Efficience X Par Leibenstein

Efficience et Productivité des Banques Commerciales Marocaines: Approche non Paramétrique Touhami Abdelkhalek and Sanae Solhi ERF 15 TH CONFERENCE 23-25th November 2008 Efficience et productivité des banques commerciales marocaines: approche non paramétrique" E FFICIENCE ET PRODUCTIVITE DES B ANQUES C OMMERCIALES M AROCAINES : A PPROCHE NON PARAMETRIQUE Par : Touhami ABDELKHALEK: Professeur à l’INSEA (Institut national de statistique et d’économie appliquée) Rabat Maroc. Atouhami@insea

1960. L’école d’Aston (Pugh et al., 1968) a mis en évidence l’effet de taille et de distance interindividuelle comme vecteur d’analyse fondamental des différentes catégories d’organisations (Kalika, 1988). Leibenstein (1987) a introduit cette dimension spatiale dans son analyse des X-efficiences et des conventions d’effort caractérisant les organisations en montrant qu’une partie de la valeur créée dans l’entreprise est due aux ajustements interindividuels permis par leur proximité. La typologie des

revenu De 1 à plus de 80 pour la population De 1 à 400 pour la valeur ajoutée Londres : 62 788euros/hab =50 x la région la plus pauvre (en Bulgarie) en euros courants = ¼ du PIB Le PIB/hab s’étale de 37% à 280% de la moyenne UE27. Luxembourg = 2.5x moy UE27 Irlande = 1.5x moy UE27 PB, Autriche, Danemark, Suède, Belgique : 1.2à 1.3 x RU, Finlande, A, France : 1.1 à 1.2 x Espagne, Italie, Grèce ; + ou – moy UE 27 2) Les politiques d’ajustement de l’Union a) Un système tardif

d’emplois stables (insiders) étant distingués des chomeurs recrutés ou des travailleurs précaires (outsiders). En ce qui concerne la théorie du salaire d’ « efficience », l’idée qui est sous-jcente, selon HARVEY LEIBENSTEIN (Economic Backwardness and Economic Growth, New-York, Wiley, 1957 et Allocative Efficiency versus X-effciency, American EconomicReview, 56, n°3, juin 1966, pp 392-415), est celle d’une liaison positive entre niveau du salaire et effort productif du salarié.

c’est à prendre ou à laisser. Donc on comprend pourquoi le pouvoir de l’employeur est limité. 1. La relation d’autorité comme «  poignée de main invisible ». Avant, F. KNIGHT indique « si un salarié qui un département Y part pour un département X il ne fait pas pour le prix relatif mais c’est parce que on lui donné l’ordre », il a considérer que la fonction d’entrepreneur comme une fonction d’autorité. Dans H. SIMON, il reprend la notion d’autorité, il va la raccrocher à R. COASE, en disant

corruption politique et administrative qui biaisent les choix et l'efficacité des dépenses. De l'autre côté, on observe une inefficience-x induite à la fois par la disparité régionale des moyens de réalisation et par l'inégal accès aux services sociaux à cause de la faible capacité de contribution financière des bénéficiaires. On observe également une inefficience-x des dépenses compte tenu de la qualité des réalisations. Toutefois, l'inefficacité globale des dépenses publiques en capital humain ne

actifs, hold-up et intégration verticale Supposons un éditeur X qui, pour imprimer ses publications, utilise habituellement les services d’un imprimeur Y. X décide de lancer une nouvelle publication et s’adresse à Y. Pour pouvoir fabriquer cette publication, Y a besoin d’une presse répondant à des spécificités techniques particulières (la presse est ainsi un actif physique spécifique). Y achète cette presse, et vend ses services à X pour un prix de 55 000 euros. Du fait de la spécificité de cet

(Emrouznejad et al (2004), Coelli 1996 Herrero et al.2002, Amara et al. 2000, Ambapour 2001 Grigorian et al. 2005) font remonter la conceptualisation et la mesure de l’efficacité économique aux travaux pionniers de Debreu (1951), Koopmans (1951), Leibenstein (1966), Charnes, Cooper et Rhodes (1978,1984), Banker, Charnes et Cooper (1984) et surtout à Farrell (1957) qui a proposé une approche pour l’estimation des frontières d’efficacité. La méthode (Farrell 1957 ; Banker, Charnes et Cooper 1984) consiste

sociétale. » La notion d’efficience retenue tient donc compte des frictions55, des coûts d’agence. Il s’agit d’une notion qui s’applique dans le cas présent aux organisations, qui considère leur objectif de création de ressources et dépasse la seule efficience allocationnelle. Pour mieux la définir citons P. Milgrom et J. Roberts (1992, p. 24), « … un contrat, une routine, un processus, une organisation ou un système sont efficients… s’il n’existe aucune alternative qui produise de façon régulière des

ajustements qui régit l‟économie néo-classique. Ces conclusions nous autorisaient même à rapprocher SRAFFA et KEYNES dans notre dernier travail purement économiste (R7 ; Thierry Levy, Keynes and Sraffa reconcilied, Archives of Economic History, Vol. X, N°1-2, 1999, pp. 7-20). En montrant formellement qu‟une connection était envisageable entre l‟approche keynésienne de la demande effective et le système sraffaien des prix de production, nous montrions surtout que les deux auteurs plaçaient les conflits