Jankelevitch

contexte actuel de cet enseignement ? la France est un des rares pays au monde qui admet l'enseignement de la philosophie avant l'université : Pourquoi ? Grâce à deux philosophes de la seconde moitié du 20e siècle : Jacques Derrida et Vladimir Jankélévitch qui ont lutté pour cela à la fin des années 70. 4-Pourquoi ce choix d'enseignement ? L'Europe est un territoire particulier pour la naissance de la philosophie : En Grèce antique, vers 600 avJC, des individus cherchent à atteindre une connaissance

famille allemande. Fils d'un immigré italien, Léon Gambetta opta pour la nationalité française en 1859, il avait 21 ans. Marie Curie, prix Nobel pour ses découvertes sur la radioactivité était d’origine polonaise. Les philosophes Bergson, Meyerson, Jankélévitch étaient tous d’origine polonaise. Chez les écrivains célèbres, Verlaine avait des ascendances belges, Apollinaire était d’origine polonaise, la comtesse de Ségur était la fille d’un gouverneur général de Moscou, Emile Zola était le fils d’un ingénieur

par chemin de fer, et de suivre des cours en Sorbonne. Il fréquente les cafés de Montparnasse, les artistes, poètes et peintres, en particulier les surréalistes. En 1924 il passe le concours d'Agrégation et est reçu en même temps que R. Aron, V. Jankelevitch, E. Mounier, P. Arbousse-Bastide. Cette année-là J-P. Sartre le rate.     À la rentrée de septembre 1924, le jeune agrégé est nommé professeur à Cahors. Dans cette ville, où il demeure en permanence, à la différence de Clamecy, il s'intègre davantage

comme son Autre, la religion », souligne-t-il 43. Le discours de 38. Anne RICE, Interview with the Vampire (1976), London, Warner Books, 1996, traduction de Tristan MURAIL, Paris, Latès, 1976. 39. Sigmund FREUD, Totem et tabou, traduction de S. JANKÉLÉVITCH, Paris, Payot, (1912), 1968. 40. Henry JAMES, « The Turn of the Screw », in The Aspern Papers and The Turn of the Screw, Harmondsworth, Penguin, (1898), 1986, traduction de Jean PAVANS, Paris, Librio, 1998. 41. Jacques-Alain MILLER et Éric LAURENT

Microsoft Word - Le_moi_et_le_ca.docSigmund FREUD (1923) “ Le moi et le ça ” Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1923 revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

s’aperçoit que tout a changé : Ithaque n’est plus la même, Pénélope n’est plus la même et lui a vieilli : « Ulysse, Pénélope, Ithaque, chaque être à chaque instant devient par altération un autre que lui-même et un autre que cet autre. » Jankélévitch L’irréversible et la nostalgie. Tout s’altère, tout est emporté dans le « flux insaisissable de la temporalité. » Alors qu’Ulysse, en revenant à son point de départ, annule le chemin parcouru depuis, le temps mis pour revenir n’annule pas

Microsoft Word - Le_moi_et_le_ca.docSigmund FREUD (1923) “ Le moi et le ça ” Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1923 revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

SCHOPENHAUER, Le monde comme volonté et comme représentation, trad. A. Burdeau, rév. R. Roos, Presses universitaires de France, Paris, 1978, p.1192 [38] « Par une irruption massive la musique s’installe dans notre intimité et semble y élire domicile ». JANKÉLÉVITCH, Vladimir, La Musique et l’Ineffable, Paris, Seuil, 1983, p. 7 [39] PLATON, La République, 410d [40] « cette préséance de l’affectivité au cœur de l’expérience résulte de ce que tout ce qui peut être vécu par nous ne l’est que sous la condition

à l’ordre du non être. Dévalorisation du point de vue de l’existence humaine : Le cours de la vie apparaît comme un processus de dégradation que nous éprouvons biologiquement dans l’expérience du vieillissement et de la mort des autres. Jankélevitch « le temps s’en va et nous aussi pendant ce temps »= finitude de tout ce qui existe. La conscience d’être mortel rend l’existence tragique et pose la question de l’absurdité de cette vie. Analyse le l’expérience de la mort par Heidegger :

. . . . . . . . . . . 89 Comte - problématique 5 : La connaissance doit-elle nécessairement servir à quelque chose ? . . . 90 Leibniz - problématique 6 : La connaissance ne vise-t-elle que la vérité ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 Jankélévitch - problématique 7 : Toute vérité est-elle bonne à dire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 Kant - problématique 9 : L’expérience conditionne-t-elle la connaissance ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 Freud - problématique