Les Apports Du Fordisme

lui fourni, éprouve de l'inquiétude face à ces machines. Dans quelle mesure les salariés doivent-ils redouter le progrès technique ? Dans une première partie on analysera les côtés positifs apportés pas le progrès technique pour dans une seconde partie l'opposer au effets négatifs et les risques apportés pour certain salariés. Tout d'abord, le progrès technique est favorable à la croissance économique, c'est une belle opportunité pour les salariés. Le progrès technique se diffuse dans l'économie

dernier propose le principe de la main invisible, le « laisser aller » « laisser faire » du travail et la séparation des tâches dans le travail. Taylor se base sur les travaux d’Adam SMITH et développe l’organisation scientifique du travail. Il apporte comme principale innovation la division verticale du travail en séparant la conception de l'exécution, ceci va engendrer une augmentation rapide de la rentabilité. Henry Ford, par la suite, ne se limitera pas à l’application de l’OST dans ses usines

principes PACI: tolérance zéro sur la corruption dans les affaires et l'éradiquer. IV] Quels intérêts pour les entreprises? Il ne s'agit pas de mettre en place de la RSE pour répondre aux parties prenantes (=contrainte) mais elle peut aussi lui apporter des bénéfices. Une analyse du cabinet Novetich a mis en évidence les bénéfices potentiels de la RSE pour une entreprise: * amélioration de l'efficacité grâce à une réduction des coûts par les gains de productivité * répondre aux attentes

reliées au système financier : on fonctionne en parallèle. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale avec les débuts des SA II) XIXe siècle à 1970 : Grande entreprise/Firme avec le Taylorisme/Fordisme. III) 1970 à nos jours : remise en question de ce processus : nouvelles formes d’entreprises qui vont être à flux tendu et performantes. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale avec

plusieurs activités nécessaires à leur fonctionnement. Plusieurs formes : - La sous-traitance (contrat signé entre un sous-traitant et un donneur d’ordre) - La franchise (contrat entre un franchiseur (apporte la communication la formation des salariés, la marque …) et un franchisé (apporte les liquidités et les locaux ….)). Si ça marche, peut être éternel. Il n’y a pas d’exclusivité. Les marges sont plus élevés. - La concession (contrat entre le concessionnaire et le concédant). Avantages :

compte de l’utilité de la richesse produite, car les biens et services produits augmentant la valeur ajoutée n’apportent pas forcément un supplément de bien être à la population. Par exemple l’entreprise Dassault en produisant des avions de chasse va apporter sa part de richesse au PIB mais sa production n’aura pas d’effet sur le bien être général de la population. En outre, le PIB ne prend pas en compte la répartition des richesses, ainsi une part de cette richesse produite peut être envoyée à l’étranger

organisations sont les plus marquantes du 20ème siècle. Né à la fin du 19ème siècle, le taylorisme se développe au début du 20ème siècle et les idées de Ford sont venues préciser celle de Taylor pour donner ce que l’on a coutume de nommer « le Fordisme », la préoccupation de Taylor concernent la maîtrise de la production. Grace à la science en plein essore et jouissant d’un formidable aura au tournant du 20ème siècle. Taylor introduit le chronomètre dans les ateliers de production, afin de mesurer

règlementations de l’accumulation du capital lui-même. Ce avec quoi Yves Clot est certainement d’accord... Haut de page Bibliographie Durand Jean-Pierre (2012), La Chaîne invisible, Paris, Le Seuil (réédition). Trentin Bruno (2012), La Cité du travail. Le fordisme et la gauche, Paris, Fayard. Haut de page Notes 1 Durand (2012) : voir le dernier chapitre sur le syndicalisme. 2 Voir aussi Bruno Trentin (2012) (recension à paraître dans La Nouvelle Revue du Travail). 3 Philippe Nasse et Patrick Légeron,

études réalisées ont démontré l’importance de la qualité de la gestion comme facteur de succès d’une entreprise. Ainsi, il semblerait qu’un pourcentage très élevé de faillites soit dû à l’incompétence l’inexpérience des gestionnaires. En effet, le seul apport de capitaux et de technologie n’est pas un garant de la réussite d’une entreprise. C’est ainsi que la qualité de la gestion et du management peut expliquer la supériorité économique d’un pays (ex. Le Japon) ou l’efficacité d’une entreprise. 1. Définition

révolution industrielle » des années 1970, la révolution Internet, qui marque déjà une première rupture en ce sens qu’elle suppose une nouvelle organisation du travail. Celle-ci, et ce sera notre deuxième rupture, se distingue du taylorisme et du fordisme de l’ère industrielle, anéantis par des contradictions à la fois interne et externe ; elle repose pour sa part sur le toyotisme et se veut un modèle qui s’adapte rapidement à la demande dans un processus productif optimisé et de qualité. Ainsi sous