originale, unique et talentueuse du poète. Dans son célèbre sonnet « A Phillis », publié en 1628 dans Recueil de vers, Pierre de Marbeuf semble tout autant chanter les malheurs de l’amour qu’éprouver le plaisir d’écrire. Le lecteur peut s’interroger sur le destinataire du texte : la femme à laquelle le poète dédicace ses vers est-elle réelle ou imaginaire, alors prétexte à un jeu littéraire ? Le poète amoureux aime-t-il la femme à laquelle il s’adresse ou se laisse-t-il

exprimer la tromperie, la contrariété), relève d’une signification énigmatique, et entoure la notion d’amour d’une aura quelque peu mystérieuse, entachée d’obstacle. Le thème du poème, s’il est annoncé par le titre, est en fait exprimé dans le dernier vers ; il s’agit du poète lui-même, qui s’identifie au crapaud par le sort qui lui est réservé : animal rejeté, apparenté au poète maudit, que fut Tristan Corbière. La métaphore du poète et du crapaud ne repose pas sur une description classique : le

plus abstrait, « avance doucement sa bouche vers nos lèvres » et enfin la « grande paix vient d'en haut » auquel le poète compare à une marée, objet naturel. Cette vision panthéiste du monde nous amène inévitablement à traiter la thème de la paix et de l'amour. La paix est largement développé par le poète en témoigne le champ lexical qui s'y rapporte. Le rythme au vers 4 par exemple témoigne de la quiétude de l'écrivain. En effet, ce vers en alexandrin est coupé à l'hémistiche. De plus

humaine accordée au deuil de la nature. Deux champs lexicaux vont s’affronter dans ce poème :  Au champs lexical de la splendeur automnal (« Vergers », « richesse », « fruits mûrs », « fruits », « cueillir », et « adoré » — où l’on retrouve « – doré » comme l’or des feuilles mortes), s’oppose celui de l’hiver destructeur aux portes de l’automne finissant (« malade », « aura neigé », « blan-cheur », « neige », « tombant »).  Mais, à mon sens, le champ lexical dominant est celui de la Mort (deux occurrences

est un poème en prose, le 17ème du recueil il a été publié pour la première fois en 1862. Cependant, il faut savoir que ce poème fait échos à un autre poème que Baudelaire a écrit dans son recueil de poèmes en vers : « Les Fleurs du mal ». Ainsi, Baudelaire a écrit en 1857 un poème en vers : La chevelure, puis, en 1862, un poème en prose, plus ou moins semblable, Un hémisphère dans une chevelure. Ces deux poèmes forment en quelque sorte une continuité, une unité : ils présentent la même structure

pouvoir de l’immortalité de la poésie. I. La préfiguration du voyage : un voyage à la fois connu et rêvé comme un pèlerinage. A. Le temps. • Vers 1 : « Demain » « dès l’aube » dès traduit l’attente « à l’heure où blanchit la campagne » périphrase du matin, beauté du paysage. • Vers 8 : Comparaison « le jour pour moi sera comme la nuit » • Vers 9 : « l’or du soir » espace d’une journée entière. ⇒ Couleurs : « blanchit » « l’or » montre que le poète refuse de s’inspiré du paysage et thème