Les Dysfonctionnements De La Bureaucratie

gouvernance par l’évaluation systématique du couple ressources mises en œuvre / valeur (value for money). Cette conception du secteur public s’oppose à l’idéal type wébérien de la bureaucratie, dont la condition de l’efficacité repose sur sa dimension rationaliste. Selon la sociologie de Weber (1919) en effet, la bureaucratie est « une forme sociale fondée sur l’organisation rationnelle des moyens en fonction des fins » dont le type idéal comporte trois traits essentiels : l’impersonnalité des règles

interactions individus-autorité en cherchant à dépasser la simple vision mécaniste de l’organisation. Il va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations et constructions 4 optimales qu’il convient de comparer à la réalité; la bureaucratie correspondra ainsi pour lui à « un idéal type » en matière organisationnelle. Son approche s’articule autour de l’analyse de l’autorité dans l’organisation et de sa légitimité (autorité reconnue et acceptée par chaque acteur de l’organisation)

permettre, quel que soit l'entreprise et son contexte, de fonctionner au mieux et d'assurer la satisfaction des dirigeants et des exécutants. - Une relation gagnant/gagnant Un modèle vertueux. La règle remplace l'arbitraire (principe de la bureaucratie cf. Weber). La règle remplace la discrimination. Elle protège le salarié. Elle garantit l'ordre, le contrôle, l'équité. Ex : paiement tous les mois des salariés. Positif pour les salariés (contre l'arbitraire) et pour les dirigeants (productivité

recherchent de nouvelles opportunités, supervisent les projets en cours ainsi que l’évolution de ces projets. Comme régulateurs, les managers ont la rapidité de contrôler et de réviser les plans, d’arbitrer en cas de conflits, d’éviter tout dysfonctionnement. Les managers ont un rôle de répartiteur de ressources : les ressources financières, humaines, physiques, temps, pouvoir… Un rôle de négociateur, car étant le seul à disposer de l’information et de l’autorité, pour engager les ressources de

permet d'analyser les relations de pouvoir, les mécanismes de coordination formels et informels. Cette représentation est particulièrement bien adaptée aux organisations complexes : administrations, hôpitaux, universités, que Mintzberg qualifie de bureaucraties professionnelles et qui se caractérisent par un centre opérationnel constitué de professionnels indépendants ( médecins, professeurs...). {voir "Structures et dynamique des organisations" de H. Mintzberg} § 2 - Les facteurs de choix d'une structure

va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations et constructions G. Lécrivain - Des ressources en management des organisations et en marketing : Managmarket.com 4 optimales qu’il convient de comparer à la réalité; la bureaucratie correspondra ainsi pour lui à « un idéal type » en matière organisationnelle. Son approche s’articule autour de l’analyse de l’autorité dans l’organisation et de sa légitimité (autorité reconnue et acceptée par chaque acteur de l’organisation)

les échelons de la hiérarchie administrative. Il s'agit d'abord de s'assurer que les décisions ont été correctement exécutées, le pouvoir hiérarchique permet de corriger les erreurs commises par les subordonnés. Il faut ensuite faire face aux dysfonctionnements de l'administration. Il faut aussi s'assurer que les décisions sont adéquates, càd qu'elles répondent aux demandes du corps social. On retrouve ici la fonction d'information qui est alimentée par le contact de l'administration avec les administrés

outils, méthodes et pratiques élaborés. Parmi les nouveaux modes de management que propose l’ISEOR, nous retenons l’idée principale qui repose sur la performance sociale associé à l’efficacité économique mais aussi l’idée selon laquelle les dysfonctionnements liées aux interactions des structures et des comportements engendrent des couts cachés impactant négativement la performance socio-économique. Cette théorie des cout cachés est fondamentale dans les recherches de l’ISEOR, il s’oppose aux couts

recherchent de nouvelles opportunités, supervisent les projets en cours ainsi que l’évolution de ces projets. Comme régulateurs, les managers ont la rapidité de contrôler et de réviser les plans, d’arbitrer en cas de conflits, d’éviter tout dysfonctionnement. Les managers ont un rôle de répartiteur de ressources : les ressources financières, humaines, physiques, temps, pouvoir… Un rôle de négociateur, car étant le seul à disposer de l’information et de l’autorité, pour engager les ressources de l’organisation

les interactions individus-autorité en cherchant à dépasser la simple vision mécaniste de l’organisation. Il va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations et constructions optimales qu’il convient de comparer à la réalité; la bureaucratie correspondra ainsi pour lui à « un idéal type » en matière organisationnelle. Son approche s’articule autour de l’analyse de l’autorité dans l’organisation et de sa légitimité (autorité reconnue et acceptée par chaque acteur de l’organisation)