Efficacité Marginale Du Capital

système efficace dans certaines configurations de travail 8 2.2.4. Les paris de productivité ou la rémunération à l’ancienneté 11 2.2.4.1. Le modèle théorique et son application 11 2.2.4.2. Les avantages absolus et comparatifs 17 2.2.4.3. Le capital humain 19 2.2.5. Le modèle du salaire d’efficience 20 2.3. Le risque moral dans la relation actionnaires – dirigeant 21 2.4. Relation d’agence entre client et vendeur : le problème de la qualité 22 3. L’entreprise : une ingénierie de production

LES NEOCLASSIQUES INTRODUCTION théorie prédominante dans les écono capitaliste, fondée 1870’. néoclassiques = MARGINILISTES (raisonnent à la MARGE : théorie différentielle de RICARDO) Utilité marginale : UTILITE de la dernière unité achetée / Productivité marginale : PRODUCTIVITE du dernier salarié embauché Les fondateurs : WALRAS L : Franco-suisse, école de Lausanne (La théorie du modèle général; 1874, son livre « Eléments d’économie politique pur ») ; MARSCHALL A (La théorie des ciseaux)

pareil à celle des biens de consommation des ménages c’est-à-dire I = S. Et si, I < S comme Y = C + S = C barre +I alors ça signifie que C > C barre. Si, S > au montant de production de biens d’investissement ça signifie que le prix du capital (K) augmente. Et donc le prix de l’épargne diminue. Donc le prix des biens de consommation augmente pour équilibrer. Keynes explique l’inflation non pas par un excès de disponibilité monétaire mais par un déséquilibre entre les anticipations de production

exclusion et passager clandestin : Plus le nombre d’agents est important, plus chacun est incité à ne pas contribuer au financement du bien collectif. • Non rivalité : un consommateur supplémentaire n’implique pas un coût supplémentaire. Le coût marginal est nul. La fourniture par le marché est impossible. 4-L’intervention publique en présence d’externalités : taxes vs normes. Intervention publique Il existe deux types de solutions : • Mécanismes marchands : Internaliser les externalités avec

se posent les économistes ; Choix et Echange. Rareté : Caractéristique de ce qui n’existe pas en illimité pour satisfaire les besoins humains Utilité : Satisfaction qu’un individu retire de la consommation d’un bien ou d’un service Utilité marginale : Satisfaction retiré de la dernière unité consommée. Elle décroit lorsque la quantité consommée augmente. Ex : Verre d’eau désert. Contraintes budgétaire : Limite imposé par les revenus et par les prix aux possibilités de consommation des individus

fonction des intérêts des consommateurs; en fonction de ce que le Gouvernement décide. 2- Comment produit-on les biens et les services ? Avec quoi ? => Facteurs de production (facteur travail, facteur capital) Compromis = Comment ? C'est le choix dans la répartition du travail et du capital. 3- Pour qui je produis les biens et les services ? Revient à la question du revenu des différentes cibles : -revenu d'activité -revenu de remplacement -revenu d'aide Quelle va être ma propension à consommer

d’entreprise A la marge… il n’y a pas de petit profit. Presque rien ce n’est pas rien c’est déjà pas mal Produire ou ne pas produire si …. Le 1er euro dépensé => recette marginale de 2€ ? Le 2ème euro dépensé => recette marginale de 1,1€ ? Le 3ème euro dépensé => recette marginale de 1,0001€ Le 4ème euro dépensé => recette marginale de 0,9999€ ? Toutes les décisions sont soumises à l’optimisation. La valeur d’un actif, provient de ce qu’il rapporte. Les prix dépendent des comportements. 2- Incitations

L’ENTREPRISE Chapitre 3 : La production dans l’entreprise Notions du programme : Facteurs de production, coût total, coût moyen, coût marginal, recettes totales, recette marginale, recette moyenne, productivité, lois des rendements décroissants, compte de résultat, bilan. Notions complémentaires : Economies d’échelle, secteurs d’activité, capital fixe, capital circulant, coûts fixes, coûts variables I- La diversité des entreprises Selon le secteur d’activité Secteur d’activité * : Regroupement

plus-value…). » Impôt sur le revenu belge Contrairement à ce que l’on pourrait penser l’impôt sur le revenu belge est plus élevé qu’en France. En effet, si le barème est progressif comme en France, les tranches sont moins hautes et surtout la tranche marginale s’établit à 50% (vs 41% en France). En sus de l’impôt national s’ajoute la taxe locale appelée « centimes communaux ». La variation peut être importante en fonction des communes de 6 à 8% de l’impôt sur le revenu. Impôt sur le revenu en Belgique

ressources (ou facteurs de production) sont limitées. Elles comprennent : * les ressources naturelles (terre, pétrole, …) * le travail (L) qui dépend de plusieurs paramètres : la population active et la durée de temps de travail * le capital (K) : 2 compréhensions : notion financière (placement financier) et notion réelle (stock d’équipement, machines,…). Ensemble des possibilités de consommation : La droite de budget délimite l’ensemble des possibilités de consommation : tout