Dialogue Comique

scène va nous permettre de voir par nos yeux qui est Orgon et à quel point il est aveuglé pas Tartuffe. Problématique : Comment Molière utilise le comique de cette scène pour montrer la folie d’Orgon? Nous verrons dans ce premier axe qu’Est-ce qui produit l’effet de comique ce cette scène. Le premier, est l’effet de répétition : les répliques du dialogue d’Orgon et de Dorine sont toujours les mêmes de la part d’Orgon, ‘‘ Et Tartuffe ? ’’ , ‘‘ Le pauvre homme ! ’’ à n’importe quelle réplique de

qui coïncident avec l’apparition de Dorine, une apparition provoquant chez Tartuffe une réaction :’’ couvrez ce sein que je ne saurais voir’’ ce langage du corps trahit la dimension spirituelle que Tartuffe revendique. La fonction de Dorine dans ce dialogue consistera a mettre en avant cet aspect cachée de Tartuffe, elle le fait de façon explicite :’’ la chaire sur vos sens vous fait grande impression’’ le ‘’vos’’ est accusateur. Elle reprend avec habileté le thème du pèche pour le lui retourner :’’

allons étudier, aborde d’une manière très « carnavalesque » la naissance de Gargantua après un banquet de tripes. Quels sont les formes et les enjeux du comique dans cet extrait ? Pour répondre à cette problématique, nous allons, dans un premier temps, étudier le récit d’une naissance « carnavalesque » et dans un second temps le dialogue ironique entre Alcofribas (Rabelais) et les lecteurs. I- Le récit d’une naissance carnavalesque » D’abord, la naissance de Gargantua est racontée d’une

* Apartés scènes comiques = établit complicité spectateur qui se sent investi dans la représentation C'est ainsi que lorsque Figaro et Suzanne, dans Le Mariage de Figaro, prennent au piège le comte, en l'obligeant devant ses sujets à abolir le droit de cuissage qui compromet leur mariage, l'aparté du comte prend toute sa valeur lorsqu'il déclare: « c'est un jeu que tout ceci ». DOUBLE ENONCIATION Les personnages communiquent entre eux sur la scène, mais les dialogues des acteurs sont aussi

personnages, lors d’un dialogue, se parlent sans s’écouter. Les deux personnages sont nommés par leur situation l’un envers l’autre, « le professeur » et « l’élève ». Ils n’ont donc aucune identité personnelle, il y a une sorte de déshumanisation, une généralisation qui mène au stéréotype. Lors de la scène, le professeur donne une leçon de linguistique à son élève et ne lui laisse pas la possibilité de parler. De plus, la pédagogie est inexistante et le déséquilibre du dialogue est frappant : c’est

d'être jouées afin de prendre vie. Certaines comédies jouent sur des comiques qui imposent que la pièce soit jouée pour qu'ils fonctionnent. C'est le cas du comique de gestes qui consiste à faire des gestes cocasses dans une pièce de théâtre afin de provoquer le rire chez le lecteur ou le spectateur. S'il se repère par des didascalies à la lecture du texte l'effet n'est pas du tout le même et le comique peut être atténué. Ce comique de gestes est extrêment présent dans Les Fourberies de Scapin de Molière

interlude, etc. Les rapports entre les personnages : liens de parenté, alliés ou adversaires politiques, relations amoureuses réciproques ou unilatérales, rapport de subordination (Prince/ sujet ; maître / valet ; père / enfants) l’enjeu de leur dialogue : séduction, explication, épreuve de force, provocation, complot, tromperie, négociation, confidence… l’espace scénique : cadre ? Didascalies, jeux de scène (apartés, personnages cachés…), symbolique des lieux (un cimetière : la mort, la salle

populaire. - Problématique : Comment Molière parvient-il à emporter l’adhésion du lecteur / spectateur ? Comment ce dialogue de comédie, mais aussi satirique, offre-t-il une réflexion sur l'attitude du spectateur ? I. Une scène de conflit 1. Une opposition méprisante - Coflit : présence de ponctuations fortes (points d’exclamation « Quoi ! ») : sentiments intenses et dialogue vif entre le Marquis et Dorante. - Deux personnages qui ont des titres différents. Le marquis va chercher à se donner

Commedia dell'arte L'enjeu des premières scènes dans la mise en place de l'intrigue Les différents procédés comiques du texte théâtral La mise en place des conflits dans l'oeuvre et leur dynamique dans l'action Le monologue au théâtre : rôle et particularités dramatiques Le quiproquo : un des ressorts du comique Le mécanisme du dénouement dans la comédie Langue : Les caractéristiques du dialogue théâtral L'ordre et la défense dans la phrase La conjugaison de l'impératif présent Les paroles rapportées

structure des dialogues et des phrases produisant un effet comique permettant à l’auteur de ridiculiser la médecine de l’époque. Le thème abordé par Molière dans ce premier acte est celui de la vengeance. Le champ lexical de la vengeance est nettement présent à partir de la fin de la scène 1 :«mais tu le payeras» (Sc.2, L.66), «je veux une vengeance» (Sc.3, L.6), «pour me venger» (Sc.4, L.14), «invention pour me venger» (Sc.4, L.41). L’auteur accentue l’effet comique par un comique de geste dans