Cultivé Civilisé Moralisé

question de la nature de l'homme : qu'est-il vraiment ? Est-il seulement un être culturel, pure produit de l'histoire ou est-il doté d'une nature et que serait cette nature ? I. L'homme se voit comme un être métaphysique culture → du latin colere → cultiver la terre afin de la rendre fertile. Idée de transformation d'un donné a) Les représentations mythiques de l’homme au sein de la nature Comment l'homme se représente-il dans le mythe ? (cf Le mythe du Protagoras et la Genèse) Position ambigüe

concurrence les hommes, les passions les stimulent, les sortent d’une paresse fatale à leur nature dans la mesure où celle-ci (la nature humaine) n’est pas une donnée mais une conquête. Contraints par la force de leurs besoins et de leurs appétits à cultiver leurs aptitudes, à discipliner leurs penchants, les hommes contribuent à leur insu au développement de la civilisation. Celle-ci leur est « pathologiquement extorquée », elle n’est pas visée moralement : ce qui est extorqué est, en effet, obtenu

développait à grande vitesse, ils ont entrevus ca pour voir comment l’agriculture pouvait servir l’industrie et comment l’industrie pouvait servir le monde rural. Fordlandia : Brésil , cultiver pour produire massivement pneu, caoutchouc pour le marché américain. Il créé un logement pour chaque famille, église, école, il veut civiliser les populations locales du Brésil qui sont très loin de la pastorat rêvé. Schizophrénie : Impératif économique qui l’oblige à faire de la série, créer de la valeur et de bon rendement

culture est le savoir pour constituer une idée de l’excellence humaine. La culture c’est l’esprit, les lois de l’esprit, l’éducation. L’accomplissement de l’humain s’effectue dans la culture. L’hô différent du barbare= sauvage, mais des hô cultivés à leurs manière. L’enfant sauvage : Pinel, psychiatre le considère comme idiot -> innéisme, la nature humaine ne s’acquiert pas, donc une erreur de la nature. Jean Itard, innéisme faux et que la nature s’apprend. L’enfant apprend la bipédie+règles

celle-ci. Toutefois la perfectibilité va l’emporter sur la destruction, l’existence des société contemporaines le prouve bien de plus « l’homme est destiné par sa raison à former une société avec les autres et dans cette société à se cultiver, à se civiliser, à se moraliser par l’Art et les sciences. » l’homme alors est indissociable de la société. La société est aussi garante de la propriété, et l’homme se défini comme un être de possession. L’égoïsme de l’homme ne sera alors jamais satisfait

s’administrer, s’organiser, se mettre en ordre toute seule ? Le cimetière du Père la chaise. Mur des Fédérés. « L’anarchie, c’est l’ordre sans le pouvoir ». Une société ne serait donc pas capable de mettre fin par même à la discorde ? L’état civilise moralise, cultive. La société peut-elle garantir le passage de l’Homo economicus au sujet et à la Personne morale. L’État et lui seul donne un sens au vouloir vivre ensemble. Les sociétés dites primitives sont toutes des sociétés sans état. Le chef dispose

Baccalauréat La culture Synthèse des concepts rencontrés dans les textes ou comment se réapproprier ces concepts en reformulant sous forme de questions les problématiques qui en découlent. Les concepts Les questions Les textes Nature ● Culture ● Se cultiver Comment l’homme passe-t-il de la nature à la culture ? Lévi-Strauss 2 p. 15, Freud 4 p. 17. Arendt 6 p. 21. Lacan 11 p. 24. Barbarie ● Est-il juste de qualifier certaines civilisations de barbares ? Kant 10 p. 24. Lévi-Strauss 15 p. 29. Norme

Peut-on dire d’un homme qu’il est sans culture ? La culture peut avoir trois sens différents. Tout d’abord nous pouvons parler de la culture de la terre, qui fait référence au monde paysan, l’homme cultive la terre pour en extirper tous les aliments qui lui serviront à se nourrir en priorité. Nous connaissons aussi l’expression « avoir de la culture générale » ; cette expression emploie le mot culture dans le sens d’acquisition de valeurs et de goûts comme la culture scientifique, politique

d’elle-même, et qu’on ne peut situer à l’origine des lois une clairvoyance morale qui en est, en grande partie, le résultat ? En effet si la raison est une potentialité humaine, elle requiert pour être développée un ordre social déjà élaboré et même fort civilisé. Cf. : Cours : La disjonction du légal et du juste. [3]     B)    Thèse réaliste. Le droit est l’auto-rationalisation des penchants sauvages et la condition du progrès moral des hommes.     C’est le thème libéral de « l’insociable sociabilité »

Huxley imagine des classes sociales génétiquement programmées. Comment alors croire au progrès s’il débouche sur le déterminisme? Le mythe du bon sauvage inscrit dans son cadre naturel, plus heureux, plus authentique et meilleur que l’homme civilisé, dénaturé et en désarroi dans un monde dépravé, explique la technophobie. Comment croire au progrès alors qu’il est source d’affaiblissement moral, de détermination sociale, d’inégalités économiques, de désarroi culturel et spirituel, d’aliénation