La Figure Du Monstre

» lui murmura Alice, calmant son chagrin « je l'aurai vu » t-w-i-l-i-g-h-tJe réfrénais une grimace face à ce mensonge. Nous devions rester solidaires, Alice et moi. Ce n'était pas facile, entre entendre des voix et avoir des visions. Comme des monstres parmi les humains. Nous protégions nos secrets les uns les autres. t-w-i-l-i-g-h-t« Cela t'aiderai un peu si tu pensais à eux comme des personnes » suggéra Alice, sa voix musicale trop rapide pour que les humains comprennent, si jamais quelqu'un

|Dans ce cours, je reprends une question classique et ses deux grandes explications, afin d'apporter aux | |élèves des arguments classiques. Puis, en parlant de la Shoah (génocide juif, qui préfigure la notion de | |crime contre l'humanité), figure contemporaine du mal, à travers la thèse d'H. Arendt (Eichmann à | |Jérusalem, rapport sur la banalisation du mal), j'essaie de montrer l'actualité mais aussi l'aspect moral | |et en somme "urgent " de la question (i.e. : l'urgence de se

|Les figures de styles | 1.Rapprochement de deux mots pour montrer une ressemblance. Comparaison : figure de style consistant à mettre en relation (à l’aide du comparatif) deux mots, le comparant et le comparé. (Il est léger comme une plume). Métaphore : figure de style ayant le même principe que la comparaison sauf qu’il n’y a pas de comparant. (Un gros serpent de fumée noire). -Si la métaphore possède plusieurs termes, c’est une métaphore filée

social , historique , géographique et artistique de l’auteur Otto Dix née en 1891 mort en 1969 est un peintre allemand expressionniste, antimilitariste profondément marqué par les deux guerres mondiales auxquelles il a participé. Otto Dix est une figure centrale du courant artistique de la Nouvelle Objectivité qui porte un regard réaliste de la société de l’entre-deux-guerres. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'Allemagne connut une ère de créativité artistique. Cette période de festivités

est donc fait naturellement pour intégrer la société. Si un homme choisit de vivre en dehors de celle-ci, c'est qu'il est, toujours selon Aristote, soit supérieur, soit inférieur à l'homme et est donc soit une divinité, soit un animal, ou même un monstre. C'est pourquoi, nous nous pencherons sur la question du personnage de Cnémon, misanthrope tragique ou comique, ensuite, de sa possibilité pathologique et de son côté contradictoire, et finalement, de l'existence même de la misanthropie, et de toutes

- Stirner (1840), L'unique et sa propriété : refus de tout ce qui est collectif, de tout lien car cela ne respecte pas mon individualité, mon moi.   - Nietzsche: L'Etat? Un monstre froid ! "Etat ? Qu'est-ce, cela ? Alors ! Ouvrez vos oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples. L'Etat c'est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement, et voici le mensonge qui s'échappe de sa bouche: Moi, l'Etat, je suis le peuple. C'est un mensonge !" Nietzsche, Ainsi parlait Zarathroustra (nous

perfectionnés vaisseaux spatiaux» le cadre est très atypique : « à 50 milles années lumières de chez moi» «la pesanteur double» tout cela fait référence aux voyages spatiaux, l’immensité de l’univers et la conquête des mondes, On constate une figure de style : l’ accumulation sur les traits physique de extraterrestre «des êtes hideux,ignobles, monstrueux» ce qui renforce le côte burlesque de la chose par la caricature, il dénonce les critères de l’humanité : «un être qui est diffèrent n’est

sujets de choisir la puissance des chocs, la pratique de l’expérience en groupes (pour analyser les phénomènes de conformité sociale et de déresponsabilisation) et la légitimité de la figure d’autorité. Comme on pouvait s’y attendre, plus la victime est éloignée, l’autorité proche, la pression du groupe importante et la figure d’autorité légitime, plus le taux d’obéissance est élevé. Le sexe du sujet n’a pas d’influence. Conclusion L’expérience de Milgram sonne comme un avertissement pour tout un chacun

LE MINOTAURE I – L’introduction. Voici le Minotaure. C’est un monstre, mi-homme mi-taureau. Il est né de l’union de Pasiphaé, fille d’Hélios et épouse de Minos, et d’un taureau blanc envoyé par Poséïdon. Pasiphaé était maudite par Poséïdon parce que Minos refusait de lui sacrifier le taureau qui lui était promis, alors, prise de folie, elle s’accoupla avec le taureau. Elle y parvient grâce à un simulacre que lui confectionne Dédale, son ingénieur. Honteux de la progéniture, Minos le roi de Cnossos

Ils sont reliés par le guerrier au sol à gauche et la femme qui s'effondre à droite. Des triangles organisent ensuite le tableau. L'œuvre de Picasso déforme les personnages, les transformant en monstres. Fait habituel dans la peinture expressionniste. La particularité de Picasso est que ces monstres ne renvoient pas à un rêve ou à l'inconscient, mais bien à une réalité. Il allie l'expressionnisme et le symbolisme. Picasso a voulu exprimer dans cette œuvre le démembrement du monde en proie aux