La Figure Du Monstre

cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minautoromachie (1930-1937)[[1]] : le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait, le viol d'une jument qui représente symboliquement d'après Picasso lui-même, le peuple espagnol. Quand il aura connaissance au cours de la journée du premier mai 1937 des photographies de Guernica en flammes publiées

de marbre, l'estrade de brocart avaient eu leur moment ; c'était le tour de la chapelle de Louis XI. Le champ était désormais libre à toute folie. Il n'y avait plus que des flamands et de la canaille. Les grimaces commencèrent. La première figure qui apparut à la lucarne, avec des paupières retournées au rouge, une bouche ouverte en gueule et un front plissé comme nos bottes à la hussarde de l'empire, fit éclater un rire tellement inextinguible qu'Homère eût pris tous ces manants pour des

Benjamin Dalpé premier paragraphe (Aurélie Pellerin deuxième paragraphe)Analyse partielle acte IV, scène 2 de PhèdreD'abord, dans l'acte IV, scène II, de Phèdre, le thème dominant est l'orgueil de Thésée, qui l'empêche d'être au même niveau que son fils, Hippolyte. À un moment dans cette scène, le roi semble têtu envers la réponse d'Hippolyte sur le fait qu'il aime Aricie et non Phèdre, comme dit, Oenone. « Tu l'aimes ? Ciel ! Mais non, l'artifice est grossier. Tu te feins criminel pour te justifier

qu’avait t’il  donc à cacher ? Et la porte cachée dans Alice au pays des merveille ne correspond t-elle pas à la quête initiatique ? A Rome, la figure mythique de Janus appartient aux Dieux qui font de la porte le début d'un nouveau monde. Janus, dieu romain des portes, n’en est pas la seule figure symbolique. Il y a les monstres des seuils, symboles de l’interdit ;les frontières d’un pays ont leurs douanes et leurs douaniers ; les hôtels et les administrations ont leurs portiers. Tous

à son but: créer une langue travaillée. Nous étudions un corpus composé de quatre poèmes du XVII au XXe siècle. Le texte A est tiré de l' Art poétique de Boileau (1674), le texte B est extrait de la « Réponse à un acte d'accusation » de Hugo, qui figure dans Les Contemplations (1856). Puis, le texte C s'intitule Art poétique (1884) et a été écrit par Verlaine, et enfin le texte D se nomme « La promenade de Picasso » et est tiré du recueil Paroles de Prévert publié en 1945. Qu'ont en commun les textes

disparition qui constitue les nœud de l'action, et c'est finalement dans cette première partie, absent, qu'il a une place des plus importante. Hippolyte, au début de la pièce, est déjà près a partir à sa recherche, s'interroge, s'inquiète sur son absence. Figure du héros par excellence, il est celui qui a tué le Minotaure, et ses exploit retentissent dans toute la pièce. Phèdre dépeint ses exploit, il a su conquérir son cœur, tout comme celui de sa sœur avant elle: Ariane, seconde fille de Minos. Roi d'Athènes

Anais Facchini Eleve de Seconde . 10 Médée de Sénèque : Un personnage qui suscite l'horreur. Le choix du thème de Médée, figure emblématique de la passion, se justifie par l’abondance des illustrations qu’elle sucita sur la scène française de l’époque classique.La tragédie permet au public d’assister au spectacle de la transformation d’un homme en monstre ce qui devient un héros tragique . Le plus souvent le héros est en proie à une souffrance physique et morale . Lors de la lecture de " la

partie 1 Chapitre 1: Un écueil fuyant 1. L'écueil est un rocher, banc de sable à fleur d'eau contre lequel un navire risque de se briser ou de s'échouer. La figure de style contenue dans le titre est une personnification (et oxymore) qui donnent l'effet d'un monstre. 2. Le roman commence en 1866 (p.31) 3. Le phénomène inexplicable est un monstre dont beaucoup de navires on croisé une chose énorme durant leur voyage. 4. Les émeutes sont les capitaines, populations de ports, esprit public à l'intérieur

simple gaze l’enveloppait » dans la phrase suivante. Le corps réel apparait dans le texte avec « les épaules rondes », « les cuisses grasses », « les cheveux », « les aisselles », « la gorge », « les larges hanches » mais il est transfiguré par des figures de style qui le rend poétique. Par exemple : « blancheur d’écume », « poiles d’or », « gorge d’amazone », « le voile de ses cheveux » (métaphore), Nana est comparée à la Vénus de Cabanel La naissance de Vénus (métaphore filée), les pointes de ses

Poséidon. C'est en effet un ennemi de taille, "un géant" comme le souligne Ulysse, puisqu'il a l'estomac d'engloutir au moins trois compagnons d'Ulysse pour son souper. Les qualificatifs dépréciatifs ne manquent pas pour le décrire: "solitaire", "monstre gigantesque", "sauvage et méprisant la justice et les lois". Mais Ulysse aussi est un ennemi imposant. En effet, Polyphème a beau être géant, fort, seul et bête, Ulysse lui est petit-mais il s'aide de ses compagnons pour le combattre, qui peuvent