La Réforme De Maupeou

« IMPERIUM » va désigner plus tard le pouvoir des magistrats supérieur de la république romaine. Ce concept va également servir de modèle à la fin du Moyen Age à la souveraineté étatique. L’essentiel des réformes est lié au nom d’un roi qu’on appel « Servius Tullius » a qui on attribue l’essentiel des réformes, elles vont permettre la naissance de ses politiques à Rome et qui va dépasser le simple cadre des des liens de fidélité personnelle. Ce roi aurait créer une nouvelle organisation politique sur

bénéficie le soutien de ses canonistes et de l’église. Mais c’est contre l’église que la lutte sera difficile à mener. B/ le Royaume & l’église L’église représente une menace plus conséquente pour l’indépendance du royaume de France. Depuis la réforme grégorienne (11ème s), elle est dotée d’une organisation structurée et très centralisée, elle détient un quasi monopôle du savoir qui va commencer à diminuer au 12ème s. Elle prétend que le pouvoir temporel est subordonné au pouvoir spirituel. A partir

publique). On veut restaurer la discipline. L’évêque métropolitain devient archevêque, qui exerce une juridiction d’appel et une surveillance sur les autres évêques. Les clercs : importance de la formation des clercs. A l’époque de Charlemagne, réforme sur l’écriture. Chaque évêque doit organiser une école pour former les clercs. Les clercs sont regroupés autour de l’évêque. Ils vont être dispersés dans l’ensemble du territoire. On a d’abord le chef des diacres. On a également des prêtres nommés

que non, et il faut installer un conseil de régence et on va considérer que le régent doit demander avis du conseil. Philippe d’Orléans, hostile à la politique de Louis XIV, ce dernier savait bien que s’il devenait régent, il ferait de nombreuses réformes. Le conseil considère alors que le régent doit avoir les mêmes pouvoirs que le roi. B) La religion Le roi doit être catholique et cela en fonction d’un principe adopté par l’Europe, qu’on énonce à travers une règle en latin « le monarque

puissance souveraine me réduirait à la triste nécessité d'employer, tout le pouvoir que j'ai reçu de Dieu pour Préserver mes peuples des suites funestes de ces entreprises. (…) 23 Document 4 Déclaration du chancelier Maupéou au lit de justice de décembre 1770 Document 5 Réforme Lamoignon : Edit du 8 mai 1788. « C’est donc pour enregistrer les lois communes à tout le royaume, et en cas de contravention des tribunaux à nos ordonnances, pour leur donner à euxmêmes des juges, que nous exécutons aujourd’hui

nombreux obstacles comme la censure, que les auteurs doivent déjouer le plus habilement possible. 2.La censure sous Louis XVI La censure est née au XVI° avec la diffusion du livre due au développement de l'imprimerie et avec le mouvement de la réforme. Au départ, c'est la faculté de théologie de paris qui s'occupe de l'examen des livres. Quatre docteurs de cette faculté s'en occupaient mais peu à peu, ce sont des censeurs royaux qui sont nommés à titre permanent en dehors de la faculté..Le nombre

à elle seule. B. La concentration des pouvoirs Exemple: fait historique, la séance de la flagellation du 3 mars 1766, sous Louis XV. Suite à un mouvement des parlementaires qui consiste à remettre en cause les lois du roi, le roi n’arrive pas à réformer son royaume. Un jour ce 3 mars le roi va à la chasse et à un moment sur la chemin il se présente au parlement en se plaçant au milieu à sa place et règle ses compte. Il demande l’identité de ceux qui s’opposent a lui. Certains lèvent la main et il

elle va rester hermétique aux frustrations bourgeoises. En revanche, elle sait très bien que si ce sont les pauvres qui payent l’impôts, il n’y aura pas suffisamment d’argent dans les caisses de l’Etat.Elle sait que fondamentalement qui lui faut réformer le territoire et la fiscalité du royaume. C) Les privilèges de corps : un frein à l’absolutisme monarchique Les parlements d’AR reçoivent une délégation de justice et progressivement une autre délégation, celle qui leur permet

droit d’amendement (ajouter/modifier les textes), elles peuvent seulement accepter ou rejeter un projet de loi. B°. Les Plébiscites Ce sont des actes émanant du Concile, qui est une Assemblé de la Plèbe. Il s’agit au départ d’un vœu de réforme qui était soumis au Sénat, qui devait lui donner force obligatoire par un acte appelé « Sénatus Concus ». À partir de 286, les Plébiscites vont se confondre avec les lois, notamment lorsqu’ils suivent la même procédure d’adoption. La seule différence

et puis il y en a dont les causes sont exogènes (qui naissent de causes extérieures quant un pays se révolte contre celui vu comme l’occupant, colonisateur). Les exogènes ont un caractère pol nationale, cotés libération qui l’emporte sur le cotés reforme sociale (endogène). Les révolutions de palais : les coups d’État (conspirations) réalisés par un certaines élite contre les dirigeants. La révolution française : purement cause endogène puisque le caractère social y est très marqué. Il n'y a aucune