La Figure Du Monstre

récupèrent les néoplatoniciens et humanistes comme Marcile Ficin et Pic de la Mirandole pour leur théologie mystique1, et le dieu sauvage à la face grimaçante, associé à l’excès et au démonisme comme le Bacchus de Michel-Ange. L’assimilation du dieu à la figure du diable et la comparaison de ses orgies aux sabbats sont des faits attestés par un bon nombre d’historiens2. C’est cet aspect là qui fera l’objet de cette étude. Au-delà de ce retour perceptible du phénomène du dionysisme à la Renaissance, il

1. Origine et Récit du mythe de Thésée Le mythe de Thésée est typiquement athénien puisqu’il est considéré comme l’un des grands rois la ville d’Athènes et fondateur de la démocratie. Il n’est pas qu’un symbole mais un idéal héroïque. La figure de Thésée représente à elle seule la cité d’Athènes. Ovide a raconté sa vie en détail dans « les Métamorphoses ». Apollodore au 1er ou 2éme siècle de notre ère, Plutarque et Euripide qui a choisi Thésée comme l’un des personnages les plus importants

montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minotauromachie (1930-1937)[1] : le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait, le viol d'une jument qui représente symboliquement d'après Picasso lui-même, le peuple espagnol. Quand il aura connaissance au cours de la journée du premier mai 1937 des photographies de Guernica en flammes publiées

Dès sa jeunesse, il écrit des poèmes et s'intéresse aux arts de la scène, notamment aux Ballet russes. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine des affiches patriotiques avant de partir au front. A partir des années 1920, Cocteau devient une figure importante de l'avant-garde notamment grâce à ses collaborations au ballet Parade (1917) et au "Groupe des six", qu'il a créé pour promouvoir de nouvelles formes musicales, comme celles d'Erik Satie. Il écrit également beaucoup : poèmes, romans (les

FRANCAIS Questions « Portrait » p. 137 Quelle est sa structure ? Montrer que derrière cette description transparaît un inquiétant personnage voir un monstre. De quoi Aquilina a est-elle l'allégorie ? Justifier. Ce texte est extrait de La Peau de Chargin de Balzac. L'extrait nous délivre le portrait d'une jeune femme nommé Aquilina. Celle ci vient de faire son entrée après le repas que tout les hommes viennent de déguster. Ce tableau est fait en un seul paragraphe, dans lequel apparaissent

impersonnelle et sereine des saints médiévaux, il respire de la concentration et de l’énergie. Son regard semble guetter l’approche du monstre, prêt au combat, la main sur l’écu, tout son être tendu en une décision inébranlable. L’originalité iconographique réside dans le fait que Donatello représente Saint Georges sous les traits d’un jeune homme imberbe s’apparentant à une figure de David. Cette statue est marquée par son apparente concentration, elle incarne une stature humaine exemplaire, idéale, dressée

LETTRES TICE Le portrait du monstre http://lettres.ac-dijon.fr http://www.lettrestice.com CABAU, Gaëlle, gcabau@ac-dijon.fr Dossier coordonné par Christelle Membrey-Bézier pour Mme Achard et M. Bussière, IA-IPR Lettres Groupe de travail ouvert à toute proposition ou suggestion : écrire à christelle.membrey@ac-dijon.fr Séquence sur le portrait : Quoi ma gueule, qu’est-ce qu’elle a ma gueule Le portrait du monstre Fiche professeur Trame à suivre

décrite comme une « fureur » qui brûle. Désespérée par la « honte certaine » (v.714) qui condamne « ce monstre » (v. 703) pour son « fol amour » Phèdre envisage sa propre mort en héroïne tragique et déclare : « Au défaut de ton bras prête-moi ton épée. Donne » (v. 710-1), qui témoigne sa détermination à mourir. Avec le pléonasme « ce monstre affreux » (v. 703) et l’hyperbole « Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite » (v. 701), Phèdre se définit comme un être immoral et inhumain, mettant en relief

personnage exceptionnel, au plus haut de sa forme. D’ailleurs, il évolue comme un être en parfaite santé, devient un jeune homme en pleine forme ,d’où les GN « sa jeunesse, son adolescence ». De plus, il est associé à de nombreuses hyperboles et figures d’insistances qui permettent d’exalter à la fois la singularité de sa beauté et son importance. Tel est le cas de l’accumulation de termes se rapportant au champ lexical de la grandeur : « d’un dru, d’une épaisseur d’une densité » Il est différent

le rythme du poème qui concorde alors avec la cadence de travail des enfants. De plus, l'auteur oppose habilement deux termes pour former une antithèse « de l'aube au soir » (V.5) soulignant une fois encore la longue durée des journées de labeur, figure de style qui est elle-même accompagnée de l'hyperbole « éternellement », dénonçant ainsi un travail sans fin. Mais si l'auteur insiste sur cette durée, il fait également part au lecteur de l'ennui que subissent les enfants à l'usine. En effet