La Figure Du Monstre

dans la religion chrétienne l'esprit du mal, le mauvais génie. Pour la théologie, il est un ange déchu qui s'oppose à Dieu. Depuis l'iconographie médiévale, le diable est le chef suprême des démons. Il est dès lors représenté comme un monstre humain, griffu, à la figure terrifiante, avec de longues oreilles pointues, des cornes, une poitrine de femme, des pieds fourchus et une longue queue. Pouvant prendre des apparences séduisantes, il essaie de corrompre l'homme et de l'entraîner dans le pêché.

traits et son âme"), - sa pression sur son entourage (paroles sur les diplomates) sur les intellectuels « Par système, la personnalité de chacun s 'estompait dans une grisaille qui était le refuge commun ». - son caractère ogresque et orgiaque (figure de l'hybris) ->Le portrait de Staline sert à mettre en valeur l'opiniâtreté de de Gaulle dans ses négociations avec ce personnage difficile, mais il dévoile également les aspects négatifs et inquiétants du régime soviétique (la même critique

effet assez rare de trouver ces fossiles à l'air libre, dégagés par l'érosion. Cela n'expliquerait donc pas l'universalité du mythe. De manière plus probable, les dragons apparaissent, sous une forme ou une autre, en même temps que les autres monstres de l'imaginaire. Les plus anciennes traces connues remontent à 6000 ans environ, dans une tombe néolithique de Xishuipo, site archéologique de la province du Henan, en Chine : formée de coquillages, sa forme se détache nettement aux côtés du défunt

Pensées, par les allusions des fragments 12 et 41 aux chrétiens, et par la référence à l'abbaye de Port Royal dans le fragment 59. Le roi est également une figure prédominante dans ce tableau de la société du XVIIème; le roi qui, avant d'être l'image de la condition humaine, est le monarque absolu qui gouverne la France. Les évocations de la figure royale sont effectivement très abondantes dans les Pensées. De plus, on trouve des allusions au statut politique de la France, avec des références à la

tellement empreinte d'animosité et de haine, l'acte tellement traumatisant que cela apparaît comme contraction dans un XIXème sicèle qui "ne cesse d'exorciser l'irruption des pulsions dionysiaques du massacre par l'accentuation des traits de la figure du monstre". Alain Corbin tente un éclairage sur ce que représente le massacre d'un homme par ses semblables dans un siècle éminemment influencé par une philosophie éclairée, une conception moins stricte des pratiques religieuses et où l'expression politique

l’auteur, visible dans ce poème. I. L’image des enfants A. Des enfants manipulés. Dans ce poème, Hugo nous montre très bien à quel point les enfants sont manipulés. On peut le justifier dans ce texte à maintes reprises, tout d’abord grâce aux figures d’oppositions, comme l’antithèse, par exemple, présente dans le vers 18 qui oppose deux termes importants « la richesse » et « la misère ». Hugo veut vraiment pousser le lecteur à être dans un état de pitié pour ces misérables enfants qui ont vécu

élevé: ainsi, on peut noter l'utilisation fréquente du pluriel et l'insistance sur le nombre, l'emploi de termes collectifs (peuple, nation, armée...), de superlatifs (le plus, très...), d'adverbes d'intensité (beaucoup, terriblement...). Parmi les figures de rhétorique, les comparaisons et les métaphores favorisent le passage de la réalité à une représentation dramatisée, surdimensionnée. Les hyperboles expriment ellesmêmes l'exagération. On peut également signaler les anaphores, qui mettent l'accent

roman devient un outil d'exploration et d'explication de la réalité. Le roman cherche donc à donner une image fidèle de la réalité sociale afin de pouvoir expliquer sa complexité : c'est pourquoi il privilégie l'illusion de réalité en utilisant des figures de style dans la description. C’est la naissance du roman réaliste qui fait du personnage le représentant d'une catégorie sociale : on parle alors de type romanesque. Le héros est confronté à une réalité impitoyable face à laquelle il doit déployer

est-ce que je me comprends ? (Il va vers le milieu de la chambre.) Et si, comme me l’avait di Daisy, si c’est eux qui ont raison ? (Il retourne vers la glace.) Un homme n’est pas laid, un homme n’est pas laid ! (Il se regarde en passant la main sur sa figure.) Quelle drôle de chose ! A quoi je ressemble alors ? A quoi ? (Il se précipite vers un placard, en sort des photos, qu’il regarde.) Des photos ! Qui sont-ils tous ces gens-là ? M. Papillon, ou Daisy plutôt ? Et celui-là, est-ce Botard ou Dudard,

n°1 : Le vrai philosophe Dumarsais (1676-1756) était un philosophe des Lumières et grammairien Français. Il a dirigé la partie grammaticale de l’encyclopédie (17 000 articles) → collaborateur de l’Encyclopédie. Il a beaucoup travaillé sur les figures de styles, il a écrit clandestinement car il s’avait que l’on n’allait pas accepter ses écrits. Dumarsais insiste sur les qualités d’honnêteté morales et intellectuelles de tolérance et de sociabilité sans lesquelles nul ne pourrait se prétendre