Culture Légitime

CULTURE ET ARTS THEME 11 LA CULTURE : UNE NOTION EVOLUTIVE Le culture est ce qui permet à l'homme d'échapper à la nature. Ce qui est naturel est innée, ce qui est culturel est acquis. L'humanisme va ouvrir l'homme à un développement de la culture pour le délivrer de l'obscurantisme du Moyen-Âge. Est culture tout ce qui éloigne l'homme de ses ancêtres animaux, au profit d'exigences supérieures pensées par les philosophes grecs de l'Antiquité : le beau, le vrai, le juste, le bien, autant de

des Pyrénees,fausseté au dela »Montaigne. Cette citation très connue est toujours d'actualité. Depuis les humanistes a nos jours se pose la question de la relativité des phénomènes sociaux du point de vu des observateurs. En ce qui concerne la culture, Guy Rocher définit la définie comme « un ensemble lié de manière de penser, de sentir,d'agir plus ou moins formalisée qui étant apprise et partager par une pluralité d'individu servent d'une manière à la fois objective et symbolique à constituer

en plus présentes et ne sont que les conséquences de 5 siècle de pensée cartésienne qui avait imputer la connaissance « objective » et légitime un certain nombre d’objets tels que le corps, sensualité, amour, passion, mort, magie, relations de l’homme avec le passé .. Critique du culturalisme qui servirait de légitimation à une appartenance unique à une culture et au rejet des étrangers et du multiculturalisme qui servirait à protéger les minorités contre toutes formes de rencontres > tt le contraire

Chicago où il a fait ses recherches sur les différentes réappropriations culturelles dans la mondialisation. Il est cofondateur avec sa femme Carol Breckenridg, qui est historienne, de la revue « Public Culture ». Il anime le projet « Cultural Studies » qui a pour objectif de rendre leurs places aux cultures dominées. Il dirige aussi le Cultural Communities Institute. APPADURAI est auteur de nombreuses publications telles que « Géograhie de la colère, la violence à l’âge de la globalisation » ; « Où ils

découverte ministère de la culture et de la communication La culture d’écran La plupart des pratiques culturelles vers l’usage d’écran comme terminaux La diffusion de l’internet a été rapide et notamment chez les – de 45 ans. Cette diffusion d’écran s’oppose à la TV, car les internautes utilisent très peu la TV Les jeunes et les favorisés - contrairement à la télévision des années 80/90, l’internet, utilisé largement à domicile est plutôt lié à la culture de la sortie - le temps passé

de ce penchant à l'agression que nous pouvons ressentir en nous-mêmes, et présupposons à bon droit chez l'autre, est le facteur qui perturbe notre rapport au prochain et oblige la culture à la dépense qui est la sienne. Par suite de cette hostilité primaire des hommes les uns envers les autres, la société de la culture est constamment menacée de désagrégation [...] » Freud interprète le comportement agressif de l’homme, dans chaque être, nous avons une tendance à l'agression et qu'il est possible

de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. peut : Est-il possible, est-il légitime. être : Du latin esse, « être ». 1) Verbe : exister, se trouver là. En logique, copule exprimant la relation qui unit le prédicat au sujet (exemple : l'homme est mortel). 2) Nom : ce qui est, l'étant. 3) Le fait d'être (par opposition à ce qui est

Dans les sociétés démocratiques, l'Etat est censée garantir la liberté et l'égalité pour tous, par un traitement indifférencié entre tous les citoyens. Or, il faut savoir que l'Etat n'assure pas complètement cette égalité car il est porteur d'une culture majoritaire qu'il promouvoit a travers des symboles, des jours fériés d'origine religieuse et une langue officielle. Il y a donc une nécessité de reconnaitre les groupes culturels minoritaires par le biais des droits culturels (c'est-à-dire des droits

fondements : la race, la langue, la religion, la communauté des intérêts et la géographie. La race des populations considérée comme principe des nations est une erreur qui menace la civilisation européenne : « autant le principe des nations est juste et légitime, autant celui du droit primordial des races est étroit et plein de danger pour le véritable progrès », (p.19). La race importe dans la tribu israélite et la cité antique comme Spartes ou Athènes. En revanche, dans l'Empire romain, la situation est

l’idéal de justice » adopté par une communauté, et propre à cette communauté. En d’autres termes, il est le produit d’une culture, d’un mode de pensée et de représentation du monde, il correspond à une « civilisation ». 7) Premier problème : la pluralité des idéaux de justice Le problème est alors qu’il existe, non pas un, mais des idéaux de justice, puisqu’il y a plusieurs cultures. De toute évidence, les Athéniens et les Spartiates de l’Antiquité avaient un idéal de justice différent, dont aucun