La Figure Du Monstre

L’Odyssée – Homère Des hommes, des Dieux, des monstres et un héros Les personnages de l’Odyssée sont à l’image du monde réel et de l’imaginaire humain : riche, foisonnant et bigarré. Des hommes tels qu’en eux-mêmes. Contrairement à l’Iliade, peuplée uniquement de seigneurs, de princesses et de guerriers, les hommes qui peuplent l’Odyssée sont à l’image de la communauté humaine : toutes les classes sociales, tous les âges et les deux sexes y sont représentés. A Ithaque on voit des seigneurs, la

Devoir sur Frankenstein de Mary Shelley Sujet choisi : la préface de l’œuvre Frankenstein est la célèbre histoire du monstre maudit qui, haï par les hommes, se retourne contre son créateur. Repris et adapté de nombreuses fois, cette œuvre est considérée comme un roman majeur dans l’histoire du genre littéraire gothique. Cependant, Mary Shelley, forte de son entourage familial, ne se contente pas d’écrire un ouvrage enraciné dans ce genre, mais va jusqu’à lui apporter un renouveau qui va donner

selon Balzac, selon lui, une bête affreuse voire même un monstre. L’idée de comparaison entre l’humain et l’animal lui vient de la comédie humaine, c’est-à-dire que l’auteur utilise les mœurs et les philosophies de son entourage afin de critiquer le monde dans lequel il vit. (Sujet divisé) De ce fait, l’hypothèse veut que, Honoré de Balzac, à travers « Ferragus, chef des dévorants », critique la ville de Paris en l’associant à un monstre, ce qui, suite à la Restauration, lui permet d’exprimer son

Comment trouver la poésie dans un tel paysage ? Composition : 12 strophes de vers libre en rimes plates. Modernité dans l’écriture. Extrait étudié : Strophes 1 à 3. LECTURE EXPRESSIVE Mouvements : trois temps. Strophe 1 : La découverte des figures menaçantes des usines, gardiennes d’un monde rectiligne et lugubre. Strophe 2 : Les usines : une descente aux Enfers dans un univers carcéral. Strophe 3 : La rengaine obsédante des usines, seul horizon possible. Problématiques possibles

L’hyperbole du « monstre affreux » l.34, représentant son cœur, renforce cette idée d’impureté. En outre, cette passion n’est pas seulement impure, mais également culpabilisante. En effet, Phèdre s’en veut tellement qu’elle veut se faire punir : « Venge-toi, punismoi » l. 30, ou se faire battre : « voilà mon coeur, c’est là que ta main doit frapper » l. 35. Elle se sent tellement coupable qu’elle animalise son coeur et l’assimile à plusieurs reprises à un monstre : « ce monstre affreux » l. 34

avec dimension inquiétante, à l’image monstre, presque fantastique.II) Fascination de Mes-BottesL.8 : « rire », « hochant la tête », « yeux attendris » attendrissement Mes-Bottes devant alambic.L.9 : « tonnerre de Dieu ! Elle était bien gentille ! » discours indirect libre. « Gosier », « bedon » langage argotique ouvrier parlé par Mes-Bottes+ pour lui, alambic est figure féminine rassurante, sympathique. « Gros bedon de cuivre » alambic est comme figure maternelle pour Mes-Bottes, comparé à bébé

présence du champ lexical de la barbarie et de la sauvagerie (« animaux », « sang », « chair », « mort », « crime », « monstres », « barbare », « victimes », « dévorent », « abominable », « sanguinaire »). La poularde parle des « hommes » comme d’« autres animaux » ; une manière, de rabaisser les hommes de leur rang d’espèce dominante. Le chapon va encore plus loin : il parle de « monstres » en parlant des hommes, il y a donc ici une métaphore, et les considère comme ses « éternels ennemis ». Ses propos

cette étrange figure de joie, disons mieux, l'aggravaient. Un étonnement qu'il aurait eu, une souffrance qu'il aurait ressentie, une colère qui lui serait survenue, une pitié qu'il aurait éprouvée, n'eussent fait qu'accroître cette hilarité des muscles ; s'il eût pleuré, il eût ri ; et, quoi que fît Gwynplaine, quoi qu'il voulût, quoi qu'il pensât, dès qu'il levait la tête, la foule, si la foule était là, avait devant les yeux cette apparition, l'éclat de rire foudroyant. Qu'on se figure une tête

comment les propositions de cette longue phrase sont-elles construites ? Les propositions de cette longue phrase sont séparées par des points-virgules, c’est une énumération. b) Par quel mot répété sont-elles souvent introduites ? A quelle figure de style cela correspond-il ?Les propositions sont introduites souvent par le mot « rien » .La répétition de ce mot, à la même place, est une anaphore. c) Mettez la phrase suivante au discours direct : «  Il jugea apparemment

serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minautoromachie (1930-1937)www.denfert.com/alternative/.../minotaure/ : le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait, le viol d'une jument qui représente symboliquement d'après Picasso lui-même, le peuple espagnol. Quand il aura connaissance au cours de la journée du premier mai 1937 des photographies de Guernica en flammes publiées