La Réforme De Maupeou

contribuent à une internationalisation des productions artistiques. Il s’agira aussi de s’interroger sur les grandes catégories forgées par l’historiographie (classicisme, anticlassicisme, maniérisme) et sur l’impact des phénomènes religieux (Réforme, Contre-Réforme). Orientation bibliographique - Jean DELUMEAU et Ronald LIGHTBOWN, La Renaissance, collection « Histoire artistique de l’Europe », Paris, Seuil, 1996. - Claude MIGNOT et Daniel RABREAU, Temps modernes, XV-XVIIIe siècles, Paris, Flammarion

Deuxième aspect de la vie : la vie civile et politique. Troisième aspect de la vie : la vie spirituelle et éternelle. Dans le royaume, c’est dans la personne du roi que ces 3 aspects de la vie se rejoignent. C’est dans ce sermon, prononcé pour la réforme du royaume, que Jean Gerson accorde une attention particulière à la vie civile et politique au sein du royaume. C’est un aspect de la vie du roi qui est permanent, qui perdure, détaché de la vie physique du roi. La vie politique et civile du royaume

l’emprise de la noblesse. L’égalité réclamée par la bourgeoisie ne concerne qu’une égalité juridique ( aucune volonté d’un partage économique ( inégalités naturelles de talent et donc de fortune : ces différences sont hors de portée de toutes réformes politique et juridique. Les revendications portent aussi sur les règles de fonctionnement de la monarchie et le système de répartition des responsabilités. 2-) Nouvelles théories politiques des philosophes des lumières : a) La division

edits vont devenir de véritables sources du droit. Parmi les edits les plus importants il y a ceux institué par les magistrats les plus importants comme les gouverneurs de province. 2§ : Les sources du droit dans l’empire romain : La plupart des réformes fondamentales réalisées, sont sous forme de loi, votée dans le respect apparent des formes républicaines, donc votées, au sein des assemblées, que l’on appelle les comices. Mais, cette activité législative des comices va régresser jusqu'à cesser

institutions restent immuables, si elles sont pétrifiées, elles se trouvent très vite en décalage avec le mouvement social. Alors s’ouvre nécessairement une période de crise, de tension. Cette crise dans le meilleur des cas est peut-être surmontée par des réformes, si des mécanismes d’ajustement fonctionnent encore (si la machine réformatrice n’est pas grippée). S’il n’y a plus de procédure permettant le réajustement, ou bien si elles ne fonctionnent pas arrive une révolution. Selon les juristes, une révolution

par le privilège. Le monarque doit donc en permanence composer avec les privilèges des individus, des ordres, des régions, des villes, des groupes professionnels... Les privilèges sont partout. Son autorité ne peut s'exercer qu'avec prudence. Toute réforme qui remet en question les privilèges, on risque de susciter de la résistance, voir de la pure et simple opposition. L'absence d'unité juridique dans ce royaume est également un obstacle à l'autorité du roi. Ce pays est morcelé, pleins de coutumes

transgresser. Les états généraux sont convoqués par le roi. Le roi les consulte juste (rôle consultatif), mais les états généraux ne sont pas un pouvoir législatif. Le roi seul détient ce pouvoir. Ils ne peuvent pas contraindre le roi à faire des réformes. Ils peuvent juste, si le roi leur demande, faire des voeux, des plaintes … Deux conceptions de la souveraineté à la veille de la Révolution. C. Le pouvoir du Parlement 1. Origine du parlement Il a une origine judiciaire. Le roi exerce un

gouverne par conseil. A partir du début du XIVe siècle, les Etats Généraux, qui réunissent des représentants des trois ordres, sont convoqués plus ou moins régulièrement par le roi : ils votent des subsides et émettent des doléances, des vœux de réforme. Mais ils ne seront plus réunis de 1614 à 1789. La fonction de conseil est donc régulièrement exercée par d’autres institutions, les organes qui forment le gouvernement central de la monarchie : - Les ministres – Le principal ministre (Sully, Richelieu

autres, sont associés et s’entraident en vue de faire triompher la souveraineté. réunissent des représentants des trois ordres, sont convoqués plus ou moins régulièrement par le roi : ils votent des subsides et émettent des doléances, des vœux de réforme. Mais ils ne seront plus réunis de 1614 à 1789. La fonction de conseil est donc régulièrement exercée par d’autres institutions, les organes qui forment le gouvernement central de la monarchie : - Les ministres – Le principal ministre (Sully, Richelieu

Méditerranée. Beaucoup ensuite tenteront de recréer l’empire de Charlemagne, la culture européenne s’étant emparée de ce glorieux règne, que les Allemands, les Autrichiens, les Belges, les Italiens ou les Suisses peuvent aussi revendiquer ! Des réformes à tout va Afin de mieux contrôler son immense empire, Charlemagne met en place les missi dominici (« envoyés du maître ») chargés de surveiller l’administration du royaume. L’empereur généralise également le système de la vassalité, doublant la fidélité