Leibniz Cette Considération

généraux du Baccalauréat : — l’exercice de la citoyenneté démocratique. — l’utilisation correcte et précise du langage. — le domaine du raisonnement. — la maturité personnelle, sociale et morale. — la formation générale. — la connaissance et la considération des réalités du monde actuel. — la promotion de l’égalité de droits entre femmes et hommes. Réaliser tous ces objectifs suppose que la philosophie au Baccalauréat doit être active et sa méthodologie doit faire le lien entre la praxis et la théorie

signification unique. » Quelques mots de discussion. On est un peu surpris, à première vue, de penser que Leibniz et Kant sont englobés dans cette définition du Rationalisme et du Dogmatisme. Les pragmatistes, il est vrai, ne se soucient pas beaucoup de ces précisions. Ils manifestent une certaine négligence à l'égard des doctrines, qui n'ont pas une importance majeure à leurs yeux. Pour LEIBNIZ, leur objectera-t-on aussitôt, l'esprit tire de lui-même toute sa pensée : la monade est sans relation

territoire métropolitain. Un adage disait : L’air de la France rend libre. Dès qu’un esclave mettait un pied en France, on lui donnait sa liberté. On abolit donc l’esclavage dans les colonies en 1794 mais il est rétablit en 1802 pour une multitude de considérations : D’abord pour des raisons économiques : Les grandes puissances européennes pratiquaient le commerce triangulaire (Europe (produits manufacturés) Afrique (esclaves) Martinique, Antilles (Esclaves contre denrées coloniales : sucre notamment))

et bien des traitements distincts : — « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » — « “Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?” » Dans le premier cas, le sujet est une question, tandis que dans le second il est une citation (de Leibniz). Quand le sujet est une question, on doit y envisager des réponses (métaphysiques, scientifiques, phénoménologiques...), et examiner si elles sont satisfaisantes. Quand le sujet est une citation, on doit se demander ce qui peut nous amener à poser

fils, qui exerce une profession de type BEP, me comprend. :-))) A+ Mulot D'après ce que j'en sais, la mythologie est l'étude des mythes donc la religion tout autant que les légendes de peuples rentrent dans ce cadre. Pour en revenir à la considération des religions actuellement en vigueur (et de plus en plus, même) je ne pense pas que les inclure dans les mythes soit une chose à faire. Les mythes sont des extraits d'une culture passée, ils n'ont pas plus de droit d'entrée que la loi grecque

conformé pour la pensée, était le siège d'une imperturbable et joyeuse sérénité. Il avait toujours en partage l'humour et l'esprit, et son enseignement était l'entretien le plus récréatif qui soit». C'est avec la même assiduité que Kant étudia Leibniz, Wolff, Baumgarten et Hume, les lois naturelles de Kepler, de Newton et les écrits de Jean Jacques Rousseau (Émile, la Nouvelle Héloïse), ainsi que toutes les nouvelles découvertes qui lui parvenaient. Sans parti pris, le philosophe cherchait à approfondir

A. l’intérêt pour le passé On pourrait en effet naïvement pensé que le passé est sans intérêt, car n’est plus, seul l’actuel devrait susciter notre intérêt. Pourtant, le passé nous intéresse et cela parce que selon NIetzsche, dans la seconde considération inactuelle, 1. parce que l’homme conserve et vénère: nous avons besoin de connaître notre passé parce que grâce à lui, nous avons le plaisr d’être “le fruit de…”. Avoir un passé, c’est avoir une identité aussi bien individuelle que collective

l’Église, pèse aussi peu à peu sur les esprits dans le sillage de Pierre Gassendi (1592-1655), matérialiste sensualiste qui ouvre des brèches encore timides à l’athéisme. 3 Château de Versailles. Louis XIV et la Cour. René Descartes. En effet les considérations et les pratiques religieuses marquent aussi fortement le siècle avec la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui met fin à la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des Jésuites et des Jansénistes. En effet les Jésuites

fourmillière.»| Homme apparait comme mesquin, ridicule, violant, pitoyable, ce qui peut susciter l'indignation du S => vulnérable | b) La vulnérabilité de l’Homme+ Philosophe aborde la considération de l'homme en se détachant lui- même de son espèce => ne se considère pas comme eux> 3° pers, article démonstratif => distance> considère l'homme dans sa grande vulnérabilité> nom commun « misérable » -> péjoratif / dénigrement+

notre manière de penser. Méthodes: Critique et réflexive, dans le but de rendre raison. Toutes les méthodes se rejoignent dans la rationalité, le sens, la critique,... Question de base: Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien? (Leibniz) > étonnement On met en doute les évidences et pose la question du sens ultime des choses. Naissance d'une tradition: La philosophie avant Platon: Vision générale: les premiers philosophes se posent des questions: différences