Équivalence logique

qui posent une équivalence entre enfants et prisonniers, esclaves, voire bêtes de somme (→joug) → champ lexical du malheur pour la pitié du lecteur. Registre pathétique: le registre littéraire d'un texte caractérise les sentiments dégagés par ce texte (exemple: comique, lyrique, …) ou le type d'univers (merveilleux, fantastique, réaliste, …) Donc Rousseau fait très largement appel au sentiment: c'est un procédé de persuasion. ARGUMENTATION Convaincre, raison arguments logiques Persuader,

. . . . 12 B Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 II Connecteurs logiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 A Négation d’une proposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 B Équivalence de deux propositions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 C Conjonction . . . . . . . . . . . . . . . . .

qu’il défend n’est pas conforme aux principes de la logique. Le premier principe de la logique est le principe de non contradiction, c’est-à-dire que deux propositions contradictoires ne peuvent être vraies ou fasses en même temps. Cependant nous pouvons nous étonner que blaise Pascale écrit que « l’homme est grand et misérable et cela de façon inséparable » ce qui parait non conforme aux principes de non contradiction. Les principes de la logique sont tirés de l’expérience des maths purs et gratuites

de quelqu'un d'autre. Soyez attentifs à l'ironie : elle se révèle par des effets de décalage et se manifeste lorsque l'auteur affirme le contraire de ses convictions.     4.    Comment repérer les articulations logiques d'un texte La structure d'un texte estl'organisation logique de ses idées. Elle est soulignée souvent par la division en paragraphes et par la présence de mots de liaison (conjonctions de subordination et de coordination, adverbes). L'évolution des idées du texte est également

Soyez attentifs à l'ironie : elle se révèle par des effets de décalage et se manifeste lorsque l'auteur affirme le contraire de ses convictions. 4. Comment repérer les articulations logiques d'un texte La structure d'un texte estl'organisation logique de ses idées. Elle est soulignée souvent par la division en paragraphes et par la présence de mots de liaison (conjonctions de subordination et de coordination, adverbes). L'évolution des idées du texte est également

15. 15. 16. Organisation générale d’un compilateur C....................................................................... 3 LA SYNTAXE DU C : le premier programme.................................................................. 4 VARIABLES, EQUIVALENCES ET CONSTANTES ........................................................ 5 Les opérateurs................................................................................................................. 6 Boucles.................................

. . . . . . . . . . . . . . . . 12 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Connecteurs logiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Négation d’une proposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Équivalence de deux propositions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Conjonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Exo7 Logique et raisonnements Vidéo partie 1. Logique Vidéo partie 2. Raisonnements Exercices Logique, ensembles, raisonnements Quelques motivations – Il est important d’avoir un langage rigoureux. La langue française est souvent ambigüe. Prenons l’exemple de la conjonction « ou » ; au restaurant « fromage ou dessert » signifie l’un ou l’autre mais pas les deux. Par contre si dans un jeu de carte on cherche « les as ou les cœurs » alors il ne faut pas exclure l’as de cœur. Autre exemple

manipuler les propositions logiques au moyen d’équations mathématiques où les énoncés VRAI et FAUX sont représentés par les valeurs 1 et 0, tandis que les opérateurs ET et OU deviennent des opérateurs algébriques de multiplication et d’addition. Le présent chapitre est consacré à cette algèbre, présentant dans un premier temps les postulats, les axiomes et les théorèmes qui en découlent. Une partie du chapitre est également consacrée à la manipulation de cette algèbre logique, suivie d’une illustration

crime davantage porteur de transformations. En assignant au crime le statut d’un acte générateur de conséquences, les fondateurs du modèle réparateur contraignent inévitablement l’action pénale à transformer sa finalité. On ne peut appliquer une logique punitive si le crime s’insère dans le registre exclusif des conséquences dont il est porteur, ce qui est moins le cas d’une situation problème. Une situation problème renvoie certes à l’idée de mobiliser des pratiques de résolution, mais un problème