Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

», « Rends-moi... », « laisse agir... » et refuse la passivité comme l’indiquent les vers qu’elle consacrent à se définir elle-même, sa colère, son désir de vengeance

II. Les thèmes récurrents dans l’œuvre d’Apollinaire ➢ L’amour (surtout avec ses muses) ➢ La fuite du temps ➢ Le monde moderne ➢ Pas de ponctuation, au profit du rythme ➢ Inégalité des vers ➢ Pas de rimes ➢ Images insolites ➢ Caligrammes III. Quelques poèmes du recueil que j’ai aimé et pourquoi ➢ « La maison des morts », destiné à Maurice Raynal • Côtoiement entre les morts et les

jour. Elle semble au bord du gouffre, d’où la référence au puits. D’ailleurs, personne ne s’intéresse plus à elle. Et le champ lexical du temps marqué par des mots tels que « temps [] détruits » renforce l’idée de l’isolement et du désespoir qui s’installe chez elle. D’ailleurs la longueur des vers et la ponctuation mise en place renforcent encore une fois cette idée. Les vers 5 et 6 le confirment grâce à leur longueur qui donne une lecture lente et maussade. Par la suite, le fabuliste présente

humaine accordée au deuil de la nature. Deux champs lexicaux vont {affronter dans ce poème : ‘ Au champs lexical de la splendeur automnal («Vergers >>, « richesse », « fruits mûrs », « fruits >>, << cueillir», et << adoré » - où l’on retrouve << - doré» comme l’or des feuilles mortes), s’oppose celui de l’hiver destructeur aux portes de l'automne finissant (<< malade », << aura neigé >>, << blancheur », << neige », «tombant »). - Mais, à mon sens, le champ lexical dominant est celui de la Mort (deux occurrences

Le texte progresse selon trois mouvements, le premier, du vers1 à 9, est la description du poète qui voit un mendiant dans la rue, le deuxième mouvement, vers 10 à 17, est la mise en scène du dialogue être les deux hommes, et le dernier mouvement, du vers 18 à la fin du poème, présente la transformation du manteau du mendiant. Mouvement 1 : une scène de rue prosaïque · « Un pauvre homme », périphrase --&gt; pas de nom, le mendiant est représenté par sa

particularité de la situation de communication. Ensuite nous verrons l’expression de la souffrance et de la solitude dans ce texte. En dernier lieu nous nous pencherons sur la manière dont l’auteur dépasse le cadre personnel pour atteindre l’universel. On remarque le champ lexical de la solitude dans le poème. « Solitude » doublement mis en valeur au premier vers (construction redondante, le pronom « y » double « solitude » ; position à la rime) ; « déserte » ; « fuit » (ces deux termes sont mis

(1929). Le mouvement surréaliste fut créé après la première guerre mondiale sous l’inspiration d’Apollinaire et du mouvement Dada. Il s’inspire également des idées de Freud en exprimant le subconscient des poètes. « La Courbe de te yeux » est l'avant-dernier poème du recueil Capitale de la douleur dédié à sa muse, femme qui l’inspire : Gala. Il l’avait rencontré lors de son séjour à Davos. A travers ce poème, Eluard met en avant l’immense bonheur de découvrir le monde à travers la sensibilité et le regard

ronsardienne, il se développe sur la mode de la description laudative en jouant avec l’espace et le temps. L’éloge de la figure féminine n’est pas seulement l’occasion d’un tableau exotique ; en un magnifique transfert spatial et temporel succède a ce dernier une image fantasmatique de la renaissance, dominée par la muse inspiratrice. PLAN DE DEVELOPPEMENT 1 portrait exotique de la femme créole * Douceur * Noblesse * Décor exotique 2 Transposition fantasmatique * Cadre spatial : ile de

pas:        Gravez ces mots dans votre coeur.        Pensez-y chez vous, dans la rue,        En vous couchant, en vous levant;        Répétez-les à vos enfants.        Ou que votre maison s'écroule;        Que la maladie vous accable,        Que vos enfants se détournent de vous. PRIMO LEVI Si c'est un homme a été écrit dans le but de raconter afin que les gens n'oublient pas ces horreurs et que cela ne recommence pas. mouvement du texte → Les quatre derniers vers font écho aux quatre

l'injonction de Dorante : « ne me découvre point » : on comprend que Dorante n’a pas l’intention de se repentir, mais qu’il persiste dans l'intention de l'illusion. On remarque un parallélisme avec la double utilisation de l’adjectif « nouveau » en fin de vers. Cela accentue le rapprochement entre les deux rimes « feu » et « jeu » auxquelless ils sont accolés. Ainsi l’amour (le feu) de Dorante est-il assimilé à une simulation (jeu). Le mot « nouveau » suggère en outre l’inconstance de l'amour de Dorante