Dissertation Métaphore Filée

la description de celui-ci devenant un reflet des états-d'âme de l'héroïne. II°):Le paysage perçu par Jeanne ,reflet de ses états-d'âme: 1°): Un paysage printanier: On est à la fin de la journée de printemps , comme l'indique la métaphore filée « inondant , taché » , elle restitue la lumiére chaude. La présence des hirondelles (L 34) tout cela montre le renouveau. Aussi dans cette symbolique du regard « devant elle » (L33) suppose un avenir de nouveau ouvert . De même que le souligne

personnification qu’est donc introduite la comparaison Poète Lombric. Ce n’est qu’au début du premier tercet qu’est rendue apparente la comparaison du lombric et du poète : « Le poète, vois-tu, est comme un ver de terre » v.9 expliquée par la métaphore filée aux vers 10 et 11 « il laboure les mots qui sont comme un grand champ où les hommes récoltent les denrées langagières ». Le poète est donc comparé au lombric par rapport à son travail. Le poète laboure les mots et rédige des poèmes et le lombric

la conjonction: comme. b) La métaphore : La métaphore est une figure de style qui consiste à souligner une analogie (des points communs) entre deux réalités dont les ressemblances ne sont pas toujours évidentes à saisir. Le comparé et le comparant sont identifiés l’un à l’autre, sans outil de comparaison (contrairement à la comparaison). Lorsque la métaphore se poursuit sur plusieurs phrases, on parle de métaphore filée. Dans le Chapitre I, paragraphe 2: métaphore qui assimile l’idée de la mort

Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point Le Cid, de Corneille (je t’aime) METAPHORE nf. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE nf. Remplacer un élément par

l’ensemble du roman, et bien qu’il exclue quasiment le dialogue, il se déroule, dans son intégralité, à la manière d’une pièce de théâtre. Des éléments font du chapitre XIII du Dernier jour une métaphore filée du théâtre. 1. Quels sont les éléments du chapitre qui participent à la construction de la métaphore du théâtre ? - vocabulaire appartenant au champ lexical du théâtre: «spectacle» (l.19), «loge» (l.26), «spectateurs» (l.37, 58), «acteurs» (l.37), « masques » (l.61), «acclamations et

sentiment que le Spleen gagne les habitations, les refuges possibles, puisqu’il touche aux « murs » (v 7), aux « plafonds » (v 8). Nous avons relevé le champ lexical de la prison au vers 5, mais celui-ci s’étend à la strophe suivante où nous relevons la métaphore « d’une vaste prison imite les barreaux » (v 10), avec enjambement sur les vers 9 et 10 et inversion du sujet qui place l’élément important, « les barreaux », en fin de vers.  Le ruissellement Le Spleen, enfin, s’infiltre, il dégouline par la pluie

comme ►point de comparaison: la couleur LA MÉTAPHORE La métaphore est une transposition de sens qui permet de rapprocher deux termes par simple relation d'analogie, sans outil comparatif. La métaphore peut être explicite lorsque les deux termes rapprochés, le comparant et le comparé, sont mentionnés: Votre âme est un paysage choisi (VERLAINE) ►comparé: votre âme ► comparant: un paysage choisi ► ellipse de l'outil comparatif La métaphore est implicite lorsque seul le comparant est exprimé;

pas le traitement donné au roi par son épouse et la sœur de celle-ci : « La branche qui se détache elle-même du tronc nourricier doit forcément se flétrir et servir à un mortel usage.» (page 87). Dans cette réplique d’Albany, on dénote une métaphore filée, L’auteur fait usage d’une figure d’analogie afin de substituer le lien paternel entre Goneril et le roi a celui d’une branche se détachant du tronc. Il est clair qu’Albany s’oppose à ce type de comportement. Goneril, elle, de son côté, considère

Problématique : Comment Baudelaire évoque-t-il sa condition de poète à travers la métaphore ou la comparaison de l'albatros ? I. (Quoi ?) Bonheur et malheur d'un albatros : un point de départ narratif a) Le contraste entre les airs et la terre Contraste de sens entre les adjectifs : « vastes » (v. 2), « indolents » (v. 3), adjectifs à connotation positive pour qualifier les albatros dans les airs / « maladroits et honteux » (v. 6), adjectifs à connotation négative pour qualifier les albatros

souffrances minute après minute » (l12) « ils n’avaient jamais regardé en face, si longtemps l’agonie d’un innocent » (l17-18). Les spectateurs sont confrontés à une réalité qui devient concrète = La mort d’un innocent • L18 à 51 Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable Douleur matérialisée par les larmes (l31) La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36) Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui) - Tarrou essaye d’apporter du réconfort