La Réforme De Maupeou

Conseil d’En haut (car il a lieu au premier étage de Versailles). Il souhaite rapidement réformer la taille, afin de remettre de l’ordre, il ne s’attaque pas à l’ordre social il cherche seulement à corriger les abus. (Contrairement au cardinal de Fleury qui lui veut modifier l’ordre social). Il rédige un mémoire qui est à l’origine de sa grande réforme de 1733, elle est portée par un arrêt du conseil. Cette réforme correspond à la mise en place de la taille tarifée, il n’est plus fixé en fonction d’une

ancien, et aussi entre les anticléricaux et l'Église catholique. Sommaire [masquer] * 1 La France dans les années 1780 o 1.1 La société française o 1.2 La contestation de la monarchie absolue o 1.3 L'échec des réformes politiques * 2 L'année 1789 marque la fin de la monarchie absolue et de l’Ancien Régime o 2.1 La révolution juridique (mai-début juillet 1789) + 2.1.1 La campagne électorale pour l'élection des députés aux États-généraux

sachant que ces privilèges varient d'une province à l'autre) Les privilèges sont en principe des garanties de liberté contre les abus du pouvoir mais dans la pratique, ils gênent l'établissement d'une politique générale, entravent les volontés de réforme du gouvernement (notamment sous Louis XV), ralentissent les échanges (il y a des péages d'une province à l'autre, voire d'une ville à l'autre). Ils figent la société. Au XVIIIe siècle, l'essor de nouvelles catégories sociales dans les villes et dans

etc. Il sera reconnu officiellement par l’intervention de la papauté à la fin du 12ème siècle avec la réforme grégorienne qui va tenter la remise en ordre : mœurs des ecclésiastiques, mais aussi le pape souhaitant faire des églises européennes indépendantes des clercs locaux, remise en ordre même de la papauté elle-même, ex : collège des cardinaux qui va élire le Pape est constitué après cette réforme grégorienne. Tentative d’unification du droit canonique. 2) Les décrétales pontificales Collections

ville. a) Un statut provincial Après la conquête, les Romains ne se posent pas de question et font de la Gaule une seule immense province. Ils se rendent toutefois compte qu’un tel territoire est impossible à administrer. En -27 intervient une réforme qui démembre l’immense province gauloise en quatre : l’ancienne Gaule transalpine devient la Narbonnaise, la Lyonnaise et l’Aquitaine au centre, et la Belgique au nord. Ces quatre provinces n’ont pas le même statut. La Narbonnaise, en raison de

permis de trouver quelque peu déplacé. Il écrit en effet le 22 mars 1762, au conseiller Le Bault : « Vous avez entendu parler, peut-être, d’un bon huguenot que le Parlement de Toulouse a fait rouer pour avoir étranglé son fils. Cependant, ce saint réformé croyait avoir fait une bonne action, attendu que son fils voulait se faire catholique et que c’était prévenir une apostasie. « Il avait immolé son fils à Dieu et pensait être fort supérieur à Abraham, car Abraham n’avait fait qu’obéir ; mais notre

même, dans certains cas, les autorités religieuses. Certains ont échafaudé de véritables utopies, modèles possibles de rénovation. C'est en fonction de ces opinions préétablies que les observateurs ont jugé les événements de 1789. Les partisans des réformes ont accepté et défendu tout ce qui pouvait corroborer leurs espoirs, et dénigré leurs adversaires, qu'ils ont qualifiés d'« aristocrates », d'« esclaves » ou d'« ennemis de la liberté ». Ils ont justifié les répressions les plus terribles par la

ville. a) Un statut provincial Après la conquête, les Romains ne se posent pas de question et font de la Gaule une seule immense province. Ils se rendent toutefois compte qu’un tel territoire est impossible à administrer. En -27 intervient une réforme qui démembre l’immense province gauloise en quatre : l’ancienne Gaule transalpine devient la Narbonnaise, la Lyonnaise et l’Aquitaine au centre, et la Belgique au nord. Ces quatre provinces n’ont pas le même statut. La Narbonnaise, en raison de

fonction On ne peut être élu deux ans d’affilés au sénat (Marius (fin du 2e siècle) Frères graques (Caïus et Tiberius) : ce sont des tribuns qui essaient de remédier au problèmes de partage des terres. Le petit peuple n’a rien, et revendique => réforme agraire, pour le partage des terres à la plèbe, mais les deux frères ont été assassinés. Dans ces circonstances c’est le pouvoir militaire qui va s’imposer, commence un peu avec Marius et Scylla. En 27 av JC, fin de la république avec Auguste

salut public, il était régicide et était censé représenté la tradition révolutionnaire. En revanche pour Lebrun le choix est plus difficile, Napoléon ne le connaissait pas, il lui avait été conseillé par Tallé Rand. Lebrun avait été secrétaire de Maupeou. LeBrun faisait partie de l’administration royale, il était un homme de lettres distingué. Il a fait partie des constituants, a été président de l’administration et de Versailles et a eu des fonctions au législatif. Lebrun était censé apporté les