Joie De Créer Bergson

qu’il est utile de comprendre quel est concrètement le rôle qu’on me donne. Le rire est certainement une de mes plus grandes passions et c’est pour cela que j’ai choisi cet ouvrage sur la fonction sociale du rire. Je pense que le rire est un moyen de créer des liens sociaux entre les personnes. Cependant, il n’est pas toujours source d’affinité, il est même un moyen de nuire ou de repousser certaines personnes. Pour ma part, j’essaie de l’utiliser à bon escient même si parfois comme tout individu, je

permettre de tirer une conclusion sur l’utilité du rire dans notre société. Le rire, comme on peut l’imaginer de nos jours, est une chose qui se veut bonne. Dans un premier document qui n’est autre qu’un Essai de Bergson (1899) sur la signification du comique, et donc le rire. Bergson parle du rire dans le sens qu’on châtie les gens. On se rappelle tous cette expression de « Qui aime bien, châtie bien ». C’est ainsi qu’il le montre au travers de cette phrase qui n’est on ne peut plus compréhensible : « on

SYNTHÈSE DE DOCUMENTS CORPUS : François RABELAIS : Gargantua (1534) Henri BERGSON : Le rire, Essai sur la signification du comique (1900) Affiche du film de Charlie CHAPLIN, Le Dictateur (The Great Dictator) (1940) Marcel PAGNOL : Le Schpountz (1938) I. TABLEAU DE CONFRONTATION Document  1 Document 2 Document 3 Document 4 CONFRONTATION / le rire veut l'insensibilité, une anesthésie momentanée du cœur le coiffeur coupe la mèche et tourne Hitler en dérision (satire, critique politique) je ne

être rapides ou lentes. Texte n°1 : Henri Bergson, philosophe français 20°ème Siècle L’exemple du sucre qui fond dans le verre, montre que le temps objectif est incompressible (qu’on ne peut compresser). C’est un temps nécessaire qui ne dépend pas de moi. Le temps d’attendre est au contraire subjectif, variable car il se réfère à la manière dont il est vécu. L’affectivité joue un rôle essentiel dans ma manière de vivre le temps : sentiments de joie, plaisir, tristesse, désir, envie… C’est sentiments

sensibilitéLa sensibilité est une notion qui englobe l’ensemble de ce qui nous affecte, des sensations aux sentiments que nous éprouvons, en passant par les passions qui nous traversent.Comment exprimer sa sensibilité ?Le langage  : Henri Bergson émet la thèse selon laquelle, le langage serait insuffisant pour exprimer ce que nous pensons. Il est difficile que les mots traduisent parfaitement notre pensée. L’autoportrait  : expression de sa personnalité

Le Rire : pour quoi faire ? A travers plusieurs documents dont un texte de H. Rubinstein « Psychosomatique » ; les écrits de H. Bergson « Le Rire : essai sur la signification du comique » ; l’article de la rubrique « Epoque » avec un entretien entre Fellag et Olivier Mongin et un extrait d’Apulée « Les Métamorphoses » nous montrerons et expliquerons le rire. Le rire serait avant tout une émotion d’après Rubinstein, propre de l’homme, instinctif et primitif ; il existait déjà chez les hommes

l’artiste ne met pas entre parenthèse sa sensualité quand il crée. Mais comme le fait remarquer Bergson, l’artiste distingue aisément joie créatrice et plaisir de la reconnaissance. Pygmalion reste un créateur tant qu’il veut donner vie à son œuvre mais désirer vivre avec sa statue désormais rendue vivante n’est pas un acte créateur. A vrai dire créer l’objet de son fantasme n’est pas pleinement créer. L’acte créateur ne consiste-il pas plutôt à élever sa conscience en allant puiser une inspiration

nous apprend et non l'école."- Sénèque. "Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie." - Sénèque. "La soirée n'est jamais plus belle pour moi que quand je suis content de ma matinée."- Denis Diderot. "Toute beauté est une joie éternelle." - John Keats. "La poésie de la terre ne meurt jamais." - John Keats. "C'est dans les villes les plus peuplées que l'on peut trouver la plus grande solitude." - Jean Racine. "Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous

le Créateur et reflétant à juste titre la faiblesse de l’Homme face à ses tentations. Le rire est pour lui la traduction du manque de contrôle de soi et de l’orgueil qui nous guide dans le regard que l’on a sur les autres. Ce que corrobore Henri Bergson dans son ouvrage Le Rire de 1900 où il décrit le rire comme un défaut, une faiblesse de caractère qui traduit notre indifférence face aux problèmes ou à la douleur des autres et nous conforte dans une dynamique de groupe qui exclut celui qui ne nous

douter que ce spectacle soit la réalité même (illusion de la réalité). Revenu à l’état d’éveil de la conscience, l’homme rejette avec dédain la fantasmagorie creuse pour se consacrer aux taches irritantes et ingrates de la vie, s’y fatiguer sans joie. Ainsi, il ne peut manquer de se demander s’il ne laisse pas le meilleur et le plus vrai de lui-même dans le royaume enchanté. Rêve prend alors un sens nouveau (autre que image nocturne où la conscience est absente) : celui d’un monde merveilleux,