Leclerc Assortiment Lait

destinées au distributeur dont une synthèse sera constituée sous la forme d’un dossier merchandising. La réglette d’élasticité linéaire : règle de calcul : nombres de facings par rapport à la surface de vente… Logiciels informatiques pour assortiment, type de mobilier, coûts directs et indirects logistique… La fiche de suivi merchandising pour vérifier que produit est bien présent, dans le respect des conditions négociées. Diagnostic rayon : fournisseur peut repérer rapidement les anomalies

centralisés (Monoprix, Cora, Carrefour, Auchan...) qui ont les rayons les plus développés. Pour y accéder, pas d’autre solution que de passer par la centrale d’achat. Cela laisse peu de place pour le fournisseur local. En revanche, les enseignes locales Leclerc, Intermarché, U, disposent de plus d’autonomie. Cependant la bio ne pourra se développer si elle motive les personnes qui en sont chargées. Certaines enseignes l’ont bien compris. Pour un certain nombre de personnes présentes au colloque, les GMS

La superficie totale du magasin est d’environ 7 650 m². Horaires d’ouvertures : du lundi au samedi de 8h30 à 20h30 • Lieu d’implantation : La zone de chalandise est composée 2 hypermarchés quoi sont les concurrents directs. Ceux-ci sont Leclerc et Intermarché. Les autre sont des supermarchés et hard discount. • Organisation de l’unité commerciale service épicerie: [pic] J’ai effectué mon stage dans le rayon épicerie sucré avec comme tuteur Mr BONNIN. (Principales missions

entendue ici dans le sens restreint de commerce alimentaire en grandes surfaces à prix discount, a connu depuis le début des années 1960 d’incessantes transformations qui en ont bouleversé les formes d’organisation, les rapports à la clientèle, les assortiments et les prix. Cette révolution permanente, dont l’objectif est la conquête de nouvelles parts de marché afin d’améliorer la profitabilité des enseignes, trouve son ressort le plus puissant dans la nécessaire adaptation de la distribution aux mutations

deux étapes : * minitel * internet avec trois types d’acteurs : * clic en mortar (FNAC) * les spécialistes ; la vente exclusivement sur internet * les magasins, vente par correspondance (LA REDOUTE) * télé-achat : c’est un assortiment généralement réduit que l’on peut acheter principalement par téléphone, puis par internet. La vente à distance c’est -5% des ventes globales. Plutôt sur les produits non alimentaires. IV. L’innovation et la dynamique du commerce

Lafayette). 1879 : Aux USA, Woolworth a imaginé le magasin ou le tout à cinq cents. 1919 : FNCC : fédération nationale des coopératives de consommation, pour protéger le consommateur. 1920 : Rockefeller Center (N.Y) 1949 : Le premier centre LECLERC, qui ressemblé au hard discounter, et pas aménagé en rayon. 1950 : Le premier shopping mall. 1957 : Le premier supermarché. 1963 : Le premier hypermarché carrefour. 1969 : Les premiers centres commerciaux français. 1988 : Télé-achat et premier

une place, bien que minime, sur le marché de la pâte à tartiner. Car en effet, ce sont les Marques de distributeurs et les premiers prix qui restent les principaux concurrents de Nutella. On trouve parmi eux, les grandes surfaces telles Auchan, Leclerc ou encore Carrefour, qui propose leur propre marque de pâte à tartiner. Cependant, ces dernières sont plutôt choisies pour leur prix et non pour leur qualité, car le goût de Nutella reste unique et inimitable. On note également la présence de concurrents

paramètre du commercial mix n’a pas de raison d’être. Certaines entreprises, pour organiser leur portefeuille de marques, ont recouru aux travaux du Boston Consulting Group. Elles ont aussi classé leurs produits en quatre catégories : – « les vaches à lait » qui contribuent peu à la croissance mais fournissent des liquidités ; – « les poids morts » qui ne contribuent ni à la croissance ni aux profits ; – « les vedettes ou stars » qui contribuent à la croissance et s’autofinancent ; – « les dilemmes » qui

élastique. Même si le prix des cigarettes augmente régulièrement, les consommateurs ne vont pas réduire leur consommation, du fait de leur dépendance vis-à-vis du produit. Enfin, tous les biens de première nécessité comme le pain, le sel, la farine, le lait, … ou encore, dans le domaine des services, les services médicaux ont une élasticité très faible voire inexistante. En effet, ce sont des biens dont les consommateurs ne peuvent se passer, car ce sont des biens de consommation de base. Des biens

La grande distribution : un concept toujours pertinent ? «  Les consommateurs recherchent plus de pouvoir d’achat », « les salariés de Carrefour en grève », « les producteurs de lait en colère contre la grande distribution », les journaux quotidiens français ne cessent de titrer sur le secteur de la grande distribution. Pour Moati, la grande distribution est soit synonyme de grandes surfaces alimentaires (GSA) dans une approche restreinte, soit elle intègre en plus des GSA, les GSS (grandes surfaces