De La Rancière

Jacques Rancière, La haine de la démocratie * Tout Etat est oligarchique : certes un Etat dit « démocratique » tend vers la démocratie car il se rapproche d’un pouvoir possédé par chacun MS il y a alliance entre oligarchie politique et oligarchie économique accaparement de la chose publique surconsommation des emplois publics car fort appétit des oligarques * le pouvoir de l’oligarchie est limité par une double reconnaissance de la souveraineté populaire et des libertés individuelles avantages

Vallès permet de penser une réversibilité entre auteur et lecteurs et raconte « la maturation de la voix populaire » sans passer par une retranscription littérale de la parole populaire : le peuple devient « objet du discours et sujet d’écriture » (Rancière). Béatrice Laville (« Ces voix qui se sont tues », 125-134) montre que si Zola est bien celui qui travaille avec des effets d’oralité, surtout dans L’Assommoir, il est aussi celui qui exclut les langages sociaux dans ses cycles suivants. Si l’effacement

film permet de voir directement, par les personnages, le récit, le point de vue du cinéaste... L'historien se retrouve comme face à l'évènement questionné. Il est intéressant de conclure en rappelant que, selon les mots du célèbre philosophe Jacques Rancière dans L'historicité du Cinéma, le cinéma et l'histoire sont « deux représentations du monde qui s'entre-appartiennent ». Cette affirmation donne le possibilité de se poser la question inverse, non pas comment l'historien s'approprie le cinéma, mais

Paris: Repères. Bougnoux Daniel (2006), La crise de la représentation, Paris, La Découverte. Gauchet Marcel (1995), La révolution des pouvoirs, Paris, Gallimard. Muhlmann Géraldine (2004), Du journalisme en démocratie, Paris, Payot. Rancière Jacques (2005), La haine de la démocratie, Paris, La Fabrique. Rosanvallon Pierre (2006), La contre-démocratie, lapolitique à l’âge de la défiance, Paris, Seuil. Revue Le Débat (2006), « Penser la société des médiasI et II », Paris, Gallimard

de la performance. En effet, la photographie est revendiquée dans son Indépendance artistique représentatif en évoquant la performativité de la documentation de la performance selon Philiphe Auslender. Delpeux finit en faisant référence à Jacques Rancière pour faire une invitation participative aux spectateurs face à ses objets-photographiques produits par la performance. Néanmoins dans cet ouvrage on y voit certaines iconographies quelque peu répétées, or cet essai démure riche d’enseignements.

Mexique en 94.· Chine : Interdit les investissements de porte feuilles III. Mais on a pu voir que ces politiques sont inefficaces du fait des grosses différences entre chaque crise.A. La demande dans la crise financière des Subprimes· Selon Kumhof et Rancière, les ménages s’endettent pour consommer, les banques accordent les crédits et le risque d’insolvabilité des plus pauvres· Inégalités de revenues comme déterminant de la crise de 2008· Les innovations financières et le développement du Shadow Banking

Liandrat-Guigues 1 er semestre : le mardi de 15h à18h - salle A 116 La notion de modernité au cinéma n’obéit pas à une définition univoque ni même à une périodisation si l’on en croit ceux qui en ont tenté une ( de Jacques Rivette à Serge Daney ou Jacques Rancière…). Cette incertitude guidera l’examen de films fort différents (de Pollet, Resnais, Godard, Rivette …) ayant suscité cette appellation et permettra de repérer quelques aspects d’une modernité changeante. Peut-on faire l’histoire du cinéma documentaire

Lucrèce, Rousseau, Kant, Smith, Goethe, Saint-Simon, Hegel, Fourier, Ricardo, Feuerbach | A influencé | Engels, Lénine, Luxemburg, Trotsky, Marcuse, Lukács, Bloch, Gramsci, Sartre, Debord, École de Francfort, Althusser, Ellul, Derrida, Negri, Rancière, Guevara ... | modifier  | Karl Heinrich Marx, né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie et mort le 14 mars 1883 à Londres, était un philosophe, économiste, théoricien socialiste et communiste, et écrivain allemand. Il est connu pour sa conception

à tout détenir. Pour cela, il doit être capable de replacer la réalité par ses propres images, sa vision de la réalité. Ainsi, la question se pose quand au degré d’influence que les images ont sur le peuple. C’est en effet ce qui inquiéta Jacques Rancière, disant que les images et leur puissance d’illusion peuvent être dangereuses. Alors, qu’en est-il des images inspirées par une source ‘trouble’ ? L’artiste doit être responsable, autonome, capable de faire des choix. Mais il peut également être possédé

lien avec l’extérieur. La trahison des images des images veut aussi dire : que les images trahissent leurs rôles : d’être de simple représentation, elle choisit non pas « d’imiter le visible mais de rendre visible » Paul Klee. Plus tard, Jacques Rancière : Art pur n’existe pas, la modernité n’est pas l’autonomisation des sphères d’existence mais le moment où les signes se rabattent les uns sur les autres. Tout esthétique est politique.