Les Dysfonctionnements De La Bureaucratie

empilés, désordonnés que l’on aperçoit à de nombreuses reprises semblent représenter le dysfonctionnement de la justice et de la bureaucratie*29. Nous pourrions établir une comparaison avec le film d’Orson Welles le procès où nous observons un sol jonché de dossiers, des amas de papiers, symboles du dysfonctionnement de la bureaucratie et de la justice ou dans le film la muerte de un burócrata où la bureaucratie devient une machine qui broie et écrase l’individu. La phrase d’Irene : « no sé si será

des ressources, évolutionnistes. 1910 1920 1940 1960 1980 Taylor (10) OST, autorité fonctionnelle Fayol (16) Administration, autorité hiérarchique Ford (20) Chaîne Weber (22) Bureaucratie Sloan (30) Divisions autonomes Deming (50) Qualité, Plan – Do – Check - Act Drucker (54) Décentralisation, DPO, innovation Shingo, Ohno (~60) Flexibilité, flux tendu, toyotisme Gélinier (65, 68) Innovation, DPPO Peters

théoriciens en œuvré pour mettre en œuvre les pensées de cette école, il s’agit de: ♣ Max Weber qui a remis en cause l’autorité traditionnelle et charismatique pour proposer un modèle rationnel de l’autorité basé sur les procédures de fonctionnement, la bureaucratie constitue pour lui la meilleure forme d’organisation humaine dans laquelle l’ordre est régi par la règle et les techniques de composition des tâches et des activités de l’entreprise. ♣ Frederick Winslow Taylor a développé sa théorie sur « l’organisation

coordonnés par un système routinier, auquel participe le dispositif de contrôle interne. Ce modèle d'action managériale de la routine (Besson, 2000) est conforme à une vision du contrôle interne assise sur Valérie Pallas 141 l’efficience et la bureaucratie : il associe la performance de l’organisation à la programmation des actions de ses membres par la standardisation des rôles et des règles (Besson, p. 1071). Par exemple, les informations délivrées par les logiciels informatiques de la banque sur

l'organisation du travail qui sont souvent masqués ou implicites. Les conflits constituent donc un matériau de choix dans ce que les sociologues du travail vont analyser. Pour les managers, à l'inverse, les conflits sont toujours conçus comme un dysfonctionnement à éliminer parce qu'il a un coût pour l'entreprise en perte d'efficacité productive. La compréhension des conflits risque donc d'être assez différente entre ceux qui considèrent qu'il s'agit d'un élément parmi d'autres de la régulation des rapports

fusions-acquisitions est relativement élevé : environ une opération sur deux est considérée comme un échec. Les raisons de ces échecs sont le plus souvent des cultures d’entreprise trop différentes, une mauvaise gestion ou une mésentente des dirigeants. Ces dysfonctionnements dans la collaboration interculturelle, provoqués par des systèmes de valeurs divergents, nuisant au succès de projets internationaux, ont de plus en plus d’importance dans le monde de l’entreprise. Nous pouvons, néanmoins, en citer des exemples

faut toutefois se garder de considérer l’Etat comme un agent omniscient garant du bonheur de tous. Il y a 3 limites au caractère bienfaisant de l’action de l’Etat : -le bonheur collectif n’existe pas! -les conflits d’intérêt (K. Arrow) -la bureaucratie ( la multiplication des administrations) L’Etat est celui qui doit « trancher» entre perdants et gagnants ( des politiques et décisions). Croyez-vous aux incitations ? Jean-Jacques Laffont a beaucoup travaillé sur la théorie des incitations

leurs actions. On ne cherche plus des arrangements d’institutions mais un horizon de significations qui servent de références. L’institution est là mais elle sert les motifs et les intérêts des agents et les serre : c'est la « cage de fer » de la bureaucratie. Autres paradigmes [modifier] D'autres paradigmes fonctionnent dans la sociologie. On peut citer l'idée que toute société doit organiser les conflits que fabriquent nécessairement les inégalités fondées sur des différences. Les concepts constituent

hiérarchie, mais elle lui garantit, toutes choses égales par ailleurs, une bonne maîtrise ; la seconde est, à l’inverse, conçue pour permettre aux responsables de se consacrer à l’imprévu, mais elle risque d’entraîner les dérivées classiques de la bureaucratie ; la dernière permet de trouver un moyen terme entre les deux précédentes, mais elle repose sur une analyse approfondie de ce qui peut être délégué et elle s’appuie sur une culture d’entreprise adaptée. L’audit est difficile à mener dans

monétaires ; * La mise en place d’un système de contrôle. Le Taylorisme se prolongera aux Etats-Unis avec le Fordisme et le travail à la chaîne. Mais cette OST conduit à de nombreux dysfonctionnements : Mauvaise qualité du travail ; Retard et absentéisme ; Grèves… Une grande part de ces dysfonctionnements est due à l’absence de prise en compte à la fois de l’homme en tant qu’individu, et de l’homme faisant partie intégrante d’un groupe sociale. Se sont des groups eux même qui feront la proposition