En sentinelle Fredric brown
I.Les extraterrestres et la science-fiction
le récit se déroule dans un cadre somme toute assez commun des textes de science fiction dans une autre planète, une autre galaxie on retrouves des éléments propres à la science fiction tel que les «astronerfs, armes perfectionnés vaisseaux spatiaux» le cadre est très atypique : « à 50 milles années lumières de chez moi» «la pesanteur double» tout cela fait référence aux voyages spatiaux, l’immensité de l’univers et la conquête des mondes, On constate une figure de style : l’ accumulation sur les traits physique de extraterrestre «des êtes hideux,ignobles, monstrueux» ce qui renforce le côte burlesque de la chose par la caricature, il dénonce les critères de l’humanité : «un être qui est diffèrent n’est pas forcement inhumain», être diffèrent ne signifie pas ne pas être humain (moralement). Il dénonce donc les stigmatisation des hommes.
II. Les similitudes entre humain et extraterrestres
l’auteur humanise l’extraterrestre décrit à l’aide de sentiments propre à l’homme, on constate d’autant plus un cercle vicieux comme un recommencement « il était trempé et tout boueux» 2x (l.1 et l.19) , on peut penser ici à une analogie de l’univers car l’on ne sait pas ce qu’il y avait avant, la nation d’infinité est très abstraite il ne peut pas y avoir un éternel début et comment a-t-il pu se créer à partir de rien ? il y a aussi un événement inattendu l’individu perçu comme un homme est en fait un extraterrestre avec des attributs humains «faim, boueux, trempé» ceci est donc un paradoxe puisque