Leibniz Cette Considération

ne va pas « pour le mieux » dans « le meilleur des mondes » ; certes, il égratigne en chemin le fanatisme des uns, l’esclavagisme des autres, … Mais il paraît clair que bien souvent le plaisir de conter et de divertir l’emporte sur toute autre considération. Les auteurs exploitent donc toutes les ressources de l’histoire et du langage, moins parfois pour démontrer que pour embellir et égayer leur propos (Voltaire), ou pour lui conférer plus de force dramatique (Camus). Enfin, il arrive aussi que la

un système juridique, universel et valable pour tous. Cette construction du droit n’est pas étrangère ni a l’antiquité, ni au moyen âge. C’est l’école de « la nature et des gens » qui va devenir un droit dans l’esprit cartésien. Dans cet esprit, LEIBNIZ rédige un traite de jurisprudence capable selon lui de traiter tous les problèmes du droit. PUFENDORF, étend cette ambition a l’organisation judiciaire et a la procédure. WOLF développe un CODE DE RAISON pour le droit. Au fil du temps, la doctrine

des autres – au moins d’une femme – ce qui va l’emmener à entrer en société, armé d’un sain « amour de soi-même », respect de soi plein d’assurance. Dans la société règne au contraire « l’amour propre », orgueil dévoilant en fait un besoin de considération : la vanité règne dans le monde, où les désirs sont artificiels, dictés par l’unique souci d’être bien vu des autres. En société, Émile est également confronté à des questions nouvelles, relatives à la religion et à la politique. Ces questions

Univers Nature Monde Si la réalité est l’objet de la philosophie, dans cette réalité, l’homme est l’élément essentiel, en dernière analyse. Cette manière pour Kant de ramener la connaissance du monde à celle de l’homme se justifie aussi par la considération des questions essentielles de la philosophie qu’il résume, dans sa Logique 13, en ces quatre suivantes : 1. Que puis-je savoir ? 2. Que dois-je faire ? Emmanuel KANT, Anthropologie du Point de Vue Pragmatique, trad. M.Foucault, Préface, Paris,

l’essence de ce qui est vrai. La vérité de la chose jugée répondrait plutôt à la définition qu’en donne Aristote, à savoir « la propriété d’un jugement affirmant que ce qui est ou ce qui n’est pas n’est pas. » Mais on pourrait aussi se référer à Leibniz, pour lequel il n’est pas de vérités que pour nécessité et celles-ci sont donc, de ce fait, nécessairement contingentes. Si elle est relative par nature, la vérité de la chose jugée a une portée différente selon qu’elle est invoquée pour s’opposer

l’instant de suprême consécration, sur l’ordre supérieur de son génie et sans l’aide d’aucune machine, se risquer à reproduire les divins traits de l’homme8. » Ici se montre dans toute sa pesante balourdise le concept trivial d’“art” auquel toute considération technique est étrangère et qui sent venir sa fin avec l’apparition provocante de la nouvelle technique. Sans s’en apercevoir, c’est contre ce concept fétichiste et fondamentalement antitechnique que les théoriciens de la photographie se sont battus

traverser l'histoire : la quadrature du cercle, la trisection de l'angle et la duplication du cube. En arithmétique, ils mettent en place la notion de nombre pair, impair, parfait et figuré. Cet idéalisation des nombres et le souci de les relier à des considérations géométriques est probablement lié au système de numération grecque assez peu pratique : si le système est décimal, il est additif et se prête donc assez peu facilement aux calculs numériques. En géométrie, ils étudient les polygones réguliers

elle n’a pas : comme l’affirme Bergson, « il n’y a guère dans l’âme humaine que des progrès », entendons par là des processus où tout change et se transforme de façon continue, par 55 Le sujet petites transitions insensibles (pour parler comme Leibniz), chaque sensation présente étant modifiée par la précédente et modifiant elle-même la suivante. c) Les sensations se modifient de façon continue Ainsi, une sensation ne se répète jamais exactement à l’identique, précisément parce qu’elle « se modifie

l’erreur impossible ». Cette démarche renvoi à la recherche utopique/scientiste d’une société parfaite : « romantisme du nombre ». « Les hommes comptèrent les nombres et seuls les nombres comptèrent ». Un siècle avant la révolution française Leibniz (1646-1716) exprime l’idée : «  la pensée humaine peut se manifester à l’intérieur d’une machine ». ( Père de la cybernétique. On peut d’après lui inventer un calculateur qui serait très performant. Découverte d’un point à partir duquel tout se

pour eux de pratiquer une occupation systématique des cités grecques. De la même manière, l’entretien de cette armée représente un effort considérable même pour un royaume qui dispose de mines d’or. Si on laisse à par les considérations militaires, d’autre considérations politiques obligent le roi, s’il veut enraciner sa puissance en Grèce à ne pas être assimilé à un occupant comment se légitimer politiquement et moralement ? Il va reprendre à son compte que les athéniens entrepris, celui de