Culture Légitime

Peut-on juger de la valeur d’une culture ? » Le patriotisme, ethnocentrisme est le fait q’un groupe social évalue les autres par rapport à lui-même, évalue les cultures étrangères par rapport à sa propore culture, ce qui donne un jugement subjectif et partisan de sa culture, non un jugement objectif et neutre. Au départ, l’homme considérait que l’autre, ne parlant pas la même langue, ne vivant pas selon les même conditions et traditions n’avait aucune culture, à leurs yeux l’autre était un animal

technologiques) : A quoi sert la culture ? L’homme n’est pas un animal ordinaire. La preuve en est qu’il a des modes de vie très divers. On parle alors de différentes cultures. Tout se passe comme si chaque culture permettait aux hommes de vivre. Toutefois, si l’on fait abstraction de la culture particulière de chaque société, on peut considérer que par la culture l’homme fait peut-être plus que vivre, il vise à vivre humainement. On peut donc se poser la question : À quoi sert la culture ? Est-elle simplement

en vient rapidement à penser la civilisation au singulier, et celui du relativisme, qui, lui, réussit à prendre en compte les différences culturelles, mais s'avère incapable de les référer à une norme universelle. Or, le sens de la relativité des cultures et de leur égale valeur ne doit pas conduire à un relativisme intégral, ni à l'abandon de valeurs universelles, que sont aujourd'hui la démocratie politique, les libertés démocratiques, les droits de l'homme. Les civilisations, de fait, n'échappent

l’existence d’une sous culture, indépendante et autonome, qui répond non pas à l’anarchie mais bien à une réglementation stricte et contraignante, intransigeante à l’égard des déviants. Cette sous culture, dite « culture des rues », a pour particularité qu’elle concerne une tranche d’âge déterminée de la population, les 10-16 ans, majoritairement scolarisés dans des collèges de leur quartier et passant le reste de leur temps dans le grand ensemble où ils vivent. L’étude de cette culture des rues permet

l’extrême diversité entre les individus, les cultures etc. Ces différences (physiques, intellectuelles, morales…) peuvent très bien s’harmoniser et se compléter. L’inégalité suppose une comparaison des différences et fait donc intervenir un critère de comparaison : taille, poids, QI, revenus… qui va permettre de désigner un supérieur et un inférieur. Toute la question est de savoir si ce critère est juste, acceptable par toutes les parties ou encore légitime (on retrouve la référence à la loi). Ainsi

naturellement donc la transmission culturelle ne s’effectue pas uniquement sous la forme de l’inculcation délibérée (comme elle l’est dans le cadre scolaire) cependant, une nuance : il ne suffit pas d’être au contact d’un entourage qui a une bonne culture pour l’intégrer automatiquement l’imprégnation dépend d’un processus d’identification, c’est-à-dire une reconnaissance des compétences ou des appétences assimilées et de la personne qui les met en œuvre Variables, questionnements Pour ces 3 différents

formalise par écrit les éléments clés qui composent l’identité de la marque. * Son ancrage : histoire, fondateur, culture * Sa vision : ce que la marque apporte à ses consommateurs * Ses engagements : mise en œuvre concrète de la vision * Ses valeurs : valeurs défendues * Sa personnalité : traits de caractère (style, ton) * Son territoire : domaine légitime d’expression * Son mode de relation : registre, type de relation construit La valeur des marques * Coca Cola :

La polygamie, hier et aujourd'hui Transposition pour le Web du travail de Rachel Nyssen   «Des épouses pour la procréation d’enfants légitimes, des concubines pour les soins de la vie quotidienne, des prostituées pour le plaisir » plaidoyer grec du IVème siècle av. J.-C. Définitions La polygamie est le mariage d'un homme avec plusieurs épouses, c'est un mariage coutumier. L'homme doit fidélité à ses épouses de la même façon que ces épouses lui doivent fidélité. (Nous dirions un mariage

forme de progrès, puis que, deuxièmement, ce projet est quasiment impossible à mettre en place puisque l'Homme n'a jamais vécu dans de telles conditions. Enfin, nous nous demanderons si l'Homme est capable de vivre dans une société alliant nature et culture. Tout d'abord, nous pouvons affirmer que le projet consistant à vouloir vivre naturellement est sensé. En effet, l'Homme a plusieurs raisons de mettre en place ce projet. Vouloir retourner vivre à l'état naturel a un enjeu écologique. Dans notre

I- Naissance de la contre-culture A) Les débuts de la contre-culture, contexte, motivations C’est à partir des années 60, que différents systèmes contre-culturels sont nés et ont proliféré. La raison de ce développement soudain du milieu alternatif est la combinaison de différents facteurs, politiques, sociaux, économiques... a) Principaux mouvements sociaux : Les années 60 sont marquées par une révolte globale contre le « système ». Les mouvements d’opposition se placent en rupture